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13/11/2014

Aux mines de lumière.

Il y a longtemps que les hommes n'approchent plus des livres dont les pensées enneigent les mailles glacées du filet sans fond de leur réflexion; la technique a modifier la perception des apparences, tout en masquant qu'elle n'est qu'un simulacre de subversion qui modifie la matière sans en changer la forme, ainsi le monde reste sous la férule de l'illogisme, du non-sens qui devient toujours plus insensible ; les tremblements du sismographe, en dehors d'une appréhension dialogique du saint encéphalogramme, se donnent l'air de progresser dans l'infini ; pure illusion, puisque dans l'infini, ou par rapport a l'absolu, il n'y a de réel mouvement, que sémantique ; aussi le monde ne bouge pas malgré tout le mal qu'il se donne pour se faire illusion sur son mouvement.

 

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