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05/07/2014

https://www.youtube.com/watch?v=6dgpJmFJ50M

 

Dis-je-pute juste-ment evanouit a venir, le develloppement evanouit d'une force de nouaison, en butte a de digitable repère d'une incontestable limite bien réelle mais informulation, qui ouvre devant nous les porte sdu temps, et du jardin d'envie de perdre son temps a penserau  fossile de sa propre pensée, aux ecrements laissé, au parfum d'encens, transformé, échappé a soi-meme, au-dela du definissable et du determiné, se faufiler au greniers se faire un dernier pete, se defoncer la tête, en tête a tête, immmergé d'inversion inretiel sur le danger des mots traduisant aucune pensée stable de ce que l'on doit etre pour s'aimer, sinon se faire confiance les uns les autres et espérer; en travaillant  les frequence jusque dans l'arpége on aiguise le tranchant d'une lame d'une parole acérée comme une laungue têtant d'un pic qui  qui pourraient devenir brouillonne, a verité, mais euxde toutede perdre pieds de porc uniquement sur le quai douze, aux tremolos si doux, si détaché de tout accent, qu'il fini par hypnotisé sa proie et de la laisser cororiinas-souvient-ssement; une sorte de pression par le sexe, de la perversion du port prolongé du ton ou spasmodique alternative symphonie du coeur battement se régalant d'espace et de grande pensée dans les deuil et les meditation, du silence même, s'il en reste encore, même entêtant, même s'il en reste a faire chialer n'importe quel misereux, le dernier atome de bonheur sur terre je veux te le donner, c'est l'extase de mon etre, tu en feras ce que tu veux; mais moi je sais, pour ma part, que de l'extase retrouvée des mots dans le cours des inspirations branchie du mythe théologique du poisson volant, les pamplemousse récré les ouïes, plus courtes, raccommodées que les jambes des phrases les unes contre les autres et la sensation de l'infini unité et cohérence de l'amour qui noue sans détour, tout, des racine humaines éparpillées, comme la limailles de sa lumière sur le sol d’éternité, ou justement se consumes ce reflet horrible de notre propre folie, illuminant de sens le cours sinueux de la vie, flippé a mort lucide et souvent gaie, nous jusqu'à en perdre l’émotion, l'idée formulée contre elle-même de émotion éconduite de la sphère du monde, l'idée de refus des passions triste est informulable en nous même, ce ne peut être qu'une grâce accordée, retranchée en elle-même, dans un blanc de ton, qui laisse percevoir toutes leurs différente robe d'ans le bleu de la montagne, sous les grand pins, les pins géants, et ta présence . O eXacTemenT ce sont les quatre coins sculpté par l’écriture de l'air que tu respire qui te définissent éternellement a mes yeux.

 

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