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10/06/2016

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Martin Georg Oscity

 

 

L'équilibre du diaphragme maintenu par les rivets du psychopompe dépendait du délais des couveuses stellaires a ébruiter, dans le restant des étoiles une incantation perpendiculaire au disque. À l'immense avaloir de terre accordeonique et lumineuse, qui éclatait comme l'instant, sous l'arc repartie dans le temps, les sédiments du chaos apparent lutter contre les forces du souvenir, dont parfois le refoulement, jaillissait de la roche comme un arbre cosmique fendu a travers le néant astreignant à teinture d'iode, les grise étoffes de la mousson du mercure; la trisection fougère mie, porte en terre lumineuse la tête diluée d'un cerf mort en télépathie ; la décomposition du Requiem couvrit les larges périodes de la vie de l'instinctif projet du cardiogramme d'œuvre chantée ; l'humeur tremblante des premières paupières, des premières sources du texte, des failles immense comme le désespoir capable d'absorber la totalité du temps, et dans ce gouffre, partout les traces de la première littérature relative aux choses dernières, de l’Antiquité mise a jour.

 

 

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