21/06/2014
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La liberté sauve, toute translations noueuses de nos gestes établis aux connexions légitime du rapport de la différence par elle-même a l'autre, qui tisse la transparence de notre effacement, absolue peut-être, et forme une identité....forcement transcendante...une conclusion de la vie qui dépasse la mort terrestre, c'est ce qu'apprend la traco-diction...que la conscience est cette impression personnelle de se traduire ou d’être lu dans une autre langue que la sienne, cette impression que l'existence est traduction de soi dans l’éternité mais qu'on doit faire avec la signification terrestre pour la signifier... et signifier l'eternité, le suspend du temps, la valeur eternelle d'une parole, bien que vivant dans le temps, ou aucune réalité immuable, ne peut-etre prise a torts pour une normalité arbtitraire de schémas sans tensions, sans correspondance ouverte a toutes les finitions de l'impensé désir intégré a lui-même. Écrire redevient aussi insignifiant qu'une tache d'encre. Quand le portrait devient affreux et que le besoin né d'une autre image qui n'existe pas mais qui constitue la prémisse de l’œil capte toute ton attention et lui donne sa taille réelle. L’œil du plexus entre les épaules de l'horizon, déplace le journalier rejet de la source de lumière, et le converti en électrique position géostationnaire de la tension qu'on ne perçoit pas, et qui ne peut qu’être conçue mentalement comme cause transcendante de cette lumière nécessaire a l'exposition des dons du sort....c'est ce que Pierre enseigne en épistémologiste, une chaire retournée vers la lumière, qu'elle mésestime constamment et tremble de ne pouvoir se concevoir sauvée....a cela répond le fiat...dogmatiquement représentée comme une parole qui n'a pas jaillit du cœur de l'homme et qu'on doit chacun formuler comme un accomplissement de la fracture de la raison qui est naissance de la transcendance.
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