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01/06/2013

Ou fou se mire

Le robinet goûte un rêve

tout a jamais fini de se dire

un cher noyer des clôt, son colt pour en être

de la langue du filtre épave

posé sur une branche, une ouïe fleuve moire

chante au-dessus des écueils  la mesure des folies qui perdent pieds

dans les flaques les plus larges lueurs d’horizon sans parole

tourne en rond la pensée du disque disjoint au son de l’imparlé.

et retrouve la dent fissure du monde

en fer de lance

mordant au creux les carpes remuées par le doute immobile des ordres en abîme

qui pansent les mains d’asiles récifs certifiés de récits

et jettent des ponts aux vagues impatientes

qui loin des bords du brasier,

en prise aux vagues mer de la substance

tendent les mains aux peuples affamés de compréhension

froides viscére des créatures insensibles

leur coeur retroués

d’offices de bouches oasis dans leur mers de sable sans intelligence

vers le seuil d’eau et de feu

ou claque le vent et le cristal du sel

la méche du fouet invisible

qui éclate d’impermanence la matière

depuis le feu de la réalité éternelle de l’esprit

jusqu’aux domaines des ombres

ou il ne luit plus.

A suivre

en vain le cri

a tout englober

de silence!

Mais du fond bleu azur

l’age sans barreau des anges montant les chevaux blancs du ciel a surgit!

La perception du percevant

pâtit

de la télé

réalité.

L’indirecte gobe tout

des uppercuts successifs

aux hyper cut festif

s’emplit d’évidement

d’horreurs égales.

Tout ventriloque

de vent loquant l’isolée.

derriere sa porte d’énergie rare mais free

engluée veuve

d’un noeud de sueur froide qui noue

le corps de la perception sexuelle

la boue intronisant la mort

a consommer l’immaculant

mur mur en vue

des tremblements de la caverne

habitée de soucis

d’un parterre de pensées

d’une confondante pourriture

qui fleurissent peut-etre

et sevrent l’ardeur de la sève par l’énergie de la pensée

du choeur au coeur

la bulle engloutie

ruinant la ténèbre ou l’amour luit

échange toute réalité.

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