Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/03/2015

Ultra Deep Field

 

10374989_10153129437574871_7228484510646046259_n.jpg

 

Photo: Camille Philibert-Rossignol

Elle est là, la chose strige des ménades, le boa aux moult anneaux brûlés de désir dévorant le temps, l'expulsée des heurts loge des cloques mousse, la frustration rageuse de l'envie d’écrire, qui se décrie, s’écrie elle-même, ex-pensée du ventre des noéses par le pli douloureux des lèvres du collapse transparent, elle est là , l’âme articulaire des clartés grignotant les ténèbres, la joie gloutonne qui dévore de baisers communiants les limbes de la réflexion, évide des veines du marbres les arbres éjaculés et la silhouette d'une félicité astrale, pétrifiée de sente ouvertes a idéal éclaté, scintillant recul du manquant, retombée gercées du figé nimbant la huche des fées frissonnante par les bois acérés ; la joie de l'art spontané, la matière libre de l’idéale forme, les organes tendus de l'histoire tapis en cercle sous le rocher comme derrière une étoile de foutre aux tentacules monstres qui jette ses satellites désœuvrés, par la fenêtre ouverte et les retient en cinémascope jonglant par la cheminée la gangue d'un ciel pelé ; du ciel jaillit la voie qui le retient, avec le mal aux ceps de tripes ou couve l’écriture, le désir tremblant des lueurs baignant dans le sang immaculé de l'envie de rogner les ténèbres, d'accomplir la clarté des gestes éthiques, du seul regard du cœur visible en plein ciel, dans la rotondité de la sphère ubique et nusquam, vue jetée du promontoire sur la voix du puits de vérité, progressant comme un échos, dans la masse statistique des vingt deux mole d'atomes des faces du dé présupposé et jaillit de nulle part a temps percé de le voir carié en sa geste confuse et plombée de hasard butté aux hangars des rêves disséminés en leurs progressions arrêtées ; des sensations de terreur panique simulent l'age sidéral des forceps discontinuités de lettres, des nuisances ispseique aux outre écartèlement de la voie écorchées, son burin de tristesse, quand elle râpe le paysage ensangloté de nuées, n'ayant pas toujours excité le mandala de leur garde sous le dais de nuit ; allongé entre carat de lie de vêpres en fouille porté par l’archaïque bouillon, le proto-barbouillé de quarkés statistique l'intestin tabloïd dans la gueule du lippu ; l'ardeur des sèves bleues chuchote a l'oreille des merveilles l'influence du vide communiquant l'absence d’événement, qui saisit le grain ; et l'unique de sable incompressible qui fonde la première entrevue des êtres déchirés du grand motif, d'intelligence assomptive ou la cause dernière trame le chaos des concaténations consécutives revenues de l’incompréhensible présence d'Angström.

A dieu donc honneur et gloire de ceux qui avancent pas a pas dans l’incompréhensible, revêtus de ce qu'en saisit en tremblant la moelle de leur carcasse vide, avide de l'unique vertèbre de la voix, qui rayonne comme chair de tout l’inconséquent de tes gestes pantins retenue et revenue sur eux-mêmes ; ne te faudra il pas tenir droit devant lui comme si tu étais lu de manière absolue ? fi des cavernes au fond des nuées ou chuintent milles brouillards, sa vue est maint geysers dans les ruptures de canalisations ; l’aberration des sollicitations s'effrite contre le crépi d’éternité, le scintillement ponce la demande endemolisée des biens de consommation, et la formule intacte revient habité la demande de la voix.... ô de venue immuable comme le cœur puissant ronflant de tout le chaos du monde sur lequel il ferme enfin les yeux... reformant le germe des jeunes pousses ; l'acte tétanisé du cercle intelligent, abouchant la langue a la voie; la dernière angoisse crisse comme la neige des jonction dans la synthèse statisticienne des contradiction du concert en devenir ; l'abeille cire ses aiguille pendue au corde a linge du cirque des sphères de compréhension essorant les effluves de bourbes possible tempérant les retournement des lés de laisse prit aux appeau des calcines racines spectrales sifflant comme fer rouillé des structures géodésiques soufflées révoquant d’étranges monde ancien, beau comme des cadavres, qu'aucun présent squelettique n'ossature, et qui murmurent dans leur effondrement, comme des morts dans le désert politique, de pétris tendrement habitants leur tremblement de niaiseries, reliant les hauts ligament, les connexions du ciel manquant ; sur terre entre les fientes monumentales d'inflexion enchâssant les traits de narcisse au reflet pénétrant, la matière in trouvée des vocables de la peur sert de mortier aux nids d’étourneaux surpris qui s'enfuient en mikado effarouchés quand vain la main du ravissement les fouilles en renversant les lettres comme des racines soulevées de terre tracent les fils du cerf volant, forme le silo, des ouillons en vin, et le vain d'essence indienne rêvant de son sommeil atterré au fond du scintillement du verbe le nouveau sang de création, réverbérant l’inconfortable cousin du signifié parlant des signifiants; aux yeux la face du miroir effacée, a percé l'impalpable point de fuite, les derniers grains du visible de réflexion mêlées au seuil de l'onde approfondie ; l'urne visuelle des balistiques fritures glacées orbes les détonations chevelues des titans intérieurs ; leur mort par frustration est un éveil aux herses noétiques de l'illumination ou passent le courant, entre la chair de poule dans le tunnel des vagues pensées, hautes comme des montagnes brisées sur les écueils des brins d'herbe retournés de déflexions en réflexions renversant l’être parlé en nommant nomade déversé sur les gréves enchantées de l'animation corporelle du verbe, les berges du sable raisonnant et chantant qui redonnent a la main qui crée son gant de pécheur de lustre cahotants se soulevant parmi les briques de l'antique et provisoire fondement d'illusion vue sans rabais de misère a la richesse, le fleuve fiduciaire identifié croulant au moindre coûts, c'est l'heure ou l’océan se fige dans les roches cardiaques des calvaire muet de la statuaire qui defige le ciel vivant de la langue d'outre tombée.

 

Les commentaires sont fermés.