Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/08/2015

Nerf olive

 

Renato Muccillo.jpg

Renato Muccillo

 

Quelques fragments de l’éclat perdu respirait encore dans son petit carnet de croquis et atmosphère, qui ne le quittait jamais ; sur le vif il saisissait le secret des apparences qui font la vie poétique et sacrée ; ses aplats, au rideau de douche notamment, étaient riche de confusion, qui rendaient la cascade sinueuse de la lecture si transparente, qu'une touffe d'absolue semblait pointer son miroir vers l’œil jusqu'à l'aveuglement; la piste de l'incolore miroitait de remblais de terre sur les serre fanées des tuyau de délitement de la ville qui s’étalaient au revers des recherches liées a la chute du météore mental qui avait parcouru entre les blancs dans le signe des temps, toutes les phases obscures du fœtus de charbon luminescent; même les ruisseaux putain ! qui dévalent librement a flancs de montagne, chantent ce drame de la pensée et nous croyons qu'ils n'ont rien a voir avec lui, avec nous, avec la possibilité de se comprendre entièrement, d'être une exception justifiée ! La substance herméneute qui nous relie aux apparences fuit de partout comme un vieux pneu qui ne peut plus rouler ! A moins de regonfler un pneuma, d'injecté dans le non monde de la technique, la syntaxe gélifére qu'affectionnent les poètes et les dieux qui nomment ; et ainsi redonner a l'insensibilité moderne, une épaisseur tellurique qu'elle n'aurait jamais due quitter; l'extinction des feux dans le goulot du cœur, claque comme un fouet trouvant par le tombeau, la lueur, sa page dans le journal ou l'histoire de son grain est démêlé; et ces pelotes de livres, ce Frankenstein de la culture, ce patchwork d’héritage est livré sans vie dans son grain indescriptible ; « échos a réfraction !!! échos a réfraction !!!??? vous m'entendez !! … il semble que la lumière soit la matière de dieu descendu par sa mort créée, jusque dans le téléphone, qu'elle éclaire et terrasse... sa pensée, qui n'a rien d'abstrait comme en nous mais est entièrement concrète et complète est un paysage du moins nous le croyons autant que je crois voir par-delà le hublot de ma cabine, les racines de nébuleux bosquets fendre le surplomb des nuées ou le miracle porte ; je ne puis dire si l’œil mauve que nous survolons a présent, est une vapeur ou un océan ?? ni si le couvercle brumeux sous lequel nous passons recèle un astre aussi jaune que la paille, ou si je dois craindre, le sort des proies de la convoitise qui fait trembler la nappe en fils de terre; on file plus vite que la lumière maintenant, que tout est en place, tout en restant sur place ; seul le moteur semble vouloir disparaître, explosait dans la mémoire vive de son élastique éclat, poursuivre sa combustion, ailleurs, là ou le monde se tait, la ou dois avoir lieu la révélation de l'être supérieur, en moi.

 

tom wheeler.jpg

tom wheeler

 

Il dessinait le sens de la mécaniques par la représentations des pièces du fragment ; immédiatement les plaques massives de l'instant apparurent ; mais la totalité dont elle n’étaient qu'un fragment, était le devenir, car il reliait les fragment, ouvrait la route des synthèses que sont tous les romans, qui par malheur apportent du loin le présent... Clostro le chien débarquent de la coursive et vient japper au pieds de Devanbas : ho oui toi aussi tu la connaît la différence entre les bonne croquettes et la bouffe avariée... mais tu sais rien des terres de sienne, du ciel brûlé des trouées dans l'avenir ou la toupie noétique fomentent des synthèses peu orthodoxe... tu pressens a peine la différence qualitative, et pourtant tu saurais me défendre, mordre qui me violente... serais-tu sensible au scandale? … mais devanbas n'entendis pas la réponse de clostro, un appel radio retentis dans la cabine : un brouillard de col blanc grouillant comme des électrons déformait la matière onirique absolue, voilait sa transparence faite de parfaite clarté.

 

Jisan Ahn,,.jpg

Jisan Ahn

 

Oui mais sur une portion très réduite de la réalité... , comme on aurait imprimer être sur temps scellé par les tubes de pigments, hé bien, la boutique a fermé, elle s'est vendu a des crin-crin chinois qui ne gâtent pas non plus la viole ! L'encre doit toujours être saucée comme si son huile avait disparue, et qu'elle devait miraculeusement échouer sur le papier blanc, resplendissant comme la trace des points de suture de la Panique profonde! Belle manufacture en effet pour un tel malentendu sur le marché miroitant des échanges d'informations... l'Interloop lança les pinces mécaniques dans le vide, c'est a dire de l'autre coté de la parois d'acier rivetés, le protocole 55. Acep se déclencha pour arraisonner la mati-Ere du concept esPAce-temps et rapporta une gourde endormi en lieu est place de ma boutique sur Park-A propos de quoi il est catégoriquement important d’être au courant! La liste complète des éléments signifiant la réalité éternelle, la Parole sans chaire, la certitude dénudé de tout appuis et comme éprouvé suspendue a elle-même. Sous son sein gauche devanbra avait, tatoué, les trois fontaines souterraine du sacré cœur qui la garde de toute réponse, maintiennent l’énigme aussi pur que le premier jour du mystère. Tout est digne d'interrogation, mais les mots qui creusent le plus loin les sentiments de chacune d'entre elles n'appartiennent a aucune d'entre elle, ils sont tombé du ciel comme les ambitions les plus nobles, comme le savent ceux de la troupe d'insolent, que je fréquentais alors comme on s'immiscent ou échoue soi-même, au repaire des détrousseurs d’épaves, des naufrageurs haut-de-chaussés qui vivaient du pillage de l'esprit et de sa valeur; ils se rassasiaient de viande morte faisandé par l'oubli du jour de chasse, de sorte que, dans des taverne souterraine qu’empuantissaient de lourds parfums brûlée de pisse froide, ils vivaient chaotiquement dans la confusion des sentiments qu'ils nommaient libération sexuelle! d'eux j'ai appris tout ce que je sais des histoires de seize ans, et j'ai appris autour de leur feu par ces femmes qui dansent le cheval, ce que signifiait l'Histoire pour un adolescent ; l'espoir du truc bizarre a raconter, la capture de l'esprit par les difficultés, comme si on devait y mettre tout son cœur le saisir et le laisser s'envoler, comme si raconter une histoire signifier qu'on était habité d'une âme; l'ostentation des moulures sur les meubles gravés a même les stalactites de la meublée, pouvaient laisser penser que ce peuple cultivait l'art du don, non pour l'unique satisfaction prise de son écrasante apparence, car une histoire a raconter c'est pas seulement l'espoir de vaincre l'infante et d’accéder a une forme supérieur de désir et de conscience du Bien ; mais parce qu'une transformation essentielle de l’éternité, pouvait aussi bien devenir notre pensée si le tableau des pièces atomiques descendait d'un étage dans la confusion qui seule rend possible de croire une telle absurdité !!raconter c'est grandir... mais pour qui manquait d’espérance le chemin resterait effacé inexistant, et l’éthique disparaîtrait avec la sensibilité mêlées aux ruines de l'intelligence.... la colère frémit, la haine immole le brute idolâtrée !! Un vice éternel de représentation pourrait bien a jamais nous affecter de myopie si nous n’étions pas sobre et sur de nos gestes quand nous manipulions la foule des aiguilles encadrées, par les molettes appropriées... en grossissant l’écart de temps entre les fréquences on démodulé le silence en rave d’où pouvaient tout aussi bien que dans les églises, naître a nouveau cet amour débridée de l'intelligence ou la beauté fait le lien.

 

Renato Muccillo,.jpg

Renato Muccillo

Les commentaires sont fermés.