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07/06/2016

Para lol

 

  

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Rolf Münzner

 

 

 

      La trompette médicinale soigne les courbatures du pas suzerain rompu au soleil noir su seuil en miroir sous les courbures espace temps, qui embaument le vertige parfumé des cabines de plage prés de l’arc effiloché de la lune, les pieds recouvert d'étoiles de mer filante formaient un scat au dessus de la pierre linguale, qui épelait des palmes d'aube qui peignaient; froid en tête et ciel rond basculent les mains fourrées dans la grâce ; la chaleur se retire ; le corps s’encombre de raideurs, la réflexion sent le joug terrible de la pensée incapable de lutter contre la glace souveraine; une pierre traine le muscle essoré mieux jusqu'aux dernières forces de la pulsion, qui expire loin des timbres dorés, l’œil recouvert de cadavres de lumière, de paillettes et d'ombre sifflants leur silence exultant,  comme des signes secret, des psaumes de chausses trappe qui font des troues de taupe dans la sente lunaire; tout autour de la conclusion, le sol aquatique et perméable de l’improbabilité psychique que jamais forme et matière se confondent, le tissu parcouru de chimère explosives, de lamentation déchirante et d’exhaussements qui se tiennent en cercle autour du grain de feu; en spirales, l'ombre a découpée les pelures du continuum et ses lambeaux flotte au grès de revirement de l'intelligence insoumise a l’Intelligence Suprême de Celui qui me comprend mieux que moi-même ; et sous lequel, remembré, la passion sort l'être des latrines de l'histoire ou son chant d'amour rouillait avec l’hélice d'autres farines dérisoires; pendant que deux studieuses cubaines, arrosaient le suzerain des glandes en profondeur ;et qu'un loup de plate bande, gobait les hurlements acide de l'appel du lit ; d’eaux ont débordé, les geais de l'amer, et tu ne sais plus rien au monde d'impardonnable, quand tu as décidé que c’était en savoir trop sur le mal de ne plus y croire jamais.

 

 

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