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17/03/2015

Boum... moubboum... boum...


Espace et temps quittèrent le train fantôme lardé de coup de bec de la lumière de coton sur le tissu mité des sièges recouvrant un espace de temps, si bien corrélé qu'il en perdait toute importance et se détaché; les orgues des rails, le cillement des soufflet, les différences de tensions entre les rame, ne se libérait que très rarement de son insouciance ; les vitres maculées de raies, formant des lettres a peine ébauchées ou noyées entre elles, ne parvenaient pas a diminuer mon angoisse en me communicant de manière déterminée un message de paix spirituelle autour du grand feu ardent qui plongeait la seine son œil comme un gouffre attirant le train fantôme, relier a une antécédente origine inconcevable limite de mes propres capacités de projection finissant noyées dans le fleuve de feu de mon esprit butant sur sa propre matière, qui représente son enfer ou sa libération des angles morts de la volonté tapis entre les murs aveugles de la représentation d'une vérité; dans le miroir de la vitre donnant sur la voie, le pont métallique et ses ressort de pierre posée dans le fleuve, le néant porteur autour de mon nez dessine entre les yeux et la ligne du front, les câbles d'acier du pont métallique devant lequel nous passions, me surprends la scéne d'un meurtre symbolique, que je ne vois pas pourtant réellement, sinon comme la forme invisible composé de milles choses, d'un monde ou je suis autre que moi-même, absolument différent, et toujours le même, tantôt poussant a la roue, tantôt couchant sur la banquette arrière de la calèche, me surprend la scène, d'un homme tuant un homme, en ce lieu aux confins de tout, la limite de la pensée éthique sensibilisée a l'ardeur isotropique du rayonnement de la vérité quand elle est entièrement sensible et qu'en quelque sorte la pensée danse comme un faune habitant ce pays ou de moi a moi je voudrais aller, et devenir glorieux en me voyant m'enfoncer dans les misères de ma faute que j’opère et soigne du mieux que je peux en lui donnant l'apparence géométrique des bâties que le grand souffle recuira toujours en poussière ; ce qu'est la sphère au lamelles des persienne, c'est l’écart de l'effondrement a l'unité, les gongs des traverses le sont quand elles épluchent le raisonnement en autant de tronçons qu'il y a de perception intime et infime pour la distraction et son effondrement, son saut de l'ange au terme du tremplin, quand la ruine s'annonce et que l'invisible ligament de l’attraction gravitait autour de la perception, quand il devint possible que je le vois un jour sortir du rien du temps immatériel et sans dimension spatiale, une première et dernière fois, l'unique roue du train isolée comme un chien aimant se faire cajoler le cou aux bornes du destin jaillissant de rien ; ce qu'on se dit devant l'image de la contradiction qui nous a surpris en plein dialogue avec la vitre et le pont, qu'on ne peut l'investir dans aucune autre histoire que celle de la naissance et de la mort, c'est que puisqu'il faut bien parler de quelque chose quand même, d'un être supposé, paradoxalement nous le rencontrerons vraiment puisqu'il est évoqué au-delà du projetable et appréhendé comme Il nous fait être en Lui, et que donc l'histoire de cette énigme que nous avons traversé, nous restera mémoire vivante a jamais, présence luisante d'un feu brûlant mais invisible, dont le monde ne brille que parce qu'il n'en possède pas le secret... le cachet de vernis faisant foi... boiseuse acquisition des lentilles de contacts... ou cône de vers que les cosmologues rendront mythique dans les calculs démesurés de l’atmosphérique pneu manie... modifions les tensions du torre géopolitique, la bobine mettant l'image du cep en rapport avec la maîtrise du vertige, maîtrise de l’électricité technique d'embobinés, maîtrise de la vélocité de sa puissance et relâchement des rapports aimants la naissance du flux invisible d’électricité qui relie tous les hommes, a la trame mére des lucidités prise de vertige d'interruption permanente, de sollicitation constantes qui n'autorisent que peu le rythme cardiaque d'un développement origiel, blanc et complet de la conscience a partir de l'a signifiance de ce qu'elle croit être son intérêt, qui n'est que de se recouper demains dans ces flux entre deux embarquadére qui s'allongent sous les tunnels sans fin ; le contrôleur passe il me dit qu'il ne connaît pas la fin du voyage, et qu'elle n'est pas prêt d'advenir puisqu’il n'a pas de fin, et que qu'une fois placé l’œil entre les planète la vue des cieux semble de l'herbe grasse et lucide, a consommer dans le wagons fumeur inuquement juste avant la case cancer de la dessillusion, naissance douloureuse du langage de la patience eternelle qui precede la foi, l'attente troublé au commencement du meurtre, par son image renié, une fenetre que la tempête ouvre dans l'auberge des confin maculé de sons et de rumeurs de bières dans un galimatias auréolés de la bannière d'un lièvre étouffé par un serpent ; je m’arrête a la station converse, interromps la rue en pleine périagogé, et m'enferme loin du tumulte du gouffre fantôme et insatiable du spectre électrifié... la ville est un fantôme qui te bouffera les tripes, on les vendra au mercier avec une aide de la croix rouge; de l'ordre de votre part je me réveillerais en cas de fluctuations du vide, j'aurais ma nourriture sous vide emballé dans l'estomac transparent des usines a pas grand chose. Que les gens disent gagner ensemble le ciel du compartiment n'assure en rien que tous soient sauvé, là est le gouffre absolu d'effroi basé sur l'influence diffuse de l'espace gagné dispersé. Tout a coup de wagon résonne comme s'il passait a travers un nuage de limaille de fer, et l’énergie cinétique des mouvement inapparent me donnent le vertige comme si les rails allez chanter se mettre a faire de la musique a siffler comme des xylophone converti à l'énergie de la chair de la vérité coulant dans les tunnel entre les quais de métro, écoulement de liquide parfum au sublime miné de matière fécales et des lourdeurs de vidanges et d'huile qui qui empeste la densité dont le types change rapidement a chaque instant ou presque. Défauts dans les perforations du tickets de caisse, et la géométrie des quais qui flottent a portée de main, c'est le trou vivant du volcan, le vagin du subway que l'on ressent dans la dégénérescence des sujets. J'espère juste que, parce que j'ai essayer de simplifier cette explication, il n'est toujours pas hors de contexte de planter le décors dans le puits... chacun y puise en somme, comme dans un paquet de pop corn avalé a top-down sous effet d'un tranquillisant contre la peur des anxiolytiques, vendu a ceux qui ont le fric pour se le payer, donner gratuitement au autre qui souffrent des vertige de la géométrie métaphysique rapport le volume des pyramides au corps sain de l'esprit ondulant sur le sable entre Gizeh et gaya, le bas levé vers le haut, voici qu'existe instantanément le temps long du commencement entre la base et la pointe du cône, la limite uniforme de l’éternité projetée. La pyramide du cinéma. Merci a elles de nous avoir légué la possibilité de les représenter par un courant continu d'images fixes, traversant la lumière devant une lentille qu'Osiris transportait en barque sous marine aussi bien que moi ma mère embarquée au gouffre de padillac pour ramer emporté par le sourire suspendu du psychopompe.

 

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