12/07/2013
Fétu
Combien encore d'ans vers corps : terreur et beauté confondues ; la
mire racle le fécond nu fond des scellés, méduse l'oeil terrassier du
marbre; l'os racle cellule et vase, verse et ou reflets verrou-clefs
l'inquiétude, outre a mers la peur des os ; a travers tente vague peau
cible étend la lampe d'ivoire sur les cotes noueuses du dragon ; l'os
pas lit d'un éclair la jungle liane inunion, transparents flots
croisés évente la sciure des colonnes du temple de la panse engloutie!
Bascule fond de nuit et de silence! Ouvre ta panse de rosée plus
souple reflets mitée de tes os d'inquiétude transpercés de lumière!
Segmente ta silencieuse suspicion des jours superposables a la face
effacée du don engloutie en fosse identité amniotique de dieu! Fractal
t'en tant qu'il en plaira de te détruire! Tu n'es que pris dans le
filet de tes reflets en lieu et place de l'inondé ouï qui crisse quand
la mire racle le fécond fond nu de tes eaux ; coagule le cristallin du
néant et voit la pile face pilée de l'Epoux vent taille! l'alcaline et
fractale avancée de l'ardeur des combustions a l'approche de la mort
dans la houillère brisée!
00:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.