Varsovie 42

Un équilibre inexistant ; la corde ombiliquée du deutéron funambule bien équidé au délirium ; le parfum du soucis au goût d'hélium perche dans la ceinture des papilles du pore sensible a la manganèse magnétique du magmatique colibri ; l'envol lingual du macchabée mécanique retient son souffle avec un noeud sur la langue ; la branche mère parle avec un léger accent d'humanisme métabolique, d'ange décryptée ; la glossolalie fripée du commencement a repassé ses vapeurs de pâmoison ; et au fond des portes, le palais s'enfonce, par la gorge des couteau a perdre sa vie gagnée, l'énigmatique loupe du couloir anatomique de la liberté ; passe le vent qui remplacera les os ; les docteurs musiciens, les moustiques en cohorte, la moelle des essaims, les sardines a lyse qui dévoient la boite crânienne de ses bruit de fond ; le gond aboli tremble dans les poumons et pince la lyre, l'arc du ressouvenir, la flèche de Cupidon lance la blessure ; va jusqu'au bout de l'abolition, jusqu'au confin du chaos de stupeur muette ; le tremens étire les tenons de la mandorle entre les tonneaux laminant, le déroulement de la carrière des charniers est une fosse sans nom, sans poème, l'horreur injustifiable reste tapie, invisible esthétiquement, c'est une réaction éthique des rouleaux de la loi disparue dans le printemps qui ne vient pas ; l'acide du collyre a percé l'hymen du jonc ; le cuirassier de misère glisse entre les surfaces géométriques des fleurs ; des deux pans la jungle ancillaire ouvre au-delà du continuum espace-temps et dessille  d'horreur la transparence du Bien ; le poivre noir des interfaces s'effrite et la poudre du souvenir tombe sans lien au néant, morte irrigation irrite l'acousticien cardiaque stabilisé dans les roulements a bille de l'arbre de sang ; met la racine du vent en rond dans la cervelle, a flot la caravelle et le bobinage anti-statique.