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13/03/2015

Théantropie du Boson en physique subjective

 

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Photo: Camille Philibert-Rossignol

L'air est si pur aujourd'hui qu'un chien errant qui se dépouille le long du chemin entre les champs me semble comme l’écume jaune de l'origine de la masse remontant les tache solaire du pli de l’être jusqu'à la matière de l’œil dévorant a vue son support nécessaire mais simplement occasionnel de l’interprétative coquille de la naissance de l'esprit ovipare; s'il n'y a avait pas de brisure de symétrie dans le champs de Higgs il n'y aurait non plus aucune apparence a travers laquelle l'esprit ressaisit son intention, tout serait si bien lié que l'esprit ne rencontrerait jamais aucune différence absolue, et aucune gourgandine ne pourrait être tenter d'aimer et de trahir l’herméneutique du sens en se croyant cachée; là est la foret, dans le filandreux de l’abîme travaillant a écarquiller les yeux autant que la pensée des défaillances sans la conscience desquelles on n'en vient jamais a se connaître et se comprendre comme un être créé, ou selon l'ontologie véritable tous les êtres sont le secret d'un autre; l'esprit alors ne serait pas une herméneutique interprétation des champs de force sédimentaires de l'intention a la continuité discrète, et l'apparaître serait simplement entièrement panthéiste. Heureux donc l'odyssée des grands fonds qui touche physiquement ou bourrelet de la brèche spirituelle, mais rendons sensible ces astronomes de la felix culpa au sentiment qui doit accompagner leurs concepts mathématique s'ils veulent perdre la raison calculatrice dans les écueils et les tempêtes de la Répétition dont ils ne se relèveront que par de tout autres haruspices.

 

A demi nue, a moitié découverte dans le lit, le facteur d’échelle rompue me donne a craindre ce que je désire le plus, et recouvre d'astres les particules de l’intériorisation du phallus; dans l'ordre des raisons, la question première n'est pas de savoir si le monde a une fin ou un commencement, mais de comprendre qu'en vertu de notre outil intellectuel on ne peut aborder la matière que comme une création qui ne contient pas l'essentiel de l'intention qui l'a créé mais seulement la signifie approximativement au regard de notre savoir si a notre tour nous voulons bien lui prêter une intention ; envisager la matière comme une chose en soi qui se suffi ne peut rendre signifiant la présence du champs de Higgs et des brisures de symétrie qui interdisent que la matière collent a elle-même  et se réduise a un événement ou l'apparaître est ce qu'il paraît, boucle l'odyssée de son facteur d’échelle démantelé, au lieu de renvoyer par la brisure a l'intention transcendante et créatrice. L'effroi sans lequel il n'y a pas de conscience de l'absence de vérité en nous, l'effroi qui est condition de la position de réalité de la transcendance est une brisure de champs, une asymétrie qui rend impossible toute image directe, et toute forclusion de la matière sur elle-même et rend intelligible qu’être n'est pas penser, mais qu'une synthèse est possible comme Éthique paradoxale de la grâce.

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