Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21/02/2015

Al localisation

Une cascade de granit roux tombe sur des êtres éteins qui manipulent des forces nucléaire dans leur smart-phone capable d'engendrées des sensations brouillonnes; leur perception d'eux même est brouillonne, diffuse dans la masse média et les familles rompues, ils ont le sentiment de vivre a-socialement, c'est a dire sans les autres et contre eux, c'est a dire sans règles, livrés a l'information sapée de l'angoisse qui les assaillent et les menace sans arrêt de la ruine du sens et de l’éternel assomption de la confusion, ce flux qui tend a se substituer au monde et a eux ; étrange créature du lac noir, étrange typhon d'angoisse, pieuvre métastasée pour le coup que cette masse media, ce réseau permanent d'information ou le sens de l’être a le même poids d'un rhizome a l'autre, et qu'un nageur doit remonter avec d'autre informations que les leur s'il ne veut pas se perdre dans leur source spéculaire et gnostique mondaine et angoissé ; toutes les cinq secondes il photographie l'endroit ou il se trouve, et le publie sur internet comme une donné qui doit circuler dans le maelstrom de la fontaine ou les amants jetés des pièces de leur vœux ; capter, se prendre en photo est un peu comme le geste du singe essayant d'imiter la conscience ; capter c'est éradiquer l'univers, sa présence physique, la devant moi, réduite en un instant a un ensemble de données circulant dans un flux d'information; les pieds dans la pensée remontera jusqu'au cœur; on dirait qu'elle voyage a travers les nuages de poussière de la dernière résistance du sacré devenu inconsistance moderne ; ils ont a chaque instant de leur vie aucune lecture paradoxale de leur extase, et même s'ils se contorsionnent dans tous les sens, ils n'ont au mieux d’eux-mêmes que l'image d'un être ayant du mal a joindre les deux bout de la vérité, pensée et être en un dernier paradoxe qui rendrait les douleur et les joies signifiantes ; desormais on s'eclaire au smart-phone, on se donne l'impression de la surpuissance de l'eternité en realisant des qu'on le veut, la combinaison eitenienne de la conversion de l'or en argent, en tranformant un flux d'information en rayon lumineux ; ce n'est au fond que le rêves, ou la prémonition de l'humanité fleurissant autour des comics américaïn des années soixante ; le voyageur intersidéré use du micro qui le relie a sa base, peut-être plus joignable, comme d'une lampe pour éclairer quelques ombres menaçantes au fond d'un astéroïde ou il est tombé ; puis , l'instant d’après, comme si tout était perdu, oubli tout la situation, et se fait un selfee ; tous sur ces portraits ont des airs d'hygiéniste du sentiment cachés derrière les planètes les plus proches de leur systèmes métriques d'enjambée des concepts les ramenant de leurs pensées perdues a leur être présent; faut dire qu'il n'y a plus d'institutions pour les protéger de la foule ; par ou ils doivent passer, pour former leur propre densité atmosphérique face a l’énorme gravité de la densité moyenne de la conscience de demain qui jongle du bout des doigts avec des fils des réseau; finit les bâtisseurs d'horloge aux cadre impeccable, leur bois a pourrie au fond du lac d'information ingérable qui ont déferlait sur le monde comme un déluge au balanciers géant capable d'effondrer la limite des gaz, et de faire du brouillon une forme de clarté et de lucidité adapté a la nouvelle composition du gaz existentiel en permanence hypersaturé d'information, de sensationnel, fini donc, d’élever les hommes dans des arches de pierre et de marbre sculpté, finit, les escaliers labyrinthiques qui montent jusqu'au front des vagues, et descendent dans les écumes vers les coquilles de mer, et se rejoignent, en d'impossible bouche ne pouvant formuler l’œuvre de dieu et de sa transfiguration des nuées en un univers cohérent ; faut dire qu'au fond du trou y'a le chat de Schrödinger, le dernier né des mort éclats du paradoxe découvert en creusant a même la cet que ce n'est pas rien d'avoir donner physiquement une telle représentation de l'angoisse ; finit Mercure et son message fendant l'air plus rapidement que la pensée, finit cupidon et ses flèches ensanglantées, le palais des cieux n'est plus qu'un orage qui raisonne ; le temps est chacun de leur univers est un tourbillon d'image qu'il transporte physiquement collé a l'oreille ; leur extases prennent des formes inusité, tellement originales qu'elle en défit toutes les descriptions même les plus baroque de l'anthropologie; leur réalité est sans arrêt sur la brèche, tordue, contorsionné, a chaque instant prise dans un mouvement qu'on ne dirait appartenir a aucun geste identifiable et sensé ; toujours en crise, plus ou moins proche de l’hystérie ; ils sont enrobés de couleurs comme des smarties fondant ; ont ils enfoui dans leur I_Phone leur secret ? Ils n'enfouissent rien, ne cherchent pas non plus, le trésors dans le pré, chacun de leur geste n'exprime déjà plus qu'une intention a laquelle ils ont renoncé des le commencement.

 

Les commentaires sont fermés.