Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21/01/2016

Calcul intégraal

ferdinand keller,.jpg

ferdinand keller

 

Il y a un temps pour tout…

Qo 3.1-15

Nul ne doute d’ailleurs que nous n’imaginions le temps.

Spinoza

 

           Il apprendrait à voir dans l’eau, la parole qui transforme le temps en souffle, et les feuilles de cuir brun soulevées par le silence, c'est sa lueur, qui resplendit au point de réflexion, offrant plus qu’il n’en faut d’absolu et de merveilleux, a monsieur; mais pas comme a Londres, pas sous la pale lumière embryonnaire d'un astre avorté, mais sous celle envoûtée des perception exactes de son visage voilé par le sable blanc; lueur d'os rincée, tombant sur la charpente perdue de l’exosquelette de la songe, son vierge regard repoussé d'une mèche de miroir flétrit. Il faut dire, que la lumière nouvelle est semblable au jour espéré, qui diffère d'un demi-ton de la gamme générale ; le chevalier de la foi qui suit la piste sage a tout a fait l'air d'un bourgeois ; comme lui a chaque instant tu marches sur un abîme sans solution, un miracle ferme pourtant que dissout la réflexion pour s'y faire son petit théâtre de rien du tout ; l'accent de la veille, s'y égraine au rythme permanent du miracle continuée par le doute enrobant assoupi; défilent sans grâce les kilomètres de navets ; le moteur premier doit être bien morose pour nous servir une soupe aussi empattée, aussi empuantie que cette routine d'affairés ; l'armée anti-chimerique wagon citerne le lit au poulie remplie de fioul domestique. L'huile folle n'a jamais rien code barré dans ses greniers que l'espoir, celui-là même qui retient le passé en s'en détachant, comme ils laissent les morts choir dans les limbes terreux et attend tout du printemps ; répétition n'est pas retour, oh que non! Et le retour du passé est peut-être la forme d'un vertige, mais en aucune façon les traits de sa beauté ; tout le passé est dans le commencement, dans la manière dont pour un schelling, le papetier de la rue de la liberté, retourne le gant de sa pensée pour voir avec lui, la création ; entouré des journaux étalé comme des cartes postale sur un mur voyageur, il te dit, qu'il n'y a plus rien a admirer dans les journaux, que c'est comme si les hommes avaient perdus la capacité d'admirer et de s’émerveiller, parce que jaloux les uns des autres, ils hésite sur le choix de leur amour ; pauvres bêtes aveugle et déglinguées !! il n'y a absolument plus rien a admirer que le nitrate d'argent qui circule dans le bizarre et le dénaturé, qui est comme un pli au cœur, celui de la lumière qui en pince pour une pensée a l'angle précis de laquelle l'huile brûle plus fort et plus violemment dans une grâce sans borne sans fin sans dimensions mesurable humainement, autrement que les images prisent dans la lampe gondolées du métro constellés de signe, d'intuition parlante malgré soi, de hasard objectif et de coïncidence muettes qui semble vouloir dire, vouloir parler, montrer la voie de l'accomplissement; mais les lois du copyright interdisaient qu'on suivit les semences argentés pour s'en faire une image ; les semences du Poucet disséminées dans la réflexion au azimut se retournait sur elle-même comme une vague roulant d'inquiétude sous sa chaire angoissée.

Les commentaires sont fermés.