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30/01/2013

Tout le monde aime l'insouciance.



Le capital est la propriété de tous,
le capital c'est a dire la création de richesse,
aussi lorsque les grandes fortunes s’exilent pour ne pas payer l'isf,
elles s'approprient au nom du mérite, (que condamne le christianisme comme ne faisant pas partie du capital d'idéal par lequel se fait l'acquisition du bien spirituel éternel, et qu'il condamne dans l'erreur de Pelage) quelque chose qui appartient a tous indiscutablement.(puisque la richesse justifée use de son bien, et doit le distribuer par amour et non s'en servir jalousement avec l'idée de le retenir, puisque cette volonté de rétention atteste de la non pertinence du bien en question).
Ainsi il ne peut y avoir de réussite sociale légitime selon l'esprit mais fondée sur le profit, qui ne se transforme en don et des-appropriation du producteur conscient et détaché d'avoir été produit par ce qu'il lui semble avoir de lui-même engendrer.
En amputant le produit national l"évasion ampute l’harmonieux corps d'une communion sociale partagé par une langue commune,
et fait basculer l'esprit du peuple dans la jalousie qui le meut jusqu'au partage intérieur. Cessant d'etre entier, il devient belge et français. La communion de la langue cesse d'etre touijours possible. La guerre est declarée.
La nov-langue de la richesse matérielle se parc
c'est une langue qui a aussi sa géographie variable,
mais qui jamais ne peut rendre conscient, la nature inversée de l’attachement au réel lorsqu'il est mesurer au travail sans compté et qu'on a encore une passion pour le protéger...(passion révélatrice sur le peu de sureté du bien acquis).
Alors papys fonde un parti, pour rependre son esprit, se protéger, redoubler son pouvoir dans le miroir de chair des conscience justifiantes...E la brise legére emporte ce soucis dans es palmeraies barbelée avec l' argument couperet de son manque d'esprit son soit disant investissement dans la société, qui n'est que l'expression mal masquante de la profonde mediocrité de son cœur, de sa vie inaccomplie et de sa jalousie héritée.

L’argument vaut ce qu'il vaut, il a son pendant, le refus de s''exposer, de repartir de zéro (voir de plus loin) après avoir tout donner, tout risqué et tout gagné ou perdu, quitté. Pour recommencer a laisser advenir, le don excellent et parfait.
Le capitalisme broie le renouvellement des générations devient une tradition, voire une fin de l'istoire, c'est a dire une continuité dont on ne sort plus.
Le rice devient nanti, il s’éteint dans son fumoir, dans son pouvoir, et le papys bedonnant, fort aimable épicier au demeurant, s'achete kiabi et vous fringue aussi a vie.
Et bien sur c'est un pur massacre estétrque, une pure boucherie qui participe a l'appauvrissement sémantique des libertés toutes créatrice puisque toutes a l'image de dieu, puisqu'elles monopolisent les moyens de productions et la communauté du travail par lequel chacun devrait pouvoir s'accomplir, c'est a dire renoncer a ce qu'il a produit.
Et le papys devient tyran, lorsqu'il entend exprimer l’attachement de son cœur a son argent, mais comme il ne peut mettre la main sur aucun bien avec certitude il vit et produit surtout de la tension et de l’angoisse inutile. Allez revient papys, pauv' riche, on te bouffera pas tu sais. On t'apprendra la guitare et a rouler des joints. Et pourquoi pas, tu pourras même accomplir ta vie et rendre a la société ce que tu lui a pris pour te bâtir, acever de devenir toi-meme, mourir pour se liberer.
Intervient alors un avocat d'affaire qui me saoule avec ces réflexions sur le droit de propriété intellectuelle
"Et l'idée alors?" ...a lui de voir si en conscience elle lui appartient ou pas.

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