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31/03/2015

Onde et corpuscule enlacés

 

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Photo: désolé j'ai oublié de relever le nom de l'auteur.

 J'ai nommé l'insignifiance des âges sous les tenseurs de vérité a l'endroit même ou le fluide publicitaire rencontre le fondements théorique des souffrance appareillant les articulations des syllogisme premiers de la suprême joie ; j'ai sondé les lac, démonter la tourbe des étangs, remonter une a une chaque pierre des bases militaire enfouis aux six angles de pyramides, et je n'ai rien trouvé que le mélange visqueux de la glaise industrielle et des boues bitumineuses…... les étoiles pourtant.... leurs gènes honorifique ne tamiserais plus le tambour cosmographique de la création, les trompettes du génome auraient-elles cessé de trembler ? les ions de l’industrie mondiale régénère l'hypnose des lamentations, nos aïeux étaient des reptiles de feu adorateurs de la l'artefact manufacturé, les servant du langage dissocié, et leur poésie étaient sans fin ; désormais nos souffrances ont des noms de yaourts et nos rêves des parfum de lessive ; le spectre de nos désir reviennent du fond de l'imagination nous informer de la guerre qui nous habitent, nous ravage et nous consume a petit feu; toutes les nuits le même spasme en boucle …..... deux grandes ailes de papillon, immobile sur les branche d'un arbre soufflé par l'aube nucléaire..... rien ne bouge pourtant...... et sous l’écorce lessing méconnaissable, érodé par le désert comme un anachorète, qui s'agrippe a mon bras et me chuchote : comment une vérité éternelle peut-elle paraître dans le temps ?? …....... et au matin, je me réveille en sueur, pris a la gorge par un doute informulable, la mâchoire noétique d'un mensonge qu'il suffirait de nommer pour qu'il s'efface, comme ces spectre qui hante les landes post nucléaire, et qui d'un mot disparaissent comme les ombre en pleine lumière.... se chaque matin nous nous réveillons avec l’impérieuse impression d'avoir enfin fini par nous comprendre, par nommer notre désir, par mettre un nom sur ce qu'on veut ; ce peut qu'il n'y ait plus d'histoire autre que le mensonge ? …. qu'il n'y ait qu'une histoire authentique et miraculeuse ? …. se peut il que nous vivions dans un temps ou les preuves ont cesser de mûrir au branches des arbres ? que nous ne soyons plus que les membres d'une machination ourdie contre nous-même, une vaste et mondialisée prison électronique dont nos noeses ont besoin pour se figurer un laps de temps de plus en plus court, aussi court que la vie d'une certitude dans le fleuve du sang, que nous connaîtrons comme nous sommes connus ? ….... veritas et falsitas se mélangent pendant de longue période de temps, comme la tourbe première de l'esprit s'incorporant dans le discernement progressif de ses actes remontant vers le jugement de l’Être, qu'est ce que cela change ?? dites moi vous qui savez mieux que moi ces choses ?? dites parlez je vous écoute ?? …. le silence n'est -il pas toujours le même ? Du milieu du tourbillon je vous le dis : qui est celui la qui mêle des sentences a des discours inconsidérés et ignorant ? Qui a fait d'une sphère un barrage a la mer pour la contenir ? Comment réfléchissez vous, comme des ignorants qui se baissent pour ramasser ce qu'il n'ont pas de main pour embrasser, ou comme des êtres de néant qui éprouve pour la lumière un amour inestimable qu'aucune échelle dialectique ne peut mesurer ? L'approximation des connaissance historiques dérive de continent en continent, transhume de facultés en facultés, des descente d'organe de la mémoire aux plaques tectoniques de la praxis reconstitiuée, les catégories se meuvent autant que les champs d'onde et d’électricité ; l'incertitude historique est le fond de la croyance qui seul prend la mesure de l’élan transcendant.

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Photo : Fazal Sheikh

La nature humaine gît au fond d'un glacier, pas même déformée par une pornographique lecture des lettres de ses ténébreuses encres, qui fondent sa propre absence de fond a la chaleur de la fosse apparence épurant la lecture du souffle transcendant l’équilibre des contraires dont la chair est informée ; l’ambiguïté radicale c'est la lame de fond qui remue ; c'est elle qu'il me faut pour mon insécurité, ma santé qui est avec l'argent et toutes les apparences sociales mon soucis permanent ; les anges optomètres sillonnent la Malaisie, sur le dos bosselé du drone des rois mages ; les courbes stellaires de l'histoire a la tangente de l'horizon, sont les énergies fossiles de la tourbe d'incertitude ou nous sommes plongés jusqu'au cou pour que germe la graine spirituelle.... de train en train je circule dans le collisionneur a photon ….. la moindres de nos certitudes historiques s’étiolent et se fracassent contre le béton des pyramides..... au pieds de Gizeh l'appareil de l'art premier, l’expérience de l'incertitude cosmique qui prend la mesure du fondement au faite ; une autre logique de l'expression ontologique, loin des ruban noir magnétique du goudron noétique de moebus des échangeur d'autoroute ; c'est le vertige et le ressort que nous voyons qui nous coupe l'herbe sous le pieds du saut ; c'est le vertige nécessaire a mon examen de conscience calculant les dix milles foulées par jour de pelure; bill gates est mon dieu, steve job un prophète ; j'ai changer l'eau des horloges qui poussent dans mes jardinière d'or ; je vois une autre manière d'historiciser, de temporaliser l’éternité transcendante du sens, qui intérioriserais les cycles du phœnix cosmologiques, chaque individu en devenant lui-même produirait son œuvre, qui du coup deviendrait celle de toute l'humanité, chaque individu renouvelle le genre entier, et avec lui les contraires se renverse, le privée devient commun, le singulier universel; mais j'ai un troisième œil qui tourne dans mon cerveau ; pourquoi ne peut-on plus faire une lecture de la totalité sans poser l’hypothèse qu'on est manipulé, que la vie que l'on vie n'est qu'un mensonge généralisé ; que la fin des cycles des totems hurlent comme si on allez dans l'instant se liquéfier ; les rubans noir magnétique s'enroulent autour des branches et des yeux ; ils errent en foule hypnotisée qu'ils embaument politiquement d'un vertige incorporant la peur de l'ignorance du passé a une interaction de chaque événement futur ; au sources contradictoire de l’émotion l'univers a jaillit comme une grande douleur reflétant la suprême joie de l'insouciance; car l'esprit est en soi rebond, en soi distinction de ce qu'il est ; le même différent ; au degrés supérieur de l'image déliée qui désintègre du fond mental bipolaire toute compréhension vu du promontoire des perturbations stochastique a la charnière de la masse allusive de temps cumule température sanguine du désir en souffrance de voir s’établir le lien a ce qui est lié au sentiment. En retour la substance rituelle des spires l’incompris de viande faisant née sous le rayonnement cosmique des forets. Les halos bruns de champs s'étirent dans l'averse en campagne ; flotte l’émotion entre l'herbe et la boue, l’émanation gazeuse du sentiment s’imprègne de son néant a mesure qu'elle déroule le tapis du chemin ou l’être que je n'ai pas posé me tient dans sa rencontre ; sollicité l’écorce de verre fléchit son doigtés contenant les libres vers du vide d’intentionnalité; a couvert, le coupable saigne invisiblement de s’être recoupé ; et palpe les solstices solidifiés du digital pourrissement de l'esprit ensemencé au fond du trouble émotionnel navrant la sensation de fouiller de la tête la pulpe du soleil au fond de la liturgie catholique, la main effacée de l'intention repeint de mystère le saisissant don de la pincée imprévue traçant l'invisible ontolo-ligne d'or du temps retrouvé bat l'oratorio de pneu qui embrasse et enroule en sphère le levant intérieur extériorisé qui n'en fini pas de se redoubler en lui-même ; dieu l'un l’être, le tout le parachevé en lui-même, et la forme paradoxale de son baiser.

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Photo: Eva Truffau

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