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14/02/2013

Les réparations du coeur.

 Les réparations du cœur.

 

A la vue du chef lieu du canton militairement organisé l'oiseau prit un large raccourci qui ragrafa les étoiles entre les pixels pulsant des pôles aimantés par un coup d’aile synchrone a son arythmie suspensive. La béance brillante l'aspira comme un électron cancéreux rejoindre les tumeurs galactiques qui roulaient leurs vapeurs nocturne sur les clameurs de l'Espagne aux  nageoires camelles. Du colza surréaliste poussait et dansait sur la pornographie des noms de dieu mis a nu sur la terre en germe de réalité, ou le fil dentaire résistait comme de l'ivoire iconique blindé de raison d'agir et de pneumatiques chambres a air soufflées du popotin expulsées clandestinement par le trou de balle régnant en maître sur la galaxie online du derme. Le piaf pardonna aux fleurs le pouvoir de mordorer les perles de la clef d’accès numérique six pans au champs du barillet d'osselets. Il rechargea la liberté d'un charroi d'étincelles sécurisées que la rigueur du print-temps perfora d'une noire performance d'artiste gagnant un fond d'écran machinalement neuf. L'aube en reset émergeait lentement de l’orgasme des zones du jouir épidermiques ou les souris d'ordinateur blotties entre les fesses des utilisateurs s'échange de sexe en mode fractal a travers la planète fantôme des courants d'air alternatifs alter-ego. En survolant une manifestation d'alter idem mondialiste qui fraisaient les lingots d''or dans l’anonymat synaptique du théâtre des banques de lien électronique, un bug mobilisa la foret du réseau irréel de bleue perchoir kantien. Les regards hébétés se détournèrent des oreilles de Klein et la foule compacte du brouillard déclassa  l'acier animal du désirs incertain. Tout pris soudain un ton acre grumeleux comme du béton. L'inconnu néo-localisé du verre désir d'exister s'installa dans le repos transparent, et pendant l'arrêt de jeu le disque moue du cœur acheva sa partie. La réalité pouvait commencer. L'after venait donc de renouer avec les radicaux libres, lorsque l'ombre au nues se dégagea laissant choir sur le cortex lexical du verbe en félicité les partitions hachées du coït anal socialement organisé. Un air de clavier politique joua dans la lumière un orgue de scarabée dorant ses plumes au soleil moyen-âgé. La modernité lunaire du calendrier convertit en poster une fin de phrase rester en suspend. Quelque chose de l'orbe des planète venait de recentrer la hauteur médiane des plans critiques autour de l'axe invariant. Il pleuvait des cordes dialectique dans la bouche noétique de tous les manifestants. La création atone éclata en fanfare. guerre et jubilation pétaradante explosèrent les pentium quatre core de branlette. Un grand vent d'aquilon secouait ses palmes du coté des poussières, et l'atome du sublime in explorer tomba sur les casques illogique des black box comme un spore d'inter net s'ouvre et se fraie un passage a travers un con en tarmac jusqu'au magique remembrement du tête-à-queue a l'envers. Le Champagne fut sabré et le jus de cervelle coula a flots. La tète de la crevasse baignait dans les marées de sang, les estafilades en rotation autour du totem de son super statu de super star friendly parvenait tout juste a regonfler assez les pastèque pour que l'idée de gloire ne fut put prise en compte saintement. En un clic le compte fut transférer en suisse et la foule se remis a courir derrière le signifiant, ou , selon d'autres sources plus informelles, fut chassée par la peur d'un fracas au galop qui émanait des claquement de porte du néant sous l'effet des courants d'air. On ferma les fenêtres qui gagnaient du terrain avec le jour croissant sur le surface de réparation. Le passage des muscades du nombre fit de grand sillon dans les camps de gaines électrique, laboura la terre d'une fertilité suspecte, si on excepte la génération spontanée de la ville fermière, le kolkhoz d'enc'or'logie financier, garantie sans amande mais farcie de toutes les déconfitures du temps. Une oasis pourtant, se lovait au cœur de l'éventration. La ou le sombre est si dense qu'il devient matière a surface des arpents. Au loin, des lobbies ululaient la défenestrations industrielles et macabrement perpétuaient le raout autour d'impôt. L'instinct de conservation au frigo était servit froid comme la vengeance sous forme de bretzel. On fit parler les armes dans les plumes de l'oiseau, et du néant suinta dans l'horrible bases informatique des marqueurs de l'information lorsqu'il chut mort dans la disparition du salut. Sur la table rase du repentir on dressa les couverts du reniement a pognon. La lucidité en pris pour son grade mais le coup de torchon salutaire exalta les nigauds pathétiques, maximisa leur pêché en fourrant  de plomb le cake de la félicité. Ils ajoutèrent un étage a l'enclume solaire de la tour tf1 et firent brûler les livres de la raison, dans le concept hanté d'insensibilité réciproque qu'ils chaussaient pour ne jamais faire la vaisselle avec l'humain condiment. Les winners exultaient, en recrachant un peu de dope par le nez. Un peu de fog anglais qui inocule si bien le scaphandre dans la fausse a plongeons tandis que la binette brouté poussait sur le crane des mannequins siliconés transpirant le fard des graisses du béliers. On accusa l'eau d'entartrer les lave linge, on rouspéta bruyamment contre l'interdiction des blanchiment d'argent sale et on se passionna pour la libre circulation de toutes les drogues.  Pendant ce temps le jabot du capitaine d'industrie grandissait, lui descendait jusqu'au ventre avec lequel il se greffait pour la plus grande gloire des avancées esthétiques de l'humanité. On n'enseignait plus on stratifiait statistiquement, on pronostiquait les écailles de la tortue sur laquelle repose le trou du monde. Le soleil se levait hissé par l'ingânerie humaine, a force de grue géante, que les firmes s’appropriaient a tour de rôle . On vendait quotidiennement le trône du firmament au plus offrant et on soutint en chaire que toute matière était le fruit de l'industrie inhumaine. Les scolopendres était maître du monde par l'interface golem a l’heure du goûter d'aspalath. Les bouteilles d'oxygène dans les pots d’échappements clonait l'atmosphère conditionné sous vide de synthèse, la biotechnologie ravissaient les plus sceptique en imprimant son texte sur les code barre des drones tatoués et copier-collé aux androïdes ouïes des vanité inconscientes. A vêpres, on repasse Grease a la télé mariale pour évangéliser le lien médiatique de la communion du genre.Et pendant que les époux croquent au biscuit du saint office, l'abbé sournois évide les caves du Vatican. Par défaut de truchement albinos on soigne la calvitie de l'église et lutte contre l'instinct pédophile des jeunes enfants puisque désormais le pape infaillible a estimer l'amour humain a la mesure de dieu. Je sais déjà qu'a noël prochain le Pére compileras l'année passer sur DVD CCD Cd tout support introuvable de matière rétractée des mines de l'impalpable frisson d’angoisse foré a la dynamite de l'effroi jusqu'au trognon du vide la bouffée liquéfiée d'air rance dont chaque goutte d'amertume est un atome d’éternité. Quand le vin est tiré, il faut broyer la pomme et le pépin du saint lien anxiogène, sublimant l'annexion des corps sur les rails de la tribulation électrostatique, renfoncé de froide mutisme au sein des asiles d’aliénés. L’exactitude en matière d'approximatif a de quoi faire oublier l'insupportable monitoring d'Ashaverrus, donne leur tache a tous les affairés cillant les orbes du vertige suspensif et ferme, a coup de pale d'hélicoptère divertissants. Prêtant ses armes aux âmes qui se rendent au rendez vous nihiliste sur fond de paysage manga saturé de spores apocalyptiques et de manganèse sirops de souffre. Fruit que l'on trouve en toute saisons qui pousse sur les vergers fantômes des nuits de plein gare, en oraison noueuse jouant la métamorphose des nodules du néant. Son jus, première pression a froids, mêlée de doublon des peines et d'une liposuccion sémantique des pentes qu'on ne peut pas remonter, bourre et aère les chaires de plume d'oies le parfait oreiller des cendres céleste de l’incarcération des reflets rapporter a l’Étalon mesure du vrai immesuré. Fruit qui pousse et mûrit a a l'ombre sans mesure, a mesure que croit l’absence de lumière, respire dans l’asphyxie le spire des déveines sacrifiées, profite de toutes les lèpres, se nourrit de venin et se désaltère du poison de l'iniquité qu'il boit comme de l'eau mais toujours a terme se transforme en oignons qu'on pèle et qui fait pleurer.

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