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19/12/2014

Le bocal a Tao

Sa tête contourna les liants du premier apollon venu tout brodé de points transalpin qui luit cru sa graisse a reluire, le mangea et régurgita l'aspirant du vide au rien sur l’Hélicon ; il y rencontra maints petits arsenics taiseux dans la soupente aux perpettes tortueuses du subconscient qui fourbissaient fébrilement leurs clos grelots de lustre fraîchement taillés dans la masse électro-statique du poil a gratter conscient; la folie frottait elle-aussi consciencieusement l’œil d'une grenouille avec une touffe d'herbe sauvage enchevêtrées de vierge effroi ; elle attendait le soleil dans le secteur du tao soigneusement capitonné par les clous géants du scintillement qui la coiffaient; en passant elle se jeta dans son regard et lui souffla la persienne de l’œil qui délimitait l'érographie empathique des apparences d'intervalle, si bien, qu'elle ébrancha le lustre en recourbant tous les demis tons de la clair-voie de la charpente dans la rapport du souffle ramené a l'oculus par le quotient des fruits bruissants dans les ramures, pesés a l'unique branche stable du tronc de jonc flutant; la fontanelle médiane du pénitent fut soufflée comme le chapiteau du confessionnal par un grain qui rinça les compas, déboussola les règles, et aiguisa le sextant du pinacle sur les tirant d'ailes qui s'appuyaient contre le vide intérieur du tympan pour faire monter en graine l’idéal du néant inconcevable et vivant, ou résonnait comme un océan, l'impression d'absolu, l’achèvement de l'exil de l’œil dans l'asile de l'oreille au lit sinueux grevé de plumes tourmentées par la voix tonale du commencement.

 

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