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16/12/2012

Rapt

Toute proportion gardée, voyage a travers tes disparitions, traîne ta
mort au tribunal de l'oubli, cherche et traverse tous les déserts,
tous les vides, empoigne tous les paradoxes, )passe de liane en liane
au crochets des contradictions, et tu penseras mon fils que cette
flamme sur le visage des délatrices, qui t'éveilles dans la haine,
pour retrouver auprès d'elle le repos, est une flamme qui a besoin
d'air, pour qu'elle respire, transpire et bave parfois, sans jamais
cesser de danser comme le feu jamais connu, jamais oublié, mais
toujours en train de coudre ton sein en suturant l'ombre et la chair
de Peter Pan, l'esprit d'Odin et la pensée des nuées du Géant d'où fut
extrait le monde. La vision est une aiguille qui perce
l'illusion en rétablissant la vérité du non vue de l'ignorance traînée
devant le tribunal de l'immédiateté, ou c'est l'angoisse de
l'innocence qui se lit sur son visage.

De la plaie d'intrusion,
coule un fleuve noire et dense, sinueuse ondes qui claque a l'horizon,
tombe en terra incognita, et en nous crée l'indécision. par un gain
incalculable, donné dans un atome d'amour, qui est mer des logiques et
de tous les arts, l'amour régisseur du réel , qui voit sans être
vu, qui resplendit ou te terrorise, s'affermit ou t'efface, te
concentre dans l'apparition progressivement réduite de ta disparition
certaine, (sent tu, la dalle glisser sur ta tête, l'air froid de ta
tombe, les vers dévorer tes chaires et remonté dans tes veines.
Pourront ils grignotent tes voyages en ailleurs sont ils
mémorisables?) disparaître dans son apparition, et apparaître dans sa
disparition, « manifestation », « manif et station », le trou du tao,
qu'on ne peut bien évidement pas comprendre ni saisir, mais vivre et
penser et comprendre.
En un certain sens pour vivre,
être et pensée, il faut rattacher le tout a lui-même, se transcender,
dans la vision ou la production d'image, qui re-itere l'organe de la
vue aussi neuf qu'au jour de la création, lorsque les montagne était
les corolles de la lumière déposant ses oeuf évide de miroir en
vision, sur les pollen de la matière, lorsque le tout rattaché a
lui-même était encore cohérent, avant l'apparition de l'homme, qui
introduisit la déchirure du cosmos par son incompréhension et son
ignorance , conseillère de la sagesse des princes de ce monde, devant
lesquels on traîne l'innocence au martyr puisqu'elle ne peut
reconnaître aucune faute vraiment.
Esprit vierge
de toute réflexion sur lui-même, que la repentance ignore, non par
dédain, mais par logique, l'existence de celui qui sans réflexion ne
se sait pas même être, volatil
innocence..ssssssssffffffflllllllllssssstttttt.......insaisissable
volubilis s'échappant de la ramure du chêne d'argent ou il s'ébroue de
joie et de liberté en sautant de branche en branche, sous le couvert
de la foret comme l'était la pécheresse devant lui, lorsque Son Regard
éclipsa la réalité des Pharisiens qui la jugés, (il n'y a pas d'ombre
au tableau vierge de dieu, pas d'image représentant Sa face, et au
mieux, un art qui pose les impasses , comme on pose des pièges pour
attraper dieu.....Elle éclipsa les jugeant, les relaps au travail
divin, les Eliphaze de Théman, les Bildad de Schuach et Tsophar de
Naama, l'esprit de Job était devenu trop vaste et trop profond pour
l'accepter. Bois au porte, dors sur le vent aux fenêtres,
baignes toi dans les germaniums publics, urine le long des trottoirs,
ou aux bornes des lacs monumentaux, les bourlets de la couture, les
ourlets de clair obscurs peuvent a chaque instant resplendir comme des
épaves de lumière, luire du fond de l'invisible, retenue au fond de ta
mémoire, comme un poème épique, in mente.
Couleur et parole assomptives, d'esprit renfermé sur l'univers et ses
concentration de chewing-gum-gum gum cosmique, pate a mâcher, brouter
, endive c'est selon....
L'amour de la femme honnie et
délatrice, qui accuse l'innocence d'étourderie et d'oubli, de ne pas
la reconnaître est faux comme le jugement qui condamne l'innocence. La
peinture sonne un la harmonique. Honnis elle ne l'est pas. Elle est
objet de pitié, pour les retranchements qu'elle s'impose, l'air
irrespirable qu'elle respire. Parce qu'elle comprime l'air de son
jour, comme celui de la mer, tuée pour être rédemptrice, du
feu-naufrage qu'elle a allumer en vain.

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