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16/12/2013

sans titre (en cours)

Déjà sur les écrans de la salle de marché s'égrenait le chapelé de la haine universelle ; la foxxnexx comme toute entreprise de cette taille avait mobilisé d'énorme ressource financière et humaine, pour au final, ne produire que ce qui a terme devenait l'objet de la haine des hommes  ; pourquoi les hommes qui avaient jour et nuit travaillé pour cette société finissaient ils par la percevoir comme cette idole qu'ils brûlaient ensuite dans les manifestations de rue, les émeutes et les barricades? ; d'ailleurs pensa Gabriel en jetant un oeil sur les écrans ou les émeutes éclataient dans les capitales du monde, c'était un peu comme si le marché était devenu cette forme carnavalesque de l'activité humaine ou il s'agit de travailler pour produire Monsieur carnaval, celui que les enfants brûlent en fin de partie ; Gabriel regarda un instant les émeutes et les barricades qui se multipliaient sauvagement aux quatre coins du globe ; il se dit qu'il fallait être plus qu'aveugle pour ne pas voir concrètement la contradiction dans laquelle s'épuisait désormais toute l'activité humaine globale capable de mobiliser le meilleurs de son énergie pour produire le pire veau d'or honni, le monstre dont elle refusait la paternité, et dont peut être l'humanité avait besoin ne serait-ce que pour cracher sa haine quelque part et pivoter concrètement autour d'une catastrophe pour s'orienter et changer de direction ; et pourquoi pas autour de ce a quoi tous avaient volontairement et involontairement participé et qui a terme leur faisait honte ; tous les rapports des chefs de secteur de la grande salle de marché confirmaient qu'a mesure que la foxxnoxx franchissait le seuil de perception globalisé, elle devenait objet de haine de la conscience universelle, et cela ne tenait pas a la nature spécifique et particulière de ces produits informatiques qui avaient leur utilités relative sur le marché économique au même titre que beaucoup d'autres, mais a la nature même de ce qui s'imposait sous cette production et qui était de nature a rassembler toutes les consciences a travers toutes les langues dans une unanime condamnation, un unanime rejet de cette forme de domination ou le désir ne trouve pas son compte mais précisément fait face a ce qu'il ne veut pas ; parvenu au seuil de la conscience universelle, la foxxnoxx devenait haïssable parce que ce qu'au terme du terme le désir cherche, c'est l'Autre qui le produit et non ce qu'il a produit lui-même , qu'au contraire il refoule comme un mur d'obscurantisme économique qui éclipse l'autopsie du clair flux de la conscience ; ces situations de crises Gabriel les traitait comme un artiste et non comme un socio-pathe élément de l'économie en sursit ; mais contrairement a l'artiste méditant, qui se cherche en fouillant ses matières, lui avait son idée sur ce qu'il devait faire : injecter du dialectique là ou l'illusion de la victoire d'une société s'appuyait sur l'aveuglement de ses dirigeants a saisir la faillite qu'une telle victoire a sens unique provoque aussi infailliblement ; aveuglement qui ne s'établit qu'au fur et a mesure que la réussite mondaine du consortium coupe ses dirigeants du reste du monde et les induit a penser qu'ils ont gagné univoquement ; le trophée de la victoire économique masquant alors les flammes et les monceaux de cadavres sur lesquels il se détache dans un parfait cynisme qu'on pouvait mesurer a l'impondérable utilité réelle du dernier gadget auquel le monde avait librement choisit d'ordonner et de structurer sa trop bête insouciance de l'esprit.

 

C'est la que le job de Gabriel devenait vraiment intéressant, quand il sortait de la loi, et que sans le couvert d'aucune autorité, sans autorisation, en dehors du soutient moral indéfectible de Lords Macintosh tout aussi hors la loi, il multipliait les faux en écritures créait des Bank et des trusts de toutes pièces ne disposant que de l'énorme réserve de fond de l'Ambroïs Bank ; mais pour faire croire a l'existence d'une société, il ne suffit pas de disposer de fond encore faut il leur donner un semblant de substance réelle , assigner ces fonds au moins au nom d'une activité réelle ; et c'est a ce jeu que Gabriel était très fort car il possédait ce don de discernement capable de renverser la créance qui fonde les rapports économiques sur une richesse qui n'existe pas encore, en un désespoir  qui ne croit plus en l'avenir de ses produits dérivés et renverse la confiance en défiance brisant ainsi nodules de la tumeurs a coup de sang froids sur les nerfs  ; il attendit que le volume des produits dérivés négociés hors cote passe de $516 000 MM, a $708 000 MM$ ; puis il rétrocéda l'activité d'un groupe fictif sur le taux d'endettement des pays de l’OCDE 75% qu'il plafonna a 105% du déficit du trust féerique pour s'aligner sur les hauteurs de marges en terme de taux fluctuant ; immédiatement l'économie des trois nation les plus importante de l’OCDE réagirent en s'unifiant contre la foxnexx ; la valeur de l'action monta subitement en flèche comme dans une montée de fièvre qui prélude a l'agonie ; le "too big to fail" racheta l'Ambroïs Bank que Gabriel fit savamment reluire comme un appat bien juteux et un serieux conccurent, alors qu'elle cumulait 900 MM$ de dette cachées ; la foxxnexx acheta le néant qui la décontamina au point de la perdre ; certainement quelques uns de ses dirigeants se defenestrérent en hate tant le plongée dans les confins les plus sombres du desespoir fut violente ; mais la restauration de la confiance ne peut jamais se faire sans l'epreuve du desespoir ; desesperer a fond c'est deja reunir les differents plans d'activités d'une multinationale dans l'evaluation concrete, finie limitée de la definition de ce qu'elle peut réellement produire en terme de richesse finies ; cette etape etait la plus crucial dans le jeu de pompier auquel jouyait Gabriel en crachant sur l'irresponsabilité des dirigeants de la foxxnexx a laisser croire que leur entreprises etaient capable de créer des richesses de manieres absiolue et illlimitées ; aussi dés que la dévaluation soudaine de L'Ambroïs Bank après le rachat de la foxxnexx, servit de signal, la dynamite explosa et souffla la bouche en flamme du puits de pétrole, de la grande gueule de ses dirigeant qui ne savaient plus parler en homme, si bien qu'une défiance généralisé liquéfia la foxxnexx, a laquelle plus aucune créance viable ne fut accordé sur le marché; le monstre mit cinq heures a agonir sous les frappes chirurgicales de L'Ambroïs Bank qui l'évida de son sang qui se remit a couler dans l'archipel chaotique des spores economiques ;   la foxnexx fut discrédité a cause même de ses succès d'un discrédit qui proprement édifia un instant le systéme economique d'une décharge proprement spirituelle ou soudainement, lapres le desespoir comme apres un orage, chaque acteur economique pouvait lire ce qui pourtant n'était inscrit nulle part mais brillait comme les lettres de feu sous le nez de Baltazar qu'apres le festins et la mort, la nature mutuelle de la confiance etait un pivot dialectique que le péché renversé dans les termes d'une langue barbare qui faisait honte a l'humanité veritable, mais en révélé, par le scandale et la torture de l'eprueve la vraie nature ;   l'un virtuel de la finance, se remis alors a luire sur toutes les places financières, et la reconnaissance des dettes retrouva des proportions raisonnable tel que les entreprise grandes et petites liée au super consortium foxxnexx pouvait estimer les honorer ; la crise de confiance était passé pour cette fois ; mais Gabriel savait que plus ces crises se répétaient et plus le système était en danger et proche de la fin, car a chacune d'elle il devenait de plus en plus évident que le système n'était qu'une gigantesque bombe a contradiction ou les entreprises humaines qui visaient l'enrichissement au détriment des autres participaient a leur propre effacement, grandissait dans leur propre suppression au fur et a mesure que dans l'ombre du monstre leur confiance reciproque sur des richesses inexistantes, s'était développés bien au-dela des proportions réelle de leur capacité a honorer leur dette, qui devenu virteulle leur echappé autant que les echances de leur créance a rejoindre un jour appartenant au calandes grecques ou leur absttracites visées ideale de richesse rejoindrait la realité ; c'etait directement la pretention des dirigeants que Gabriel combattait, cette pretention d'une vanité absolument inouie ou  selon eux, le monde et toute ses richesses etait la contre partie réelle de la creance qu'ils etaient capable de susciter dans l'humanité qui croyait que sans l'inepuisable richesse inexistante dont elle accrediter ces societes, le monde s'effondrerait purement et simplement ; alors que c'etait l'esprit qui ainsi parce qu'il se trompé d'objet et de dialectique, s'epuisait et manifestait dans le monde l'uimlmense absence d'amour entre les hommes, l'immense absence de confiance entre eux qu'avait capter toute une langue managerial au profit d'une societe qui devenait l'incarnation du péché ;  vanité d'autant plus grande qu'elle consistait a faire croire sur un fond de richesse supposées mais réellement inexistantes, a leur capacité de produire le lien entre les hommes que ces societe capter a leur unique profit, si on faisait confiance a leur volonté comme a une providence produisant une caricature de manne qui inonderait de  niaiseries commerciales un monde d'idiots ; tout ce passait en fait comme si l'esprit du mal avait trouver son mode spécifique de parousie, un mode de manifestation ou l'absence d'esprit se personnifier dans le développement réel d'une dette devenue iréelle, inestimablement  capatatrice et insolvable parce qu'insignifiante des que coupé de la réalité des biens mais prise sur la confiance mutuelle qui devait organiser les agents economiques, spolié de cet esprit par la langue univoque de la victoire façon multinationale sur l'avenir des richesses qu'elles seules seraient capable de produire (ce qui était ni plus ni moins que de se substituer a dieu) : c'était ni plus ni moins que le concept de péché a échelle mondiale, comme phénomène globalisé qui prenait forme et se manifestait dans ce que les entrepreneurs libéraux nommaient un peu vitre une « réussite économique » ; certainement Reagan et Thatcher brûlaient désormais en enfer dans un des cercles les plus profond de leur bêtise absolue et incurablement opiniâtre et brutale, au même titre que les criminels de guerre et autres tortionnaires insensible a la réalité de l'esprit, mais une place de choix devait certainement être réservée aux Bush et consorts évangélistes, qui avaient en outre vendu leur merde spirituelle au monde entier sous l'appellation contrôlé de christianisme ; pur blasphème en vérité, que pas un théologien n'a relevé ; le développement d'un être se fait toujours selon une dette envers ce par quoi il grandit, mais si la dette est une unité abstraitement virtuelle, un idéal entièrement coupé de la réalité, il devient dogmatique et ne correspond plus a rien, si la finance noie les multiples racines de la dette réelle dans l'universel monétaire purement numérique auquel ne corresponds que des lignes d'écritures dans les algorithmes boursiers et les logiciels des banques, alors le texte de la dette se brouille, et le palimpseste idéalise la dette en la portant a l'infini ; elle devient pure culpabilité coupé de sa valeur marchande réelle, de sorte que l'un devient une faute tellement idéalisé que plus rien ne peut la racheter ; or ce concept a certainement une valeur dans l'ordre de la vie intérieure quand elle se mue et passe par quelque transformation radicale de qualité, mais est-ce bien a l'économie et a la finance de jouer le rôle de dieu sur terre? Bien sur que non, des qu'elle usurpe ce rôle elle produit devient elle-même la forme idoine de la manifestation de la conscience universelle du péché, la conscience de l'absence de conscience et sa ruine est le point de départ du commencement de la nouvelle civilisation de l'amour ; ici est la frontière ou l'humanité pouvait passer de la dépossession qui trafique pour rendre légal ce qu'elle vole et s'attribut par l'exploitation et la violence, a la possession qui possède sans posséder ; Gabriel devant la foxnexx faisait face a une forme de violence a spirituelle, qui ne voulait pas répondre d'elle-même, d'une dette insolvable contractée sur le développement du péché comme forme exactement contraire a l'esprit de l'amour ou des entités biens limitées couvrent leur dette mutuelle, par le pardon, de sorte que que la relaxe de l'amour est le vraie gain de l'économie lorsque la dette contracté de part et d'autre, au lieu de s'enfler jusqu'à ne plus pouvoir être rembourser est constamment remise dans un soucis du bien des autres qui est le même que le sien propre ; ainsi la diversité des biens spécifiques seraient unifié dans un cercle vertueux de spiritualité ou loin de s'enrichir égoïstement, une société se développe en contractant une dette qu'elle rembourse par ses oeuvres spécifique dans l'amour des hommes ; mais le manque d'humour des banquiers et leur amour exclusif de l'argent rendait les choses très difficile.

 

 

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