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20/08/2013

Hommes au monde chose.

 Clos par chose, par contention, rétention, incarcération, chose, tout chose, oui comme un truc, machin mal saint chose, close et l'air acide des aride désert du solide mur transcendé sous ton ombre, tombé du crane d'un papillon mécanique qui se dépose sur la tête de l'instant...sur la branche mécanique de la limite du regard . Reste a faire sauter la contention incarnée dans un monde d'image qui la motive a se croire en possession d'une weltanschauung, qui serait la Bildung, ou celui qui affirme sa vision du monde serait un être vrai, et réel , alors qu'il ne revient a aucun être fini de se substituer a dieu, a moins de consentir a la cécité qui croit voir une image du monde ou il serait lui, tel regard incarné en tel individu détenteur de la vérité suprême, comme si son destin était  achevé, homme qui met la fin avant le commencement,  la ou il n'y a qu'une image de soi enfouie parmi les choses, et seulement un vide incommunicable et hérité entre nous, un homme intérieur qui serait ensevelit par un pardessus rouge de nerfs traînant comme un large ruban sur le crane de yorick ; car tes perceptions te sont absolument personnelles! Ta sensibilité , ton ressentie de toi-même, sont donc forcement pathétique, ils ne sont partager par aucun autre; puisqu'ils sont ta spécificité irréductible, éternelle, donc sans image, sans représentation éternelle de soi dans les temps de sa formations, donc forcement autre, pas celle de tout le monde, mais comme tout le monde, nerveuse, c'est selon, a façon, décousu recousu, anthropo-métré, selon une idée de cette communauté, pour laquelle tu vis, dans une certaine confusion il faut bien le dire, car, enfin, même si elle n'a pas encore de réalité, elle ne mérite quand même pas, lorsque du dilemme la lumière blanche du bon choix ne redescend pas comme elle est montée en tombant sur la réalité comme un coup de poing logique frappé sur la table des matières empiriques du dilemme, l'irréconciliable dualité du réel en toi partagé, ou l'âme s'évanouit, se partage d'une part d'oubli, se combat, et meurt, quand elle est prête a la mort, au renoncement qui efface les limites des choses, machin chose comme-ci comme-ça,  renonce a s'en faire une idée plus secrète, et qu'on tient le réel pour absolument public, c'est a dire quand on est un con et qu'on passe trois semaines a la plage a bronzer avec d'autres salauds, qui n'échappent pas a la visible communauté immédiate de facebook sans avenir, ou la lumière blanche du lien de fond d'écran vierge a conservé intact entre nous, quelques impacts de balles, qui descendent de la mort comme sa joie, au grand gallo blanc, le char a pleine poussée, laisse une petite poussière de sang, légère comme des paillettes sitôt disparu a quand même luit, caillée dans le néant, les recherches sont lancées, on lui a injecté un traceur dans le sang, il peut plus nous échapper ; a la mêlée, apres la troisième mitant, j'avais le sang redoublé, au carré, revivifié, d'un soulagement de parfait contentement j'avais le cafards, j'étais , sans chose, ce qu'il me resté d'amour, l'insecte dans son nid douillet d'apesanteur terrestres, dans la suspension collective du premier pallier de la lévitation, incompréhensible coucou d'horloge,  arraché vivant a la vie, qui obtempére de la tête avec un entier acquiescement, en  un parfait contentement du mort qui a tout perdu, le mort que l'on ne peut pas identifier qui est vivant dans ce qui nous manque pour être en permanence, perpétuellement bien, en parfaite santé mentale, membre de tout nos membres, coupé, disparues, ignorés, rétractée devant témoins au tribal des assises veuves ; sucrées de crêpes en dentelles, leur déconfiture, au visage dégoulinant sur la table par le gros robinet fraise ; l'eau courante c'est ce qui nous manque le plus par ici, présentement, et l'amour de tous les hommes, et la charité aussi, qui sort indemne et bien portante d'un torrent , roulant un peu les "airs" comme une Vénus Borgne perdant les eaux, s'allant s'ecrouler sur son puîné au regard quelque peu, trop flash ......ffffffffffffffffffffuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiittttttttt....

 

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