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24/12/2014

L'existence n'est pas un prédicat

L’oliphant si goût terme par l'entraille de son ; qu'il est la graine électrique de l’icône dont l'entente germe dans un monde en guerre, sans holographique reflet de soi ; il entend se décomposer, déchirer difficilement les cordes synaptiques qui relie les navires au quais, les quart de portion du cerveau incomplet, flotte sur la mer fœtale et invisible par absence de lumière ; c'est dans le noir absolu qu'on avance, en sachant qu'il nous faudra bien croire a la transfiguration de la nuit ; au bords du cercles stellaire, il se pencher sur le boa galactique bitumé de diamant terreux qui explose en sombre feux d’artifices de déflagrations ou l'incommensurable puissance de leur chaos, étincelle dans un ciel pur comme un feu sans chaleur, il se penche et écoute la chaire déchirée des êtres, se partager entre le monde et dieu. La vraie situation, celle du sérieux, est celle-là : tu n'avais jamais penser a mourir avant l'instant ou tu apprends que tu vas mourir dans un instant. L'air est saturé de bruit, de soupirs de tristesse, de voies improbables, siliceuses comme des porches creusés dans le vent par des pierres sans age, ou des grincements de chaînes et de lame accompagnent le voyageur solitaire au bras du hibou, qui se souvient des périodes des berceuses que lui chantait sa mère quand il était enfant ; des cris indistincts peuplent le fond organique des abîmes de la voix réfléchie qui est la synthèse de la matière et de l’esprit, l'unité du vide et du plein, l'essentiel atmosphère de l’organique, le mode de la jonction qui cherche le silence de la compréhension par la langue et son pouvoir d'infini et palpable intuition du réel des êtres ; les son s’écoulent comme un fleuve qui mene au tympans des oreilles, a la stéréo extatique du mouvement reperable dans la girosphere constellé par la dilatation du rythme cardiaque qu'il faut suivre; l'ouvert est ce temple de l’ouïe parvenue, développé jusqu’à sa propre écoute par delà le rythme cardiaque, et les vertiges de la connaissance de la naissance ; tout l’indéterminé du battement de la pluie, l’égrènement des nuées qui reproduisent les questions dans le chants, les accompagne et annonce, en sifflant tout raisonnement que la météo aura toujours raison, des falaises de poussière du raisonnement, remontant le cours de l'attraction, jusqu'aux créneaux formant de gigantesques tourbillons de sable qui emportent dans le courant du flux sanguin leur systématique rupture de continuité ressoudant le monde, que l'on reçoit en plein visage comme de la poudre au yeux mise en rapport avec le flux absorbant de réflexion les discontinuités de la caisse de résonance sans laquelle la cloche fêlée ne rend aucun son, comme autant de présage qui accompagnent la venue d'un être se détachant de l'horizon porteur des lucidités; de la cire coule des romans qui suivent le cours d'une renaissance ontologique, en sondant les diverses régions de l’être qui en composent le paysage translucide ou l'aventure réfléchit de la connaissance de la vie éternelle se joue ; la chair est un youyou votif, un système vibratoire qui tisse entre l’épiderme et la moelle des os, les liens permanent des renvoies de la subjectivité a elle-même, de la présupposition a la conclusion qui y revient, y ajouter en quelque sorte cette détermination du réel qui n'est pas une catégorie comme les autres, mais celle des êtres en extase, que le raisonnement imite seulement, (et on peut y puiser tout un tas d'ossement symbolique capable de provoquer l'effroi) puis, tisse, peut-être si on s’appuie sur quelque chose de transcendant, entre les êtres paraissant a travers ce qui n'est encore que leur propre transparence, une aire de respect et de conflit, avant de l'oublier, de s'en défaire, parce qu'il n'y aura plus rien a défendre du bien qui échappe par son cri a la rouille et aux cendre, et de vivre alors passionnément dans une autre transparence donnée et qui poussée a son extrême est l'objectivité de l'absence de signe directe de l'esprit dans le monde qu'on habite comme si on l'avait déjà quitté; le reconnaître c'est commencer par le commencement, apprendre a connaître son péché, pour le distinguer de la transparence de dieu sur laquelle il sur-imprime la finitude de ses vues.

 

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