05/02/2015
Clos-ex
Ainsi je soutins pétrifié l’étincelle des colonnes entre les doigts du péché de la conscience qui prenait racine et vie en toute chose, l'occasion d’être d'abord et avant tout un événement pour moi-même qui explosait comme une bonbonne de gaz ; a voir les mailles qui se rapprochaient de la surface liquide du son, mon karma avait finit par cesser de battre et de se refléter dans l'univers, j’étais si pale en pleine lumière que son visage était celui de mon univers maintenant; un linge mité et perméable a la lumière instable, comme le vent, un ocarina crane de la satiété avide d’elle-même mais posé, oublié sur une roche; après un atterrissage désorienté dans la houle et le sable, sortant de la coquille d'un crabe blanc tombé nu du ventre ciel en plein champs magnétique de dilatation de l'être et de grossesse d'entendement, espace et temps de la transe mission apparurent sur mon écran d'ordinateur sous la forme d'un message du Major Tom call cyber land, and deep space of darkness sound's saoul ; sand's saoul, les sables wirklicht du temps vibrant autour du faune dansant sur les aigle battement sonnant, comme une membrane de peau tambour éclaboussée d'un atome détendu par les chemins du souffle conscient, par les voies de transhumance remontant du caveau des confusions, a la terre des souffrances autour du totem de joie; des traces de danses dans leur yeux, pagne et chasse mouche en crin de soie rouge sang; le feu alors offrait son ballet, ici, le spectacle ne dure qu'un instant, celui de l'oubli de la transe des corps permanents, et puis retour immédiat a la transe des ectoplasmes en sueur recouvert de poussière, qui invoquaient l'esprit des lettres, appelaient la pluie ou le beau temps non-tracé du futur en faisant moult geste qu'aucune pratique ne pouvait intrinsèquement justifier tant ils était nouveaux, comme le déhanché de l’éclaireur sur le bout de piste invisible de l'inconnu ; le geste nouveau, caressait le tatouage des bêtes sur le totem comme un pelage représenté par le carrousel de l’âme détachée c'est a dire reliée a elle-même spirituellement, verbalement, en pensée, et a travers les choses et les événement, sans être écraser ni emmuré en eux, ainsi que le chant qui élève la trame de l'instant au grain du grand soir de la lucidité spirituelle, la pincée pauvre de sel du verbe imparfait, aux armoires étoilées de la langue, les nuits de pleine lune, ou le feu rougeoyait comme une phrase inscrite sur le mur ocre et sombre des longues falaise d'appalaches ; on y dansait ombres contre jambes, des nuits entières, jusqu'à ce que le vert des prairies luxuriantes redescende du ciel, et apparaisse ce qu'il était dans la main du grand Manitou comme un mot au cœur de l’éternité, une danse intérieure avec les étoile sur de noires sentiers; parfois l'esprit venait en comme un lion, parfois comme un aigle rodant très haut sans jamais s'approcher, mais quand nous dansions autour du totem, a chaque fois il venait tendrement soulever mes pieds nu pris au piège dans les mâchoires du péché, de la conception de mon malheur, et m'en arracher, m'emportait dans le vertige si grand qu'il en devenait immobile comme une omni plaine de printemps verdoyante et fleuri; l'esprit venait me prendre et me déposer doucement, la ou tout débute par le mouvement de l'immobile, quand tout en moi se détache et se recompose autrement en donnant sens au malheur; au commencement de la fiction, le papillon et le bison, ont les mêmes ailes invisibles qu'a Lascaux, manifestent le même pouvoir adamique prenant conscience de son vertige et de son achèvement dans la suspension ou la statutaire s’érige en Europe pendant ce temps comme un symbole permanent de ces distorsions qu’Ulysse soutins de son regard pétrifié, jeté sur la chimère, soutins, c'est a dire qu'il conserva écarquillé l'attention sur la flamme de sa vie entre les paupières du péché, et les créatures fantastiques qui s'agglomèrent en légion sous ses vantaux immatériels du béton des peur vampirisant entièrement la vérité de la vie de ceux qui les contemplent sans croire qu'ils se font eux-mêmes une ponction lombaire; la conscience de l'erreur est l'histoire véritable des progrès de la pensée et de la philosophie, mais le point véritable de toute histoire humaine, le commencement, comme l’achèvement, de toute histoire est le miracle, l'Instant paradoxal de la conscience perdue, l'instant totem ou les motifs prennent vie indépendante du solipsisme pourtant conscient de lui-même ; au terme, l'effacement de toute cruauté, la parfaite bonté de la parfaite charité, l’équilibre parfait dans l’échange fait chaire dont l'esprit dégagé de sa gangue était taillée a mesure d'homme comme il était aussi écrit un peu plus loin d'ici, sur les pierres tombales des premiers : l'homme est l'avenir de l’éternité sur terre, quand l'amant du malheur, meurt en sacrifiant toute forme convenu a son bonheur, et que la joie le cueille l'arrache a son irrémédiable abattement, l’extirpe du sang vicié par le chagrin qui fausse a priori toute pensée, mais sans laquelle non plus aucun mot sincère n'aura jamais aucun accent de vérité ; et puis merde, il largue les amarres du calcul qui le retiens dans les filets les plus asséchés de la manne, il quitte les sentier du malheur, qui s'affecte elle-même, se vide comme une boule de ronce que le vent emporte brûler au désert.
https://www.youtube.com/watch?v=HNuSD49chY8
Pur contraste de la passion, dans la langue rapportée des lumières ou les lettres sont mise au pied de l'amour picotant son pain dur....
https://www.youtube.com/watch?v=15WDBuvovXo
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