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10/12/2014

A la loupe

Les loops du pouls aérien embrasent le dénuement constellé du ciel ! Et les pôles de clarification effervescent bouillonnent comme des champs de coquelicots cloquant sous le vent, la génération du vide qui trempe ses pinceaux dans l'effroi de ton iris pour vernir la culture d'une couche supplémentaire de transparence ; comme tous les jours, ils ont le teint plastifié des miniature de porcelaine sous leur vitrine ; quelque chose de plus clair s'est noué sombrement pendant la nuit ; un contraste plus violent qui chasse de la tête l'ancienne sensibilité ; au soir, quand on se rendit compte qu'on avait perdu l'esprit, ce n’était encore qu'un mal de tête qui seulement, après dîner de l'avarié se changea en fièvre durant le sommeil ; un rebours rêveur du peigne resta coincé dans les représentations ; au matin l'horizon traumatique presse comme un étau, un jus d'orange concentré comme de l’hébreu entre les dents ; l'avenir est froid entre deux qualités ; voit comme rien n'a changer, voit leur politique du tourniquet, l'immobilisme est une loi absolu édité in mente; lui, il ne reconnaît plus rien de ce qu'il a sous les yeux ; tout est emballé comme toujours, sous scellés, empaqueté dans des cartons, programmé ; il n'est plus lui-même qu'un gadget dans les vitrines ou il se voit vêtu d'un gilet pare balle contre son reflet sous le lustre des canons et des mitraillettes, il a l'air martial du capitaine d'industrie du chef au pieds plats qui vend ses mirages pour garantir la pérennité du siècle aux trafiquants de yaourt ; et le soleil darde des balles de confesseurs de la bouche des enfants ; elles fondent leur 8mm sous la langue comme un anxiolytique ; chaque bibelots respire son plan de carrière ; la ville est une bulle, une déformation du sous-verre dans le grand froids du mal radieux ; vanille et citron, un grand plouf circule par les rues, entrent par le ouf des portes closes, et ressort en grand bond par les fenêtres du désarroi; le néant structure nos sociétés et on le visite aux heures de pointe et d'ouverture de la tranquille inconscience mise en une du refoulement; l'alarme sonne quand il touche une voiture de sa chair impassible au désastre du monde; l'antique ironie a changer de sphère; elle n'est plus dans l'individu, devenu insensible, mais dans le monde qui se moque de sa morgue ; le néant est l'ontologie du spectacle ; les rues sont bouclées pour cause d'incessant travaux ; on ajoute une aile a Babel ; mais déjà le même esprit habite les lieux ; lui il n'est que locataire, commissaire attaché au cimetière, il recense les morts de la nuit ; pourtant, il n'y en a aucun, ils se croient tous en vit parce que capable de reproduire encore et encore la même semence d’irréalité morale, la même apparence de dignité honteuse qui a perdue le secret de sa pudeur dans la lagune publicitaire des bleues paquets de névés plus silencieux que les mots innervant leur conscience des faux concept du silence et de paix sociale apparente; il suffit qu'un nécromancier déboule d'une avalanche comme un électricien tenant dans chaque mains les fils rompus de la connexion synaptique, pour que ça crépite de partout, ça bave du feu achrome et dépolie des etincelles illuminant les rouleaux de printemps transparent de conscience; emballé c'est pesé, autre lieux commun de leur pas de fourmis dans la prudence glissant sur des flaques de vomis de l'impasse des apparences ; l'heure, le temps devra se former en eux d'être et de parler autrement; l’être est le secret du cœur, il n’apparaît pas; la est sa différence, la est le maintenant de la certitude de la création; retrouver le traumatisme de la différence absolue entre ce qui est la devant et qui a sa raison apparente, et ce qui n'en a pas et s'impose comme objet de croyance ; ô abîme impitoyable, qui foule au pieds le cœur plein de désespérance ; la multiplication, la séduction des apparences il ne veulent pas la voir ; ils disent connaître l'amour, mais ne veulent ni reconnaître que sans dieu ils ne font qu’échanger leur désespoir, ni ne rien savoir d'un choix qui en rendrait vivante la douleur, et remonter le frisson le long de l’échine, ce sentiment tellement rompue a ne pas se fier aux apparences ; voilà qu'en vérité ils mentent consciemment. Toute leur langue est imbibé de ce mensonge savant comme une éponge qui efface la réalité de l’être invisible que seul l'amour inconcevable, extrait des apparences, discerne. Peut on sortir de ce marécage ? Seul la foi est en mesure de le croire. Mais il n'attendent rien du temps que ce qu'il y ont déjà projeté selon leur courbes acéphale régit sous l'ontologie pulvérisé des statique de la quantique non-manifestation de la subjectivité pure de l'esprit ; sans aucune trace d'objectivité il n'y a rien du il y a, hormis la grande respiration brisé, le grand soupir du cœur qui comprend le risque de croire a l’être effacé sous le cumul de nos représentations. Qui a agit une fois contre lui-même, dans le sens de l'amour a reçu ce signe. Il en a toujours été ainsi et il ne peut pas en être autrement. Alors reviennent les apparences, comme les irisations de surface d'une plénitude féconde selon un ordre absurde parce qu’inaccessible directement, alors revient le monde ou la rencontre avec les êtres est un nœud synaptique dans le puits sans fond de la manne. Mais sans foi, les êtres sont des code barre qui n'engendrent aucune singularité nourrissant le monde des miniatures brisées. Alors et alors seulement après cette expérience tu pourras dire merci, tu pourras vraiment confesser de tout ton être que la vie est belle que ton être ne voit l’être qu'a travers la beauté qui en évide toutes les apparences ; alors et alors seulement tu comprendras ce que parler veux dire, et les mots creux prendront une forme dans ton cœur, ils seront l'expression même de ta réalité consciente, et tu pourras mourir sereinement même couvert d’opprobre et de crachats. Ontologise par ta mort un seul des mots de ta langue maternelle et tu entraîneras tous le reste ; descend dans le tombeau de la langue voir les êtres invisibles asphyxiés sous la fausse lois des apparences qui structure l’égoïsme et tu remonteras a la surface de l’éther en une poussée aérienne qui t’était inconnu ; plus léger que l'air plus solide qu'une montage tu comprendras la seule chose qu'il importe vraiment de comprendre, combien il est sublime d’être homme.

 

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