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05/01/2014

L'exception francaise : Descartes contre Carlos Ghosn

Après un règne aussi long que glauque la renne conscience fut déchargée de son fardeau par un projet politique flou, pour ne pas dire fou, qui relevait entièrement de l'inconscience politique, de la mise en pratique a l'echelle industrielle des elements contraires aux principes les plus fondateurs de notre culture, pour laquelle la substitution du règne de la conscience par la robotique était une projection viable , pleine d'avenir et de sens ; avant de mourir la reine convoqua les trente quatre têtes de cons que son ministre de la réindustrialisation avait charger de l'avenir pour mener a bien le programme hautement regénérant de la vie en déliquescence du royaume ; la reine en son dernier souffle tenta de leur dépeindre les conséquences désastreuses de ces nouvelles orientations (juste contradictoire en elle-même) et tout le mal qu'on devait en espérer a juste titre, mais il n'y eut rien a faire ; trop peu passionné par le fait d'être des hommes conscient d'exister dans une totalité qui les dépasse, les grosses têtes de cons ne démordirent pas de leur projets funestes (mais nul ne veut le mal volontairement, chacun voulant le bien seulement a la mesure de ce qu'il en comprend) ; la reine expira donc pour son bien, avant que les projets du bien entendu et conçu par des êtres qui n'y connaissaient rien, ne prennent forme ; et le royaume sombra dans une mutation organique sans précédent et apparemment sans fin, tant le manque d'horizon était inclus et développé par la nature même du projet de politique contradictoire ; noyé dans l'indiscernable inconscient politique on substitua la machine au règne des consciences ; les opposant qui étaient peu nombreux aux commencement du projet, se multiplièrent et leur masse grossit a chaque résultat positif de cette politique de mise au chômage complet de toute l'humanité enflé de verolleux sous etres  devenus insignifiants parce que encore handicapé d'une conscience ; quand quarante ans après l'annonce de la fin des énergies fossiles, l'information avait enfin traversé le dessert adipeux du squame de Carlos Ghosn qui tout a coup venait de comprendre, et lançait la voiture a moins de trois litre au cent sur le marché;  voilà le vrai temps de l'histoire, le temps que mettent les idées les plus simples les plus évidentes, celle du bon vieil humanisme traditionnel, celle que Descartes aurait appelé innée, a faire un seul pas dans la conscience des gros cons qui nous dirigent ; et je parle même pas de la substitution du moteur a explosion, par le moteur a air comprimé (il faudrait certainement pas moins d'un millénaire avant que cela ne traverse le génial cervelet d'un capitaine d'industrie francais tant la lenteur du processus semble faire desormais l'identité de l'esprit francais ; mais heureusement le catholicisme tient en France, les rennes de l'espérance....et il en faut, jusqu'à la vocation, de l'espérance, pour supporter la mis a sac des vies et des richesses de tout un pays pendants ces décennies que dure le show ignoble et burlesques de la grande incompétence porté au niveau de la reproduction industrielle ) ; quarante ans pour accomplir les quelques millimètres qui sépare la glande pinéale du cortex central c'est dire le vide sidéral qui tient lieu d'esprit a ses borgnes rois ; quarante ans pour qu'une idée évidente des son principe fasse un tout petit peu de place dans l'esprit inexistant de ces gros cons pesant milliards sur milliards ; je vous dis pas le temps qu'il faudra a carlos pour se faire une idée claire de dieu ; mais ça fait rien on s'en branle, ces connards sont des performeurs, des entrepreneurs, des mecs indispensables sans lesquels le monde ne bougerait pas selon le classement Forbes des cinq personnalités les plus dynamiques de la planète.... et il faudrait qu'on soit impressionné....

 

Le lendemain matin du jour ou le cerveau de Carlos reçus sa première défloraison noétique il vit l'étendue de toutes ses ressources et jugea qu'il ne pouvait rien faire d'autre que de constituer une collection d'oeuvre d'art ; car c'était au fond la seule façon selon lui, de se décharger du poids de son pouvoir inhumain. Mais il faut pas lui en vouloir, l'idée était encore toute neuve, toute flétrie, et pas encore relié a lui-même mais seulement appliquée aux autres, ce qui lui rendait difficile, quand même, certain soir, la perception de son reflet, entièrement négatif, dans le miroir. Et de ce jour ou l'esprit commença de l'inquiéter, on ne sait ce qu'il devint.




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