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02/03/2014

note

Voit a travers l'eau qui perce l'aimé imposé au monde malgré la forte résistance de son désintérêt scellé d'indifférence; organise l'ubiquité du visage de l'invisible, trouant les brûlés de ta vision ta propre cher oedipienne, développe l'image omnisciente de la voie qui se presuppose, se suit, se receuille et se corrige jusqu'à la suppression de toute incorrection, s'amende tout en disposant les chandeliers dialectique a l'entre-dieu des deux faces du temps joint par télé pythie photonique spores rugby du dimanche après-midi aux extrémités du terrain inconnu, au pieds du dieu jappe le vaux sacré du jeu vague déposé boueux en chaque tourment concret et complet; apprête le fin cachemire de Celan des séquelles moires du Trakl bitume apothicaire et d'une gomme d'hypostase propolis réduisant la transparence libre de l'ambre mue, rendu a vous quand il est temps d'y aller, d'imposer l'amour au monde, de vivre quoi, et de rendre a l'inquiétude de l'ame l'être d'une fin qui face a face noeud la tache sensée d'exister dans le trou béant des apprentis sorciers de la suspension, tous lévitant dans le sang du mauvais présage cosmique, que fabrique besogneusement ce qu'il est encore convenu d'appeler monde et société comme si ce monde et cette société étaient des buts ultimes et derniers de l'existence en soi, et non aussi encore des phonémènes pris sur le vif d'une angoisse qui n'a de sens que dépassée, crue réelle voulue autant pour attirer, que pour repousser et rendre réelle la conscience qui réalise le sentiment vague d'exister; elle le precise a travers la loupe du recit jusqu'au détail chirurgical et plus encore, jusqu'à la transparence ou dire et faire sont identiques; le sentiment de la dématérialisation absolue, de la décomposition déchirée et absolvante est désorienté par une époque qui dématérialise le sentiment et offre la possibilité d'un vécu virtuel, qui ne compte pas, qui s'appuie, nourri et cherrit tout ideal qui a la durée de vie la plus courte dans le temps, denuées de passion, pure giration, pur autisme, pur refoulement du no-life dans le bénitier de ses écrans de flans; mais être sensible a sa propre azbence d'ideal, c'est être arraché et enraciné a la fois dans le temps et l'éternité, alors que tout autour l'horizon n'est plus formé que de l'inaccessible dicible sur-naturel qui sert de porte d'entrée en co-naissance de l'être tiré du néant au royaume. Le langage, la lettre et l'hermine du fou détermine ce que l'on croit et autour de quoi tout gravite, s'ordonne et s'arrête pour mieux laisser entendre le sifflet du vent, filer entre crêtes et arêtes, les hauteurs béantes de la passion lue au double sens du bonheur et du malheur que comporte le fait de traverser seulement le temps quand on est revetu de l'eternel, d'en être éprouvé jusqu'à la synthèse du frisson qui vous fait hérisser le poil, jeter l'oeil enflammé et lucide sur le monde vain et sur la sublime lumiere qui émane des êtres; et c'est par la confrontation intérieure de la langue et de la passion, qu'elles se corrigent l'une l'autre, se définissent, se précisent et se développent jusqu'à forme  d'oeil  fonderie des idoles, l'eau de ces pierres est sans nature terrestre équivalente, la vision respire comme l'esprit d'un souffle d'art lustrant l'epiderme interieure de la conscience éternelle.

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