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25/01/2016

Sadek

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john martin

 

Un parterre de fleurs frémissant peint

Des signes, des broderies rares.

Trakl

   

      De la province pleine de fumées, s’élèvent vers les globes, les chuintement funèbres des oiseaux aux ailes déplumées qui dévorent, entre de longs tuyaux de plis, les restes de l'étoile feinte, la trace inexpliquée de sa présence effacée; les becs butent contre l'os déchu de l'abside, le pore squelettique s’écaillent sous l'impact du scandale ; la source de lumière tarie, c'est effondré sur la terre, y a creusé ce volcan, qui perle d'un ourlet l'absence attesté de source la source ; l'étendue se brise comme le rocher mythique sous les regards croisées de l’asphodèle, la salamandre verdie et s'enfonce dans la feuille qui couvre d'ombre la nichée de lézardes ou tout le jour je rôde ; de deux collines, a l'église, sur toutes les pierrailles et, par l'étroit sentier du pic desséché, je reviens aux vipères enlacées ; les motifs de leurs yeux inchangés, s’imprègnent de ces fils, chaque radicelle d'ombre est une silhouettes qui fait signe, et dessine des lettres incompréhensibles sur la surface des ténèbres asséchées ; la croûte fracturé retourne a la poussière dans l’œil de l’espérance ; les semences du ciel brillent alors d'un aspect éternel ; le schématisme essoufflé de la réflexion, dépose sa limite reconnue, et prie le vertige de donner forme a la grande ourse, d'asile pour les psychopompes des l'imagination défaillante, autant que la passion interne des motifs absolue qui ornent le tableau de toute les raisons de croire ; ce qui doit pourrir est tombé ; la mémoire du reliquaire se libère du ressouvenir et s'abreuve a la contemporanéité du thym gris des planètes de la lumière brûlée, qui retient dans ses troncs calcinés, ces feux follet qui courent au devant du lisible et du temps dans les traces de la souffrance éludée.

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