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29/05/2014

Il n'est pas ici, car il a été relevé.

L’écho de l'angélique parole remuait encore un peu les lèvres au fond de la poubelle du temps ou les trolls tentaient jour après jours de tout miniaturiser ; le veau d'or d'Aaron avait au moins de la gueule, « fais nous un dieu qui marche devant nous ! », il devait perdurer dans les mémoires comme le point de fuite visible des efforts orientés vers la production de la richesse dans un monde ou le centre de gravité au sein de l'horizon sans dieu est ubique et nusquam; l'idole affichait la couleur du sens de la joie et des efforts; aussi la fourberie ne put que désirer assassiner a son tour l'idole dont elle était jalouse, pour laisser échapper de la boite de pandore l'essence la plus pure du plus parfait nihilisme, celui qui anéantie toute extériorité, interdit toute reconnaissance hormis celles cynique de ce qui la dégoute secrètement et ne laisse régner que le chaos de la confusion d'un jugement dialectique en soi errant dans le décors du spectacle du vide; essence même de la jalousie et de l'envie dont le saint doit s'évider totalement par la foi; l'essence de l’idolâtrie était encore trop rigide a la fourberie des trolls dont la devise n'est pas de se connaitre soi-même, mais de se suffire soi-même; fourberie qui n'en était encore qu'a son enfance, et qui laissé a elle-même depuis, désira quelque chose de plus torve, une configuration de l'essence qui ne soit que pure distorsion pour produire en elle le secret nécessaire a toute existence de la pensée, mais encore, le secret camouflant ses intentions inavouables, au lieu de confesser le mystère dans l'effort de la compréhension de son énigme ; le cœur fora bien son trou, mais a l'envers; aussi, l'ancien projet qui voulait une idole, et la voulait qui marcha devant conservait il encore quelque chose de sincère, sincérité qui répugne au cœur du mensonge qui conçu son développement supplémentairement comme une réduction dialectique en soi de l'idole visible en un pur chaos invisible ou c'est dans le mal que l'on fait que l'on trouve sa plus extrême et sereine jouissance de la vie ; l'essence du projet capitaliste était formé comme l'essence la plus noir du cœur, l'encre du diable avec laquelle on n’écrit que la joie prise aux atrocités: produire un avenir qui efface de tout souvenir le production du projet; le comble de la fourberie n’était donc pas atteins au commencement du péché, il lui fallait s'enfoncer plus profondément dans le mal, produire son intention pour que la joie des fourbes fusse complète ; et cela ne se pouvait tant que l'idole était visible ; aussi conçu t-on un projet ou l'avancement dans la joie consistait a la déliaison totale et complète avec tout entité supérieure, a commencé par dieu, mais aussi en rompant avec l'idole elle-même, puis en progressant, en coupant les ponts avec tous les hommes dont il s'agissait de se jouer a son unique profit ; c'est alors que le concept de « résultat » devint essentiel car la joie impie ne pouvait paraître en un homme qui rompt tout lien avec les êtres, qui vit dans les faux semblants ou il n'y a aucun repère qu'en inventant le concept de résultat ou l'effet de sens, peut produire l'illusion éphémère d’être gagnant. Cet homme qui nous a fait monter du pays d’Égypte, nous ne savons ce qui lui est arrivé.

 

 

 

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