Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/06/2014

sans titre (en cours)

Un seul atome était relié dans le ciel, Pie pris le métro, mais toutes les stations le menèrent a Rome, ou il pris un train de vie plutôt fantasque aux dires des témoins, et retrouva sous d'autres coutumes les mêmes horizons, que ceux qui unissent les réseaux routiers périphériques des mégalopoles qu'il quittait pris par des besoins d’évasion, besoin d'avion desquels il descendait tout dépaysé d'un quart d'angle sur le cadran toujours obtus des heures; quand il eut fait autour du cadran une vrille supplémentaire de clef dans la serrure, il s'en revint chez lui dans son studio pourri du west side, ou tout s’était pourtant mystérieusement agrandit en son absence; l'aquarium bullait contre les murs d’étrange suspension d'algues irisées d'arc en ciel métabolique qu'une maladie de goutte de la lumière, aurait arrachée a la richesse focale des rêves pendant leur sommeil, en tranchant a l'emporte pièce une part informe de la matière complexe du plus profond, qui une fois émergé dans le sous-verre continuait de distiller sa vie malgré l'amputation complète de ses membres transparent ; Pie se jeta sur un fauteuil installé entre les composition hirsutes de statuaire mayas lustrées d’intemporelle regards de dévotion, lustrées du sang des vierges immolées au dieu serpent, et une énorme souche de vigne qui semblait comme les les bois d'un cerfs renversées sur le fauteuil, les nerfs boisées d'une dents arrachée aux racine du temps, offrant de sa cage un lieu propice ou déposer les rêves, accrocher les angoisses, flotter un instant dans l’irradiant rayon atomique de la durée ou l’âme oscille entre l'ombre et la proie, divague avec les scalaires et les trompette chinoises qui tournaient en un ballet incessant dans le ronronnement félin du diffuseur d’oxygène ; l'appartement solidement ancré a une tour de vingt quatre étages dérivait dans l'espace intérieure de la conscience élargie de Pie ; qui dans ces moments la détachait par l'oubli la présence essentielle des symboles en formation dans les rouleaux de la matière de toute attache et étiquette reliant chaque objets au souvenir des circonstances de l'achat ; Pie assis sous la racine du cep dériva comme a l'accoutumée jusqu'au bout du rêve ou l’impondérable se recompose dans l'oubli du souvenir et compose un autre visage a la réalité qu'on croyait impossible dans l'ordre du travail pire amygdale ou de sa fenêtre il pouvait observer les haute fourneaux cracher les eaux sales des rêves broyés s’élever jusqu'au ciel recouvrir l'atome d'éternité du linge sale de la graisse des béliers la désinformation du réseau de transport céleste.

 

Les commentaires sont fermés.