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01/02/2015

Un message

J'aime les boiseries dorées a l'or fin de siècle des ciel de chambre du dix-septième ; les portes de la pensée allongée sur le lit y sont comme des vantaux enfoncées dans les plumes, une substance qui n'est déjà plus la terre, ni tout a fait le ciel, mais entre deux, là ou tout est différent, l'ordre symbolique y acquiert spontanément des tension sensible, des grossesses nerveuses qui craquent dans le plancher comme des mèches de fouets ectoplasmiques a la fois libre et soumis inconditionnellement, dans un manoir sémantique, ou l'on sait qu'il n'y a qu'au contact de la mort qu'on retrouvera la pleine possession de nos lampes, contrainte d’éclairer leur nécessaire contingence, ferré et possible infiniment, possible comme si l'esprit objectivait sa mue dans les formes de la matière qui doivent disparaître et derrière lesquelles l'esprit se déshabille, retourne son déchirement en vêtement, et transforme sa honte en nudité, de l'autre-coté du paravent, il paraît recouvert du mystère retourné par la curiosité gloutonnant l’étonnement de toute viande fraîche alimentaire de base hachée binaire au ver du fantasme, l’hystérie sociale permanente lui donne l'air d'avoir sa place dans le courant de la terre, lui ajoutant peut-être un aspect dramaturgique de branchies ou des rallonges de couloirs pour repas de fêtes portés par le courant.


Même les prophètes n'y reçoivent plus aucune vision de l’Éternel. Au tableau des distillats, les écrivains accrochent des constat, ils les affiche sur papiers a un montant du lit, aux pieds du malade telle courbe des fièvres du corps social aux chevet des articulations brisées sonnant comme des gyros de gendarmerie, mais néanmoins incapable de faire bouger Lazare du moindre orteils, (est-ce encore de la littérature que cela ? Peut-être, a un degrés éminent même tant la distance a soi dans le temps n'y est pas critique sous l'angle de l'urgence absolu de l'instant, mais le moment nécessaire de panique lui même représenté dans un monde qui sait tout et meurt de diluer toute émotion éthique dans des vues abstraites qui semble les rayons dardant de l’éternité dans nos tetes alors qu'elle ne sont que le squelette d'une chair lié a l'émotion au déroulement paradoxal qui au contraire perçoit l’éternel dans le temps dans le moindre galet roulant a travers la bouche des torrents ; c'est le maçon qui c'est alité un instant, tant la démesure entre l’émotion idéale de la félicité d'amour qu'il éprouve comme sens et comme matière même de son corps, et différente de la réalité du monde qui la refoule, et n'y a pas ou peut trouver dans les constructions humaines de l'esprit de son temps, la moindre expression idoine de son propre sentiment; le jeu des apparences lacère ou saisit le corps social disloqué qui remue comme une carpe jetée sur la berge, comme un moribond esprit atteins d'une maladie métaphysique il cherche a se saisir de lui-même comme d'un tout a la fois parfait et en mouvant, comme d'une parole par laquelle la confusion mentale lié aux fortes émotions, disjoignent les bords et les contours de la lucidité et donnent a croire qu'une sueur traverse les tissus de choix et les imprimés sur lesquelles la tension du charme de la trivialité, a déposer son reliefs de cordes de navire dans les colonne du dais des douleurs, qu'il pouvait ressentir dans le fait de devenir sociable quoique les prolongement et extension de la joie fondamentalement n'y atteigne jamais les terre de l'exil de sa propre mélancolie et reste a jamais captive de la duplicité dernière du solipsisme que seul l'effroi absolu peut faire exploser. La douleur est une grâce, imaginer le nombres infini de condition qu'il faut remplir pour que quelque chose comme la réalité d'un instant de bonheur absolu soit possible, cet instant du premier amour qui ignore qu'il est atteins de la maladie solipsiste de la mélancolie; il rêve d'un corps social qui serait conscient de produire l’écorce sur la sève ; écorce coercitive qui tombe avec la dernière limite de l'esprit quand il renverse tout le sens de l'apparaître, entrevoit du fond des catacombes, l'esprit se ressaisir et se lever de dessous les décombres, il recule en avançant en lui-même, il se retire du monde, ou plutôt se monde d’englouti en ordre, antienne en pleine inoculation de la transfiguration, ce retournement de l'esprit, de la compréhension comprend seulement que de la même facon qu'il a qualifié le monde en le nommant, il est lui-même l'objet d'une qualification supérieure qui n'a pas de mot pour dire ton attachement aux choses de ce monde, non plus que ton détachement, actions bien singulières en laquelle il s’insère quand il renonce absolument au monde, et comprend la qualification comme une dé-termination qui produit a nouveau la certitude subjective, mais au-delà du monde désenvoûté ; l’incapable de se ressaisir et d'avancer dans le temps, de retrouver l’électricité du courant qui suspend entre l'eau et le ciel, l'asphyxie des grumeaux asphyxiant, d'évaporites pétrifiant l’atmosphère propice a l'invention des religions qui jettent par dessus la crise, l'ancre du projet de la foi gravé qui attend mieux la religion dans le fossile sémantique, le nouvel essor du mystère dans la dépression spirituelle, mais les mine d'encens étaient fermé pour cause d'inventaire libérale dans le temple sacré de l’étonnement; cartographier la route sidérale quand elle ne peut être tracé que par le mystère qui vous étreins c'est bien sombrer spirituellement; le renouveau de la terre brassée par l’alphabet des ruines matérialistes, les codes de l'intention s'inventent un nouvel horizon au-delà de la vague destructrice du temps remodelant l'obsolescence des pensée et des chairs ternes ; la sagesse et la joie, prise dans leur germe première de folie et de désespoir, sans tricherie: une civilisation épuisée qui a nouveau conjure ses scorpions et ses aigle en les gravant sur les stèles pixelisées ; elle réinvente dieu le papillon chaotique qui porte le soleil sur ses ailes d'insecte, et tourne autour d'une chamelle en sueur qui s’endort sur des sacs de chiffres brigands mis entre parenthèses de leur insignifiance sous le sesam perdu des chanteurs de conte égyptien au fond des verre a pesé les huile inquiètes de Morjiane, qui se reposent au son de leur de rires, après la traverse du désert baignant dans son or; c'est le plus ancien temple du monde, la ronde des doigts, qui est aussi la première efflorescence anachorète de l'organisation spirituelle ; la main en volant son mouvement au temps a été habité de l'esprit de la liberté, tel qu'il lui fut proposé par le nœud premier de la réflexion malade sous la forme de vis a vis avec l'espace et le temps.

 

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