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03/11/2013

sans titre

« C'était trop peu, trop banal, manque de mordant, pas assez incisif », pensa Siphyl quand il eut allumé son ordinateur et affiché sur les écrans démultipliés et montés en deux séries alternatives de trois écrans plat a haute définition qui savaient s'effacer, ou presque derrières les répertoires fichiers, des oeuvres sur lesquelles elles apparaissaient. Mais peu a peu a la question voir quoi? Avait succédé en lui la question : a qui montrer quelle composition de matériaux symbolique, pour qui, organiser le sujet du tableau, a quel spectateur, quel témoin créer par le tableau? celui qui se pose les bonnes questions. Les premiers fichiers qu'il extirpa de la mémoire digitale du laser, il les referma aussitôt ouvert...quelque chose ne collait pas dans l'horizon qu'ils dégageaient au sein de la totalité interrogative ; ils laissaient voir encore trop de choses connues a qui les regardaient, les images manquaient de cette épaississement de la transparence dans la cornet, qui devient comme de l'eau pour le poisson qui nage a contre courant, et retient dans le temps, l'éternité ; Siphyl voulait aller plus loin que l'angoisse qui n'aperçoit l'éternité qu'un instant, et réduit la vie a un état de conscience passager, denué de valeur absolue, instable et sans fond, ou les yeux du spectateur témoin fondent et glissent dans la résorption d'un néant qui a tout vaincu d'avance et n'explique rien du face a face avec l'inconstruit ; il voulait traverser l'angoisse, jeter non pas un pont, mais un vide comme une contraction des rives au-dessus de l'abîme qui sutture d'effroi le basculement possible de la conscience éphemére vers sa valeur indéfectible ; existait-il un discours complet rendant compte de toutes choses?  la rive de l'éternité d'où il jetait son regard sur le vrai visage des choses, lui renvoyait toujours  le reflet d'un regard vide et menaçant insignifiance semblable au regards fou des tueurs froids propre aux être insensibles ; si bien que Siphyl se sentait transformer en statue de sel, devant la luminescence fractale des pixels, pour s'être retourné ce qu'il ne pouvait pas voir et qui pourtant inquiétait son être au-dela de toute raison ; Siphyl cherchait a peindre l'icône ou en se contemplant il aurait put voir,  c'est a dire être certain de son éternité concrète ; mais celle-ci n'etait pas sensible immédiatelment, il lui fdallait d'abord se briser dans le face a face avec l'invisible part du réel non produit, éprouver sa fragilité, et paradoxe supreme reconnaitre dans son néant ce qu'il cherchait a eprouver immediatement ; mais au contraire son angoisse s'insufflait et se rependait entre les choses et leur donnait l'envie de trembler comme si derrière l'image déposée au fond de ses yeux, un grand cratère de feu bouillonnait, comme un immense brasier aveugle et blanc, un foyer effroyable qui dévore tout, allait cloquer la surface des eaux, et laissait transparaître justement cette certitude pure et transparente de l'éternité dont l'oeuvre le faisait manquer ; toute écriture se situe dans l'ailleurs découvert de l'interrogation, dans la présence de l'impensé ; mais toutes ne se de composent pas en une série de cercles kabbalistique, décomposant la construction de l'immediat en une hiérarchie concentrique de concepts ou l'intelligence progresse avec la réflexion dans la pure joie gracieuse ; seule les chefs-d'oeuvre entrelacent la théogonie et la révélation ; l'art est alors, une cosmogonie semblable a l'argument de Saint Anselme, fait non pour prouver l'existence de dieu, puisqu'on ne peut prouver l'existence de quoi que ce soit, mais pour ouvrir a la réflexion les doubles plans de la synthèse réunifiée ;  l'art ouvre l'espace de l'intelligence de soi dans la grande disjonction des plans symbolique et insignifiants ou le noeud se realise comme choix et comme decision ; decider pour le temoin de le conforter dans la foi ….non, dis autrement....servir la foi est l'essence de l'art....ou autrement encore...l'art est la forme de l'éternité éthique du sujet existant...la foi est cette certitude éternelle d'être soi, qui porte tous les masques, toutes les identités, tant qu'elle ne se définit pas autrement que de manière éclatée, tant que l'identité n'est pas redoublé en elle-même, prolongée par la racine, la source du bouquet ou la fragilité désespérée de l'être s'accroît de la perte de l'éternité...se dilate dans l'invasion de la déliaison qui laisse la peau nue et la moelle éternelle bruissaient dans les pôles du temps....cet élément tragique, de la mort qu'on ne peut attribuer a dieu comme a une qualité réelle de son être, et qui tient l'humanité dans la distance d'une différence absolue,  Siphyl voulait la parcourir, et refermer le lien en donnant l'occasion de penser que la mort n'était pas une réalité attribuable a la conscience de dieu ; que dieu n'avait pu créer des êtres qui soient a son image, pleine conscience d'eux-même, et en même temps marqué du sceau irrémédiable de la mort ; pour Siphyl l'idée de la mort signifiait que l'humanité ne pouvait s'intégrer  directement, immédiatement, elle-même  ; que l'homme était donc cet être étrange qui doit en passer par l'autre, et une certaine forme de sa négation, pour accéder a son être ; un chat gratta a la fenêtre dans le dos de Siphyl qui se leva pour le faire entrer ; toi au moins tu ignore tout de ce genre de problème, t'as aucun choix ; il renversa quelques croquettes dans un bol qui ouvrait le bec et le regardait comme un oeil de porcelaine, un oeil de verre tombé de la lune sous le rebord de la fenêtre ; il revint s'asseoir devant ses écrans, se releva pris de la distance, recula de quelques pas et vu qu'un des fichiers ouvert correspondait a une photo de Nerey prise en Espagne ; le visage enfouie dans les mains, Siphyl avait oublié  les circonstances exactes de la photo et hésita un moment pour savoir s'il se cachait pour rire ou pour pleurer ; la voila justement cette ruse de la raison, cette ambiguïté de toute choses hormis certains événements d'une barbarie criante ou d'une joie indescriptible ; qui rend l'existence aussi opaque qu'un océan de malentendu qu'on ne traverse pas sans un certain aveuglement ; l'humanité était cette forme d'être qui ne peut  s'intégrer directement a elle-même, et doit en passer par dieu comme ce  repoussoir  auquel elle ne peut a la fois rapporter l'idée de la pleine conscience faite a son image, et sa négation , fruit de son impuissance ou viennent se loger les événements les plus décisifs d'une existence ; les fichiers SB6Es 0009 et SB6Es 0010 c'étaient ouvert de part et d'autres du visage masqué de Nérey ;  a sa gauche apparaissait la scène de crime ou Shalima avait été assassiné, duement ceinturé par un cordeau sanitaire rouge et blanc qui en interdisait l'accès ; et a sa droite une photo de Célia, sa fille a lui Siphyl, très jeune, encore bébé ; et au dessus du poupon photographié a la maternité, un grand soleil de ciel bleu  turquoise sur la crête rougeoyante de Kastoria ou l'on avait retrouvé Baltazar mort aussi ;   les deux derniers photos ouvertes sur les deux écrans restant en haut vers la gauche représentaient respectivement, une célèbre mais immonde exécution d'une femme portant son enfant dans ses bras par un SS qui la met en joue a bout pourtant ; et enfin l'image d'un tableau de Rubens représentant l'Erection du christ en croix ; mais sitot que toutes les images furent ouverte, un message d'erreur du hardware s'afficha a l'écran

 

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...

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le message eut juste le temps de s'afficher avant que l'ordinateur ne plante et qu'un fond bleue apparaisse sur tous les écrans.

 

 

 

Fin de transmission grommela Siphyl en se saisissant du clavier numérique ; Siphyl ouvrit le tableau de bord de commande, lança une requête interrogative et instantanément l'ordinateur afficha qu'un problème de transparence avait causé une erreur fatal du système. Il était somme toutes assez logique que programmé par des hommes la machine elle aussi eut une limite quand son langage devait se replier sur lui-même, et qu'a la place de la pure transparence, l'écran bleu de l'erreur 401 prenne le relais des rupture de communication. Mais a la différence de la machine, Siphyl était encore capable d'imaginer que derrière l'événement tragique de la mort ou se rompt toute langue, il pouvait, il devait bien y avoir encore autre chose ; et que certainement, si la machine ne parlait pas la langue de la pure transparence, peut-être n'en allait il pas de même pour un homme que la mort et la joie avaient mainte fois éprouvé durant l'existence. Cet élément tragique de la mort Siphyl se demandait en quoi il consistait pour son époque? Était-ce un invariant?...la mort d'un enfant, le refus d'exister imposé par l'arbitraire des bourreaux a ce qui n'avaient aucune raison de ne pas être ni d'être autrement que tel qu'il était, lui paraissait la chose la plus tragique ; l'injustice était un invariant en deca duquel les hommes avaient battis un pseudo-monde ou tout était faussé des le commencement ; un monde faux ou cependant ne cesser de filtrer par moment des événements indubitablement douloureux comme l'enfer ou joyeux comme une douceur indescriptible ; et ces deux pôles s'imprimaient et persistaient de leurs vies autonomes dans la conscience qui les nourrissait de son être, comme une mère sacrifie sa substance et sa chair ; aux antipodes l'une de l'autres ses deux confins de la plasticité humaine persistaient de façon encore plus prolongée lorsque qu'elle semblait s'unir comme une unique trajectoire, ou un invariant qui ne devait jamais bouger dans la conscience apparaissait ; c'était de cette dialectique, dans sa continuité vécue que l'art de Siphyl résonnait : la restitution d'une impression absolue de soi-même ; l'objet de l'art.

 

Éclairer la nature idéelle de la loi qui est la vraie nature de la lumière en nous jaillissant comme une pluie retombe sur le mystère des pierres sans ages, pouvait se faire a partir de sa correspondante lumineuse qu'est le jour...en l'occurrence la nuit pour Siphyl qui gargouillait toujours pleine de clapotis imperceptibles tombant les uns dans les autres sous la touche des sens chaque fois qu'il travaillait, c'est a dire chaque fois que le mot « travail » prenait sens pour lui ; et cela n'arrivait pas a heure complètement fixes mais cependant situables les unes a l'égard des autres, comme des acmés camées répétitives qui étaient de vraies bornes temporelles a l'intérieur de sa vie ; bornes qui ne bougeaient pas et autour de laquelle tout gravitait et changeait constamment, sans que jamais ne change ni l'amour pour sa fille, ni sa haine de l'injustice, ni la responsabilité que Siphyl éprouvait envers sa fille même lorsqu'une fois passé a travers le changement du divorce, il se souvenait d'être le père de cet être... la beauté adresser a un unique spectateur intérieur est la langue de l'être, que parle les philosophes, comme une musique chevrotante et incertaine, qu'ils semblent avoir entendu mais de manière si lointaine, qu'elle ne les soutient pas davantage qu'elle leur pèse, une résonance harmonique de la nature éthique du réel…..c'était novembre, et l'automne en apesanteur alluma le poêle qui attendait le feu depuis l'hiver derniers ; lentement il détendit la fonte, prit, se mis a parler comme tintent des cloches tibétaine ; jusqu'à ce que des flammes s'enroulent autour d'un fil invisible, un siphon cartésien comme un défi, enroulant milles paysages féeriques, milles combinaisons, diagrammes, schéma, rythmé ou pas, derrière la vitre sécurisée des yeux ; en les accrochant au passage, la transparence parfaite de la vitre l'ouvrait comme une vue de coupe tubulaire scindée en deux ; l'intérieur de l'hémisphère que Siphyl observait, possédait nécessairement un contraire dont la vitre effacé l'existence, et rendait possible la vision ; ou disparaît ce que l'on a sous les yeux? Quel en est la part manquante qui se voit ou veut se voir dans chaque évènement qui éventre le monde d'une dilatation du corps souffrant de dieu ; et entre les deux, Siphyl et la certitude éternelle d'être lui-même se donnait une langue, s'exprimait en ce qu'on pouvait bien appeler une éclaircie, une clairière a la manière de Zombrano ; manquait elle encore d'avenir et d'horizon la définition de l'être que Siphyl portait en lui? cet horizon beau comme les falaises rouges de kastoria ou se révèle enroulée sur lui-même l'invisible centre captivant de la vie, qui au matin gît dans les cendres et illumine un monde, on ne sait comment.

 

L'art met en lumière la nature invisible de l'être contenu dans les sensations et les devoirs le plus simple de l'existence ; il ouvre au désir et l'espace en apesanteur des doubles flux dialectiques ; mais encore fallait il que l'artiste les ait connu suffisamment longtemps dans la forme de décision irréversibles imposé a son existence pour que l'impression de devenir, l'impression de l'être puisse faire le fond de son discours et pour ne pas se perdre dans la dérive esthétique a l'age de la reproduction industrielle, massmédia synchronisé dans l'illusion ; l'ampleur de plus en plus gigantesque du spectacles mondialisé, ses effets de feeds back, d'échos involontaire, de larsens intempestifs ne cachait en rien a ses yeux, la vacuité substantielle du charabia ou la conscience du temps en devenir, de l'époque, restait toujours floue, a ce point qu'on pouvait aussi bien la croire perdu que sauvée, ni , et c'était le défaut de la vie établit sous le règne permanent de la vague, dans le rouleau des surfer, que de se croire une époque vouée au nihilisme parce qu'elle était seulement atteinte d'urgence , d'aspiration sans retenue au néant, sans forcement vouloir volontairement se détruire, aspiré par le gouffre de l'immédiateté, sans plus de retenue pour contre nager en se ressouvenant de l'éternité, mais désirant une apparence d'éternité dans le présent, sans plus conférer de valeur a l'étalement dans le temps et au décisions qui traversent le rouleau pour établir un peu de netteté a travers les matières ; l'époque de l'ultra immédiateté ne laissait pas au désir le temps de se développait, de former les consciences, de rendre un estomacs salariés capables de se posait la bonne question au sujet de la nature de la réalité qui était concerné par le dire , sur quoi s'appuyer la réalité du langage : sur l'éthique éternelle comme lacan avait mis le cap sur la psychologie de la félicité ...mais c'était pas facile a montrer l'hivers entiers qui recule d'un pas, et le chaud réconfort de la justice terrible qui nous créait ( comme des êtres de foudres d'arc électriques fulgurant) et envers laquelle mieux valait se mettre d'accord en apprenant peu a peu que l'éternité paraissait peu a peu a travers les décisions irrécusables de la vie et du sens de l'être qu'on donnait au néant.....tout artiste est un destructeur, et Siphyl ne voulait pas surinterpreter sa propre angoisse en condamnant son époque au feu de l'apocalypse sans penser que son besoin d'ultra instantanéité recelait plus qu'un vain épuisement.

 

Siphyl se sentait parfois encore mal a l'aise avec l'irrémédiable ; son joug encore lui pesait ; et c'était souvent a ce signe qu'il fuyait toute compagnie et courrait se réfugier dans le travail et l'isolement des sensations de l'intellect agent d'où il puiser la force de s'en tenir a ce qu'il comprenait comme a la plus simple et ample limite de ce qui justifier son fait d'exister en le bénissant d'ignorance et de connaissances limitées ; parce qu'une barbarie évidente et insoutenable nous choque , nous ébranle au plus profondément, l'idée tragique qui éclot dans ce tremblement de terre, est un jour éthique ou l'on se dépasse, se passe a travers constamment un ciel, qui persiste davantage comme durée éternelle du mouvement condensé dans l'instant unique de la vie ; la moelle épinière d'une nuque fracassée contre un mur de béton tellement anonyme que l'on était en plus d'être ému par la violence de l'image, surpris de ne pas voir le cadavre disparaître lui aussi, absorbé dans l'indifférence absolue de l'anonyme substance que le béton signifiait ; surpris de constater que certains événements ne sont pas réabsorbés comme ça, en un clin d'oeil par la conscience, qu'ils persistent, et qu'ils encombrent la conscience, ou la meublent, mais parfois aussi, si la décision a été mûrement prise dans le tremblement absolu de tout l'être, parfois deviennent des événements qui créaient une conscience éternelle parce qu'ils sont irrémédiables éternellement ; aucun oubli aucun sommeil aucun changement, hormis la mort elle-même peut-être, ne sont assez renversant pour en effacer toute trace ; mais le caractère esthétique, interne de ces événements était susceptible de se répéter entre les bornes successives de l'éthique qui rétablissait la réalité sous la discontinuité du temps ; la résonance harmonique de la symbolique dans la conscience du spectateur des toiles de Siphyl, était tout autre chose qu'une mise en image d'idée ; c'était l'image du palimpseste symbolique, et on voyait la main bouger sous la buée de la durée éternelle de l'idée ; en se dépassant constamment devant l'infini de la lecture impliqué dans un espace aussi petit qu'un écran, le spectateur se dépassait constamment, et refaisait l'expérience du devenir ou la conscience n'est pas seulement inscrite au monde, au grès des événements, mais redoubles, rapporte chaque événements comme un chien fidèle a l'idée qui gère tout le tableau (ou l'idée que Siphyl se fait de l'absolu se repent dans sa transparence effroyablement pleine de joie ); le motif suivant s'affirmait dans une photo de sa fille sur son écran ; ou toute angoisse se concentrer et se niée pour que père il paraisse a ses yeux ; Siphyl avait transcrit le rapport dans le monde en oeuvrant sous la motion d'une cohérence qu'il ne portait pas en lui, dont il ignorait tout ; et dont il aurait bien aimer connaître l'existence autrement que sous la forme d'un doute si radical que le réseau synaptique du monde en devenait flou ; sans centre ni circonférence, nulle part partout, comme la qualité dans les babioles ; de l'oeuvre Siphyl attendait qu'elle le mette en position d'incandescence aveuglante qui se consume elle-même , comme elle le ferait si elle se trouvait devant Dieu, expérience reconduite dans le rapport a l'oeuvre ; cet instant ou le schizophrène se fait face, et ou il doit, comme une mère, sacrifier sa substance, pour que du néant prenne vie le nacre et la lumière de la gloire qui doit naître absolument personnellement, comme un événement irrémédiablement solitaire.

 

On est toujours saisit par les bouts du monde, les promontoires infinis d'où surgit l'extraordinaire, le sublime rouage de l'invisible, la face aveuglante de dieu dans les nuages, les limbes ardentes du soleil, ou il gît comme un trésor enfouie aux cieux ; même si des nuages d'événements possible passent sous nos yeux, nous cachent sa vue parfois en nous rendant témoin de leur science en matière de technologie, imitant la fascination du geste du Dieu qu'elle nous cachent, dans l'acte dont on ignore la mécanique générale, et qui fascine d'autant sa recherche qu'on est a peu pres certain de ne jamais le rencontrer par la voie des sciences ; sinon ces tourbillons qui se figent dans le calme plat de l'émerveillement béat devant un smart phone greffé aux oreilles comme une sculpture d'onde, un lobe supplémentaire pour détacher des flammes, les harmonies et en suivre plus loin la rectitude du distord dans le dessein général, ( de se ressourcer a l'idée de son immuable nature d'avoir fait de la mort d'un homme une offense envers sa propre conscience éternelle) un implant mobile et un prolongement de l'oreille interne s'insinuant dans le monde, fouinant dans ses cendres, a l'écoute des grésillements électriques audible dans le transistor quand le désir est mort d'entendre un être ordonner d'être au néant et que tout le dit en vain.

 

a la quasi perfection, et ainsi créent les reflets et les images du monde ; aucune chose qui n'ait son image dans notre temps, sortir de son rouleau c'est mettre les pieds sur les bords du monde ou les representations tombent a l'eau, comme les oceans dans les tenebres qui entourent la terre incognita ; l'assiette plate, la jonque renversée, la tortue retourné, l'emprunte des lézards et autres iguane primordial, baleine blanche dont on cherche la trace, ou qui d'en chercher la trace de vie, et l'image, finissent par remuer tellement la poussiere du monde qu'on croit les voir passer sous notre nez a vu de preuve, le corps mystique troué par les balles ;

 

 

des pierres une toute autre idée...l'oeuvre illuminée de secret, autour desquelles plane le regards des profondeurs comme sur les faces cachées du miroir ; au fond de l'oeil quelque chose restait intouché, aveugle ; et c'était cette cécité insensible qu'il voulait reveilkler et d'abord etendre sur toute chose autour de la naissance du premier objet sacré.

 

«Apres tant d'horreur, rendre aux hommes une creetaine impression absiolu d'eux meme ne pouvait plus se faire en peignant des natures mortes...;Siphyl examina attentivement ces toiles avant de se jeter aveuglement dans le travail ...

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