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31/05/2013

Chêne de Mambré

Tous le monde connaît la célèbre formule einsteinnienne de la relativité de l'énergie et de la matière; et tout le monde connaît le poème du père de la foi, qui leva le couteau sur son propre fils pour que la signification terrestre de la filiation disparaisse au profit du sens divin de la révélation du don. Mais ce qu'on ne remarque pas assez c'est que du premier paradoxe Einstein concluait: ce qui est incompréhensible dans l'univers c'est qu'il soit compréhensible; alors que du second Abraham conclua que ce qui était compréhensible dans l'existence c'est qu'elle était incompréhensible. En un certain sens on peut dire qu'il aura fallu cinq ou six milles ans aux mathématiques pour qu'enfin ils en viennent la ou avait commencée l'humanité: au paradoxe; parce qu'il n'y a pas moins de poids infini sur les épaules d'Abraham a chaque pas qu'il fait dans la poussière vers le lieu du sacrifice de son unique objet d'amour, encore engoncé dans la connaissance de la réciprocité dont il doit se défaire, qu'il doit sacrifié réciproquement avec l'effroi d'Isaac, que sur un engin propulsé a une vitesse infinie et consommant un poids infini d'énergie qui l'empêche justement d'avancer; mais la ou quelque chose se perd c'est lorsque le physicien conclu du paradoxe a la compréhension la ou le père de la foi fondait la compréhension de l'éternité dans l'incompréhensible; est il bien compréhensible que la vitesse infinie soit rendu impossible du fait de la masse infinie de l'énergie consommée? N'y a t-il pas la une illusion d'acoustique propre au paradoxe? Propre peut-être a tout  notre modernité qui voudrait tant croître, avancer, et ne fait peut être du surplace que parce que son monde de triangulation psychique des bornes du devenir dans le temps sont faussées?.

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