15/07/2013
Parabole
A combien « d'Anvers-corps » ? De Bruges a « Orge grumeaux » laide terreur la beauté ; caille laiteuse lune futaie de mousses concubines, entrecoupé de part de l'autre, confondues par le pont-point qui les distingue ; superpose deux images comme par exemple celle de ces sept cercles chevrotant de lumière électrique sur le mur qui forment aussi l'autre image ou ils ne sont plus qu'un reflet oublié mêlée a tes cheveux.
Ou encore? Les félicitations de Dieu pour la compréhension de soi?
Partout l'éther, impossible d'y échapper, partout s'étend depuis mon centre d'intérêt, jusqu'à l'image de ma passion, la langue de Dieu; comme un gaz noir, une improbable gaze élastiquement étirée depuis le centre aveugle de mon écran six pouces, a six pouces de sa réflection dans ma cornet, ou l'éclat du soleil aussi recouvre de commotion, les terres fertiles mais desormais disparues de l'acceuil, jusqu'à l'éclosion de la durée nuée transparente du spectre dont on ignore le sexe,, mais qui decouvre d'une langue tombée du ciel, l'image qui le rend commensurable a l'incommensurable, qui se contacte elle-même au pouvoir transcendant qui lui offre la grâce un instant de s'incarner pleine de sens, et pour laquelle premier instant de l'être, est l'éternité de l'amour, informulable séquensage du riz-ohme, entre percé de soi par la bulle du dépliant routier, qui passe la tête a travers la fenêtre pour mieux se faire souffler dessus, chacun roule encore et toujours se voir, a jamais révolu ,dans la décision de Dieu, quand frôle la tête a grande vitesse une haie de platanes, que s'ouvre la lumière du trou dans l'horizon en gestation de spontanéité granuleuse, et que l'oeil se ferme et s'enfonce dans le sol le train sensible des illusions dans le tunnel des nuées, quand, a la voiture bar la réflexion prends un dernier Scotch pour rallonger le coeur tout entier, quand son prolixe résumé, son Concept apparaît pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, mais aussi dans le Perriers de ma voisine de zinc, pour laquelle en l'occurence il signifit qu'il précèdera du bouquet son spectre par le silencxe de l'amant auquel elle reve, en touchant de la fane les terminaisons nerveuses de l'éclat du felix culpa, quand le chemin du sous-bois se malaxe d'aubépine et de ronce et qu'a chaque nervure d''écorce ondule une nymphe venue t'embrasser et qui finallement te dévore comme un plat de choix pour la langue qui peut tout.
Pas une image n'éclot sans faire un tour nouveau du désir complet. Toutes sont parabolique.
Dans les balles de l'avenir, l'océan et la pluie prolongeaient l'indéfini cycle de la peur. La terreur en suspens fourbissait l'oeil du néant, en déprimant sur cette aube de soleil détaché, ce port signifiant qui explose, en transitoire goudronné et palmiers, sur la promenade de la langue, qu'il faut remonter, entre autres déflagrations de klaxons et de trajectoires de bolides sous les balcons, tuiles et verriéres en tous genres, jusqu'a son port, sachant qu'il y a bien un musicien en haut des fenetres pour visser a la lune son chant et suivre ces accent mourir dans les rues pietonnaires. La ou de toutes les matières et de toutes les manières possibles, la musique est en permanence traversée et parcourue diversement, du signe de l'exposition effroyable de la bête transparence des racines du verbe a la source de paix.
Ce port caché dans la langue, haché incognito dans le plaisir face a la trouble réalité qu'on ne perçoit pas si on ne marche qu'en s'affairant vers un comptoir de commerce, ce port, disparaît dans les têtes lasses de bourdonner des corridas de Phalaris.
Lorsque le « port » était subitement pris dans une autre langue comme il peut être pris par la brume ou par la glace, la signification ordinaire relevait toute sa contradiction a la signification extraordinaire.
Elle s'élargissait du rare jusqu'aux limites de l'extraordinaire. L'intime transcendait l'univers etait receuillit tout transpercé de partout, la mitée gratis, la cornet sur les os .
Le cadre perdu de vue en révélait un autre bien plus extraordinaire et miraculeux. Fécond de toute la Parole de Dieu, le réel s'épaississait d'au moins une qualité nouvelle ou l'ordinaire disparaissait pour laisser être le miraculeux.
La compréhension humaine de l'incompréhensible Dieu.
Cette langue cachée dans le désir tu aurais put l'inventer?
Quelle prétention sans borne, hors cadre et donc ridicule.
Mais habiter la langue de Dieu,
c'est habiter la langue d'un être
être laisse une trace
être qui est la trace de sa réalité,
une histoire qui n'est que Langue
et en lequelle le corps nage comme un esprit dans son os.
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