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26/04/2015

Rapointer

 

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Entre l’heure d'embauche des étamines de fin de crin ; le déchirement du crucifié sur les cordes a piano qui cèdent a l’encart des choses, le temps, l’écrin du devenir au clou pendu dans l’être et le mouvement de son bois autour, le souffle élimé que la souffrance étouffe et qui rode et grogne a la proie qui patauge dans la rupture gazeuse du rythme fantasmée salée du don d’être supprimé pour etre dit avoir été, qui filochent l'exposition noétique de l'affirmation ontologique que porte la langue de soi dans l’éternel reflet des pétales ahuris et des vergers fleuris aux yeux violents et ronds d'herbe luisant comme une masse d'origine sérieuse puisant au quark de l'inconnu sans fond la chouette et le hibou qui habitent toute sensibilité du ventriculaire pince sans rire sémantique; un peu de sérieux entre les choses vues de la semaine qui s'effritent et se dissolvent sans déflorer l'image de leurs secrets toujours ruisselant; la pointe du désir est une impression océanique et brouillée d'exister, la brouille avec soi-même c'est l'accord absolu la guerre n’ayant fait que nommer ce qui couvent en tout homme, idem l’éternel tourment d'entendre parler en soi de la définition d'un être en général, mais unique et éternel; la rupture se complète, la démolition phusique de la raison fait de l’infinie précision des plaies, la cruel impression première que la lumière est la maison d'un être capable de se dire en vérité et avec l'absolu certitude de l’éternité que l’être est conçu par la sensibilité comme l'entière indétermination de sa liberté; on ne trouvera jamais rien de plus dans l'univers que ce par quoi nous sommes habité, nous pauvre ingénu candide de mes deux , évidemment que l'on sait tout cela, que chacun le comprend instinctivement, qu'il n'y a qu'une langue incarné, celle de l’être témoignant de sa propre réalité en parcourant et créant toutes les voies cosmiques et fantasmé de son propre déchirement, ou il se cerné précisément par l'absolu insignifiance; qui mieux que le type né dans une créché au milieu de nulle part en pleine jungle ou sur la mer, ressent cette oppression de la vérité paradoxale... l'absolu précision de l’indétermination.... l’être quoi et sa langue qui le lave de toute réification, en communique l'esprit, un être en ses traits jaillissant de l'amer l'impression dans une langue paradoxale qui demande au temps la définition de son mouvement; ce secret qui encourage aussi, de pas s'en laisser conter trop ficellement, quand ce qui compte ce sont les failles et les oublis noirs de l'esprit qui remontent de la langue comme des geyser grondant , qu'on décrit précisément comme mouvement dont on ignore les bouts noyés moyeu tournoyant dans un marécage nébuleux ou baigne Orion le nénuphar scintillant, ondulant comme une mer qui bafouille éternellement avec la même précision ses gammes de psaume cristallisant le ton de ta conscience sonnant encore le creux des cavernes.

On prit de l'avance sur le doigté tue mouche qui dissidendait du plafond comme un tissum de miel chargé d'astre quand est-ce qu'ils tombent ? Gluant... parle moi plutôt du volcan au centre du voyage, la langue vagiemment de la souffle matière du soufre des dourganique lueurs, une pesée de songes ventrus s'affestin montre la sphère qui ramène a l’évaporation des trous mathématière noire, l'aspiration a la source, continuellement des dernières informations du premier instant de l'amour toujours renouvelé, immuable derrières les ombres du changement.

La modernité du christianisme tient entièrement a cette skepsis plus profonde de la raison qui porte la conscience au discernement incarnée. En ce sens les grecs conservaient encore, une part de substantialité spirituelle non transformé en souffle intérieurement ; pour eux l'amour est un transport, pas encore le saut sur place du souffle de la déflagration interne qui resplendit dans l'univers conscient... l'image du Dieu vivant.

 

"Vils pasteurs, opprobre des campagnes, vous qui ne vivez que pour l'intempérance, nous savons inventer beaucoup de mensonges semblables à la vérité ; mais nous savons aussi dire ce qui est vrai, quand tel est notre désir."
Ainsi parlèrent les éloquentes filles du grand Jupiter, et elles me remirent pour sceptre un rameau de vert laurier superbe à cueillir ; puis, m'inspirant un divin langage pour me faire chanter le passé et l'avenir, elles m'ordonnèrent de célébrer l'origine des bienheureux Immortels et de les choisir toujours elles-mêmes pour objet de mes premiers et de mes derniers chants.

 

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