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22/04/2018

Peaumper

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Wang Jiazeng

 

 

   Dans cette orbite de sa personne, l'image orchestra les longues bactéries de gong ; l'univers filait a toute fable le liant des astres enquêtant sur terre par les rayons du silence : la radiographie couvrait la voix de câbles, et l’ortie chattait d’histoires composites le goudron d'un synapse ; les mots remuant seront mués en qu'importe ! s'ils ne circulent, ils mourront comme le jardin inclus par les murs exorbités de la caverne ; des mots au loin mordront leurs enveloppes, et les déchirements de l'histoire seront silence.

   En se laissant glisser sur la frontière cinglante qui écueil le port en un lieu dénué d'assise, le mot mort trouve une âme sous le décors et se met a parler, avec cette voix de viande d'abord, qui s’écrase littéralement dans l’épaisseur du Vers Corps ; l’apesanteur brûlée souffle sur l'élan qui par houle et par vaux l’âme au vent, suivant le fil a naviguer , par monts et par mots trouve la mort suspendue a quelque indicible et vide clarté ; a suivre ainsi l'indescriptible, la patte des mots, on fourche au goutte a goutte sur l'impact des lacs entre les vallées, et on tombe facilement sur la cordée de galet ruisselant de soif; le serf fluide des deux contrées s'y abreuve et s'évapore; son cuir imaginaire et compénétré frise dans la courbure d'un tronc d’électricité que la mémoire emporte en décomposant l'attention les élément de l’écho qui écorcent sève et mère ensevelie dans le sabotage du temps; l'oubli baptise l’absorption suspendue qui illumine les joncs lévitant de la sphère, anthracite cantique, des vers lucides du seul amour, du premier et du dernier vers, l'unique jour ; la mémoire inanimée du sommeil rougit l'aube des premiers nœuds d'oiseleurs qui embrassent son instrument (?) Ecourte la contre bise du souffre vent et l'albinos piano des crépuscules télémétra; de l'industrielle homéopathique il restera son cantique spectre, son esprit d'herbe des champs gravé sur le chrome éternel de la veille; et de la fosse a néon, le mort, libre, se lève, l'image horrible de son dépérissement c'est transformée ! L'horreur indicible de la mort c'est renversée en argument béant; la parmélie fictive de son angoisse s'est déchirée et par le pli de sa raison, la pierre de voûte active, respire calmement, soutient les unités de relents ; mais le décomposé de la mort, vit et ne meurt pas, sinon déporté du miroir parfait a la manière des réflexions qui grésillent le teint transparent.

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