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09/05/2017

Note

 

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Sean Caulfield

 

   Je suis un vérolé des fouines, un esprit en délire pris aux fronts des champs de forces, en quelques levain de rides traversant la farce du monde; jamais l'esprit ne devrait se plaindre de n'avoir pas assez rit de sa propre douloureuse et paradoxale condition; aussi, avant que le regard ne se rétracte, avant que l'attention n'expire, discernons les silhouettes a la lumière critique; car cette qualité regard au moment des adieux, du dernier saut de l'esprit prenant son ultime élan, est toujours d'une lucidité confondante, métaphysique et apocalyptique, ou s'illumine, un instant, dans la synthèse des contraires, la vie et le monde lié a l'Un transcendant, caché et absent; les cadavres politique creusent les tombes symboliques pour que la langue  s'enracine dans la terre et que les gravats, fondent sur la langue comme le sel éveille au goût de la joie simple de vivre comme une poussière; un petit monde de fagots, de flans de rocaille, de naufrages, de panaches angineux, de taxies héroïques, qui était exclu de sa frayeur par une désordonnée faucheuse d’invasions chevaleresques. La ténèbre de ma chambre était toujours ouverte. J’étais vrai, comme l’une de ces vieilles prisons collégiales prisées par l’humidité et les toxines.

Parfois je bazarde mon visage, comme de la toile rance que l'obsession s'est tissé, ravinée dans le masque des humeurs; les deux sources de l’émotion nimbent les bords blanc d'une aube pensée ou le rêveur recueille son histoire vibrante dans des nasse d'osier; langé, l'arbre éclate en ordre de réflexion incandescent; mais de plus grands tourbillons l'encerclent, ravis par les vieilles nouveautés du verre fumée devenu banal, son gémissement minuscule pousse des cris d’éboulis au pieds de l'astre bois. Elle dit trop, que son corps abrite un réfugié; que nous longeons la lunette volcanique de la cuvette sacrée; elle dit trop que l'émotion n'est pas l'ideal origine de la langue et que parler c'est être au diapason du paradoxe et de la subversion; elle fouille du regard les rictus embrassés de sa mémoire aveugle; elle ne voit rien bouger; pas la moindre coulée de lave ne s’échappe de la soudure mécanique de sa bouche transportant écarquillé l'horizon, et le soleil qui fend ses nuits, et ses seins en ébullition; certainement en son sein l'agneau et le loup reposent … prés du rêve grouillant d’asticots bitumeux qui les dévorent loin de son corps au sommet des piqûres de la planète Cliquetis. Écoutez la mort de votre chat préféré parler du passage ! Sentez vous la barbouille du dîner a six pâtes, vibrer sous les couverts des douze ailes du coléoptère bougé. Son antre s'entasse dans le siphon des rues trempées de cheveux gras. Et ce soir, un magma de papier bloquera les bouches d’égout. Les agents d’atmosphères s’évanouiront en parfum. Et nous allumerons tous les appareils ! …. une pluie de cognée s’est avancée par demain les cycles encore vierge d'espace temps ; les grues ont tissé la manœuvre, l’embarcadère est saturé de containers turbulents. Le pont jetée en lavis d'acier trotte avec les mouches du marais-dentelle. Venez muer carcasses ! C’est ce qu’il y a de mieux a faire ! De plus caché du cylindre blanc, qui, a voix tombée, blanchira l’abscons. ; la clairière aura alors la saveur d'un after sexe, et la géographie d'un tuyau percée par ou les collines de l'esprit portent un indéfinissable chant ; elles le cahotent un brin, jusqu’à ce que personne d’autre que lui ne puisse voir, les lanternes, la nuit.

 

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