03/02/2013
Absurde
Des caravanes fuyaient l'horizon de tous les points de vues.
Milles ans sur le dos crevés affadissaient les fables parcourues.
Et la frange des relectures nouées en un luxueux tapis rembobinait ses bandelettes de sable aux pattes des dunes des chameaux fabuleux.
Devant eux, le vide en poussière balisait le plein invisible,
l'avenir a devenir plus vaste que l'idée infinie du temps,
s'amoncelait en vain sur leur coeur de trahisons limant la faux du bois entièrement tombé, ad te dominé.
L'ennemi intime couchait dans les encres d'étoiles a déboucher,
détuila des fours, des bûchers d'incendiaire corde,
et finalement priant naissance dans la parlotte sans objet,
mort et vivant a la fois,
scientifique intuition des grandeurs dont on n'a pas idée,
politique sémantique des turbulences noétiques fascinée par leur incompréhensible potence
la mystérieuse balance cisailla les pertes de la justice geignant son lancinant cauchemars de tripes evicerées, par d'agoniques ramures du sous sec. Les pierres marchandes et les roches investies des forets chuchotaient en silence la conspiration nihiliste des guerres naturelles politisant la technique royale de l'angoisse du cercle des cycles infernaux. La crise de contrebande d'enérgies, flouait au but, l'eternel umain, vomissait l'eau bennie dans la brèche du scandale entre les milles parois brisées de l’écho sans fin ,vibrant comme la vive flamme d'amour lucide, sobrement absolue. Des feux s’allumèrent et taillèrent des cavernes en pagailles. La glaise noire râla faiblement l’humus d'une comptine, une poussière ancestrale racheta le gui tendre aux pourritures d'amour lorsqu'elles se fendent de croire que des le commencement la fonderie de l'être était entièrement assurée de sa possession.
Puits: lorsqu'elles mêlent, sans être scandaliser l'attente a ne rien comprendre de dieu, la patience d'une eternité suffit a peine pour le rencontrer.
Les facultés d'un homme sont éternelles,
même si la matière ou elle s'apparaissent en s'exercant pour la première fois,
doit disparaître et la certitude de l'identité s'installer, sur leur contenus pour qu'elles se conquièrent entièrement,
sans motifs autre qu'ideal et subjectif,
aimant
engendrer absolument, comme une impression absolu de soi-même.
L'angoisse se mue en une présence de la peur absolue face a la nécessaire hostilité du mal en soi, la realité objective de la déconstruction menaçante.
La caravane remonte vers un au-delà de la tension, jusqu'au forges d’après la dualité sans qualité,
lorsque une qualité seconde et subjective a surie triompante de l'ostilité absolue,
ou les sources de l'ironie s'assourdissent, la boite crânienne se trépasse, l'echo tricote asthmatique un coup de marteau absolu.
01:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
30/01/2013
Tout le monde aime l'insouciance.
Le capital est la propriété de tous,
le capital c'est a dire la création de richesse,
aussi lorsque les grandes fortunes s’exilent pour ne pas payer l'isf,
elles s'approprient au nom du mérite, (que condamne le christianisme comme ne faisant pas partie du capital d'idéal par lequel se fait l'acquisition du bien spirituel éternel, et qu'il condamne dans l'erreur de Pelage) quelque chose qui appartient a tous indiscutablement.(puisque la richesse justifée use de son bien, et doit le distribuer par amour et non s'en servir jalousement avec l'idée de le retenir, puisque cette volonté de rétention atteste de la non pertinence du bien en question).
Ainsi il ne peut y avoir de réussite sociale légitime selon l'esprit mais fondée sur le profit, qui ne se transforme en don et des-appropriation du producteur conscient et détaché d'avoir été produit par ce qu'il lui semble avoir de lui-même engendrer.
En amputant le produit national l"évasion ampute l’harmonieux corps d'une communion sociale partagé par une langue commune,
et fait basculer l'esprit du peuple dans la jalousie qui le meut jusqu'au partage intérieur. Cessant d'etre entier, il devient belge et français. La communion de la langue cesse d'etre touijours possible. La guerre est declarée.
La nov-langue de la richesse matérielle se parc
c'est une langue qui a aussi sa géographie variable,
mais qui jamais ne peut rendre conscient, la nature inversée de l’attachement au réel lorsqu'il est mesurer au travail sans compté et qu'on a encore une passion pour le protéger...(passion révélatrice sur le peu de sureté du bien acquis).
Alors papys fonde un parti, pour rependre son esprit, se protéger, redoubler son pouvoir dans le miroir de chair des conscience justifiantes...E la brise legére emporte ce soucis dans es palmeraies barbelée avec l' argument couperet de son manque d'esprit son soit disant investissement dans la société, qui n'est que l'expression mal masquante de la profonde mediocrité de son cœur, de sa vie inaccomplie et de sa jalousie héritée.
L’argument vaut ce qu'il vaut, il a son pendant, le refus de s''exposer, de repartir de zéro (voir de plus loin) après avoir tout donner, tout risqué et tout gagné ou perdu, quitté. Pour recommencer a laisser advenir, le don excellent et parfait.
Le capitalisme broie le renouvellement des générations devient une tradition, voire une fin de l'istoire, c'est a dire une continuité dont on ne sort plus.
Le rice devient nanti, il s’éteint dans son fumoir, dans son pouvoir, et le papys bedonnant, fort aimable épicier au demeurant, s'achete kiabi et vous fringue aussi a vie.
Et bien sur c'est un pur massacre estétrque, une pure boucherie qui participe a l'appauvrissement sémantique des libertés toutes créatrice puisque toutes a l'image de dieu, puisqu'elles monopolisent les moyens de productions et la communauté du travail par lequel chacun devrait pouvoir s'accomplir, c'est a dire renoncer a ce qu'il a produit.
Et le papys devient tyran, lorsqu'il entend exprimer l’attachement de son cœur a son argent, mais comme il ne peut mettre la main sur aucun bien avec certitude il vit et produit surtout de la tension et de l’angoisse inutile. Allez revient papys, pauv' riche, on te bouffera pas tu sais. On t'apprendra la guitare et a rouler des joints. Et pourquoi pas, tu pourras même accomplir ta vie et rendre a la société ce que tu lui a pris pour te bâtir, acever de devenir toi-meme, mourir pour se liberer.
Intervient alors un avocat d'affaire qui me saoule avec ces réflexions sur le droit de propriété intellectuelle
"Et l'idée alors?" ...a lui de voir si en conscience elle lui appartient ou pas.
02:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
29/01/2013
Catégorie d'entendement.
On replia les yeux des limbes
en lange sur une douce pente de certitude incroyable,
il s'en échappa l'eau morte de la nostalgie
et la bourrasque bleue d'un souffle de chrome
fit reluire la rive perdue, et le sang suie du mort coupable
scinda d'une brèche, l'incompréhensible eau de l'éternel fondu dans la sensation d'oubli,martyr de la raison a qui veut éprouver l'etre en conscience!
Bien des nuits a grater ce geste
sceller au coeur comme un arbre en furie, comme un marbre altéré renferme ses milles faces
tourne milles géodes d’aiguilles sur ses laves et se fend, d'hypotétiques blessures éternelles, d'une incompréhension discursive,
vivante image négative de la continuité de la création,
réunit la discontinuité qualitative a la raison, le cercle a son incompréhensible comprendre
la prison a la nuit qui la tient.
Le désespoir saigne par l'entendement.
Que coud donc ce sang a la place du vide?,l'attachement dicible.
La suppression des fers. Et joind la transparente eau de l'abandon a l'éternel instant.
La culpabilité disculpe la naissance de la présence au double fond spéculaire de la myopie d'entendement,
parce que la fêlure crânienne a une cause logique qui apaise éternellement: elle laisse passer la lumière,
et rend tout transparent.
L'ordre du cœur avoue au méconnaissable, l'identité du dialogue de l’âme
et le leste d’énergie probe et de paix dans la matière absurde des facultés plaine incertaine de soi.
Se nier soi-même est faiblesse sans pardon peut être,
être nié par les conditions est force éternelle.
00:10 | Lien permanent | Commentaires (0)