22/06/2013
Ce qui n'a pas jaillit du coeur de l'homme
Un troupeau enferré dans la nasse des nerfs ; le roudoudou intime de la raison dans le lit des seins de glace en crue de lait sans sommeil fermenté ; l'origamique flamme et son manuel d'auto suggestion a lire a sa lueur pliée pour éteindre l'ombre des convictions du formol ventriloque ; un jus de saute mouton sis a compte d'auteur ruinant la langue maternelle sans rien y substituer ; les tribulations spirituelles sont promisses aux hommes qui se croient auteur de la parole ; une normalité supérieure des écoles de stratégie littéraire inconsciente ; un passez muscade! Pour apprendre a compter les dentistes parmi les créneaux du château de cartes ; une vue on the rock des hauteurs et profondeur incommensurables de l'esprit qui fait frémir la raison et l'interdit dans son adoration muette de son auteur irrepresentable ; la hauteur du diapason des hors la loi ; l'histoire du maître voleur en ombres chinoises subtilisées lors du brigandage du fond Schiller que le vent d'ouest colporte ; l'outrage nécessaire du scandale qui secoue la pulpe du jus sédimenté sous la presse des lauriers ; comment on se la raconte de bouche a oreille et sous le manteau de la nuit qui la couvre en ce bas monde, la parure incognito de l'esprit lorsqu'il file entre les doigts son pelage de sel faune argenté ; traînant un filet de pèche en guise de queue pour récupérer les crèves coeurs noyés au fond des mers de regrets ; sa langue est un laminoir d'éteind effaçant la gravure des bas reliefs mystique du cristallin effarant de maître Écart devenu iconoclaste a la vue du pur esprit sans trace aucune d'objectivité ; face a face en soi éffacé d'affecte déliant la langue pour la lampée du chien sur la face du seigneur ; un bâton de dynamite dans le cul de la littérature qui s'accapare indûment la première place du sujet manquant d'un verbe qu'elle n'a pas produite et oublié d'écouter avant de l'anéantir pour jouir de ses effets esthétiques et avant qu'elle ne maltraite l'esprit des lecteurs désirant un conte d'auteur pour lequel l'inexplicable envie de lire sans comprendre ne soit pas une régression coupable mais une avancée significative dans leur propre entente éternelle qui gémit et se lamente en eux au pieds de l'autel ouvert de l'auteur manquant dans les chaînes du savoir et des affects denuées de passion infinis qui sont seuls a la mesure de Dieu et y ont comme dit Paul l'être et le mouvement ; a mort la raison! qui ne serait pas un accord avec l'illisible champs de l'incomensurable ; une seule fois se présente a nous la possibilité de faire l'accord en esprit avec Dieu, une seule et unique fois qui est cette vie d'aberration et de distorsions dans les cataractes vomissant le feu absolu de la lumière par tous les soleils cracheurs de mondes ; une césarienne du vent dans le rebrousse polio scélérat des a-dictions de la bite et du vagin ou a pourtant passé le verbe outre dans sa chemise ouverte ; une outrecuidance nécessaire qui étale l'horizon du verbe élargit au manque d'auteur sur l'enclume nodal du jaser qu'emprisonne les littérateurs de substitution ; la place du Père n'est pas a vendre même a compte d'auteur mais a offrir aux orphelins qui ignorent l'auteur de leur être et rencontre leur créateur les soirs de pleine lune dans les jardins de Gethsémani ; un rapport circoncit laisse le gland a découvert ; l'ex-communication est un pacte d'alliance pour qui mange du blé les jour de Sabbat ; n'est pas con qui veut, pour témoigner du travestissement et de l'usurpation du langage indirecte a Dieu par la revendication personnelle des auteurs impersonnels de livre méchants plein d'ennui éternel ; un dieu pour chacun, le même mystère de la langue maternelle de la conscience éternelle pour tous ; le plasticage des mastications érotico-littéraire qui ruminent leur contre façon d'absolu comme on plombe d'appâts inopportuns l'hameçon des lumières saintes ; les trois coups du destin frappent l'incosolable au coeur de sa recherche impossible puisqu'il cherche l'auteur qu'il n'est pas des pensée qui emprisonnent son coeur ; souviens toi de ton créateur durant les jours de ta jeunesse ; les sirènes palpitantes font tant de façons dans les ventricules du coeur qu'elles l'étouffent et le ruinent intérieurement dans des contes qui ne tiennent pas debout dans l'absurde mais s'effondre de confusion en arrivant dans la caverne du pompier ; un traité de politique anglo saxon qui légitime la possibilité du mal comme condition de la liberté ; la page face-book error 404 de l'église invisible ; le corps mystique recomposé plume par plume au jeu de l'oie dans leurs caquetages infini qu'il faut aussi prendre en compte ; le code génétique d'une vue effroyablement libre et dégagée sous le couvert des apparences ; la double vie cohérente de tout individu non encore complètement abruti sous les coutume et hiérarchie sociales locales de la réflexion apeuré d'infini ; un vaste sous sol inexploré a louer sous caution d'un sacrifice inaperçue de soi ; tout dois disparaître quand tu pries y compris toi-même comme auteur de ton incompréhension qui t'empeche d'y revenir au miracle du monde ; affiche le les jours de soldes au devantures de magasins ; un pli qu'on glisse sous le rideau ; son billet dans le string de la gogo danseuse a la faux ; l'angle mort du tout par défaut ; le tombeau vide du revenant des pissotières qui écume la mousse chaude des tièdes relents d'absolu ; dieu vomit les tiédes ; l'atome du vide rêvant de la réalité qu'il ne possède pas y prend chair d'angoisse autrement que par lui-même félicité par ces pairs de compromission ; le dernier quart de lune avant extinction des feux contenant le premier instant du dernier amour éternel dont il y aura beaucoup a dire ; le sens commun de l'impensable remis des spoliations impersonnelles de la poésie lyrique entre les mains de dieu ; les résultats d'analyse de la dissection du double fond des apparences pseudonymiques sans fond mettent en cause le protocole des erreurs opératoires recensée de l'authentification de l'identique comme autant d'avancées du progrès technique nécessaire au décors machiniste du manque d'auteur dans la terreur musselé du refoulement mis en abyme ; la discographie d'Eurydice contre le mal des profondeurs remixé par DJ Insignifiance ; la fièvre d'Orphée au premier instant de l'amour ; le dernier instant d'Ophélie devenue folle au moment ou elle perçue la plénitude de sens dans les yeux du fou tétanisé électeur de maux ; la température du coeur au moment de la création du souffle ou se déroule l'envers du monde a venir ; la crémation des porcelaines de limoge littérairement incassable ; l'autodafé de l'incarnation singulière de l'universelle condition du sacrifice qui ouvre les oreilles ; et ferme l'armoire de l'eoil sur les touche pipi au aura d'Odyssée ; la clefs des songes dans la serrure des faits ; entende qui a des branchies pour s'aventurer dans cette respiration ; la pâte cuite des replis du bandonéon couine encore dans un couac inaccessible de l'univers ; l'horloge originaire a bouffé le vaccin de la rage du quark binoculaire et infecté les mirmidons ; une tourte aux aiguilles sur son fumer d'oursin ; l'intermittence des pluies dans les acouphènes du mur mitoyen des gouttes les jours d'orage ou la foudre saute a la corde sur le lac ; le silence des Pyrénnés archaïque aprés la ruine nécessaire du verre terrestre des significations du désir inondé d'aurore boréales dans la dérive des glaces du grand unit vers commun des morts solitaires ; le cartilage des mots sous la dents des cimetières craque encore ; il y aura des grincements de dents ; les sapes paramentiques d'un écorcher vif ; son ossuaire d'osselets trouvé dans le temple d'Arthémis ; la résurrection du vertige dans la pompe des fiacres insultants.
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