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08/03/2018

L'abbation universelle

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Wolfgang Grasse

 

 

     Aujourd'hui neige ma ration de conte dans le suintement des événements plausibles ; tout sonne faux dans le passage ouvert aux possibilités liées par un étroit étirement. L’entonnement verbeux du show bide précède de sa pelure de vers osseux, le concert de moelles blanchies a la proximité fondamentale du crédit accordé au temps; l'impasse appelle les naines blanches incorporelles qui fomentent leur propre perte; elles ne peuvent se relire, alors elles se multiplient, se doublent, se présupposent une crainte discordante qui leur semble un feu, mais qui, réellement fait du verbe un néant pendant que sa jouissance catacombe d'essieux ainsi désignés. Selon la myopie de la solubilité du verbe dans l’aléatoire risqué du temps, l'effondrement apparent de sa chute d'accord diminué, témoigne d'un redressement du ton qui transcende l'étang. Ah la belle crapaudière aux accents de soupière qui rassure ! La belle hypotypose du rouet des taquins ! Les coup surs des voyants étouffent sous le piaillements des tâtons ! Ah la belle geôle probabiliste, la lente cuisson a l'étouffée des surs instants de gamme léchant du bout des flammes l'ut majeur! La hutte est délabrée, la tente rendue aux vents ! Courrez aux quatre coins de l'insensé ! Cherchez vainement ce qui ne se peut trouver même en grattant ! Questionnez les grelots de l'ordre ambulant ! le remède au faux règne s’étend au repentir! Le mensonge a tout absorbé du risque et de la crainte qui croassent ! Ah la sainte crapaudière par ou il faut passer, la tromperie acquiesce au dévoilement de sa supercherie ; Ah la belle méthode apocalyptique ! l'esprit recroquevillé sur son erreur attend ! Il attend que le mensonge cède, qu'il se trahisse en lui prétend consentement ! Courrez ! gobeurs de cailles vers le grand tremblement de cotes thoraciques et que la faute en se résorbant, vous retrempe la moelle dans un grand éclatement de saine lucidité chavirant vos entailles vouées a la félicité éternelle!

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