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20/07/2015

Insoluble a l'oeil

 

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Marilou van Lierop

 

 

Œil sol en bulle aimait durant la brûle saison bousiller les fêtes d'entreprises qui arrivaient comme les morts empaquetées dans des cartons fabriqués en chine ; dés la fin de flan les crampes semées dans le scotch du jardin avait finies par devenir, comme tout revient toujours en un long et fatal ruban de souvenir transformant l’inattendu pinceau en baignoire naturelle de surprise creusée a même la paume de ses joues ; poils bu de pigment brosse les cris des moineaux ; la cours d’écran scarifiée s’étend autour de l'iris incréé, qui n’était qu'un cube truffé de limaille d’or en suspend; la tension du ramage atomique propre a l'adoration cultive tout le champs du logos; le logos est une passion dont la structure, la cohérence paradoxale, l’épaisseur contradictoire se dessine, se dévoile et se révèle par la lente aphonie de l'image, capturée, éteinte, sublimée par sa propre contradiction, nourrissant du filet le plus fin de la voie morte, le murmure renaissant des cendres chaudes de l’esprit ; l’œil s’éteint dans la voie, et rené peintre reconnaissant ce qui n'est pas son œuvre.

Plus la fin de l'esprit est grande, plus je suis sur le point de concevoir l'inconcevable et plus je suis proche de moi plus le grain de l'image est dilué, et plus la mutation de la crampe en scansion est belle, douce et violente a la fois comme il apparaît que sont craquantes et fondante, les cuisses du poulet rôtie; meilleur sera la cuisson des bustes et autres moulages de lustres attendant que la lumière affecte leur espace et efface leur poussière.



C'est un Musée, voilà c'est ça, c'est un musée qui s'enfonce dans la poussière aseptisé des fragments du patrimoine génétique de la joie, qui s'enfonce dans l'absolution de l'insoluble, par la voie intérieure du fleuve sur lequel descendent des plaques de sédiment colorées, des écorces de clarté sur des lacs de pigments qui suivent la pente bordée de terreur réunissant au vallon chaque cœur éveillé a la même attention a l’œuvre Insoluble.

 

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Aaron Draper

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