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25/03/2014

Toute chair verra le salut de Dieu. (en cours)

Nous nous connurent par l'érection de la grande focale révélatrice des signes intérieures de l'abandon; au prisme du sexe tendu comme un iris poreux a l'extrême de la sensibilité, la lisibilité décacheté des prémisses de la joie pure de l'abandon ; toute chair verra le salut de Dieu; la chair remuée de l'intérieure par le souffle vide de l'explosion levant les scellés psychique de l'orgasme, c'était bien la connaissance comprimé de mon amour qui devenait réellement la sensibilité interne d'un être retournée, extatique et délocalisé hors du monde, en lui-même; ici chaque mot prononcé a un sens éternel; sans la sexualité il n'y aurait pas de signe; bander c'est écarquiller les yeux pour mieux te voir mon amour de l'intérieure inscrite dans une totalité de pure cohérence qui est l'envers du monde a la sensibilité éclatée ; c'est le ton primaire de la joie apocalyptique, quand tu n'es plus qu'une flamme liquide courant sur la surface de mon oeil évaporé dans la vision, et que le coeur reste seul décacheté de chair par la proximité du secret a toi seul révélé; je te perçois plus chaste alors immaculée même, et soulagée des souillures que les eunuques présupposent ; les sexes entés l'un a l'autre sont cavités vide d'orbite pénétrée de l'effet de leur propre vision; l'arbre érectile sous la puissance du vide sanguin du secret ou je me projette sans définition, discerne et défige dans la naissance de l'orgasme le secret incommunicable de ton sexe abandonné a l'ermite hermeneute; puis le dénouement intérieurement ta chair, te rapproche du ravissement de la mort et tu deviens, un instant, esprit du liant de chair dénouée par le fond vide du tout révélé de l'intérieur de ton spectre de pure beauté irradiante.

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