08/11/2013
note
Ainsi la communauté des frères, qui s'organisait journellement, en vue d'un approfondissement, variable selon le temps, de l'empathie se subdivisait d'une manière globale et réfléchie en deux plans : un pour chaque face de l'esprit, abstrait et concret ; communauté maîtrisant a un haut degrés le temps, et savamment organisée pour que sa dilatation coïncide avec les heures de travails commun ou l'empathie faisait face au réel qui la menacer en chacun d'eux de rupture, et les heures de retraites et de lectures, qui étaient des temps commun de séparation, ou la méditation de la Parole se faisait dans la dissolution du groupe, consacrée pourtant a cultiver Son empathie ; l'alternance trinitaire, si on y inclus les moments de prières, faisaient valser les plages d'activités dans la distributions des temps, avec une grace parfaite, qui faisait de chaque jour, un pinceau qui agissait directement sur le cerveau a la manière des Categorie sur l'entendement, et étaient de vrais électrochocs ; les frères en revenaient le sourire aux lèvres comme s'ils s'étaient éveillés seul, plus profondément en dieu, en sortant du rêve de la collectivité (qui croit a la résurrection des corps, c'est a dire que la fin de l'existence c'est l'individu, ou se répete la communauté perdue) qui se fonde de même que la lecture pieuse, sur la rupture d'empathie, mais cette fois dans le sens d'un reproche envers l'isolement qu'il convient de refréner si on fait partit de la communauté de ceux qui croit qu'a dieu tout est possible, même de laver un homme de ses pêchers ; tentation collective a géométrie variable selon qu'une époque s'en sert ou non d'excuse pour alléger le poids général de la culpabilité (culpabilité qui ne s'effondre pas sans servir de terreau a la culture du chef, devenu programme politique en soi a l'ére du Show) le en niant presque, qu'aucun coupable de fasse partit de ses rangs.
Le temps de la narration celui de la durée de la longueur d'onde de la balle entre les deux lobes, permettait a chacun de reconnaître la réalité de la Parole dans l'ici abstrait de l'époké qui suspendait le temps et offrait a l'imagination de s'envoler a l'infini ; et ils en revenaient les bras chargés de merveilles. La lecture a sa vie propre et autonome qui deja fait ressembler le temps a l'éternité ou même le silence est éloquent en permanence ; la lecture nourrit de silence le silence de la voie ; et met le feu a l'imagination ; la narration en tire des braises appropriés jusqu'à un certain point, au dela duquel, le sens du texte reste encore a discuter ; a moins que le lecteur ne fasse l'inverse et ne s'imprègne de quelques livres religieux, qui font des miettes de ce qui est Ecrit Uniquement sur le même thème, Sa Parole qui est la Conscience du lecteur, du frère lisant car il ne cessaient pas d'être eux même aussi hors du livre, dans l'empathie réelle ou les dangers de discordes n'apparaissent jamais a la manière des livres tout cousus de drame blanc, mais avec une inventivité qui nous surprends ; alors le feu du désir trouve son miroir et son aliment, il redouble de flamme et l'existence réelle de la subjectivité, autrement indiscernable, se révèle objectivement ; le lecteur a les mains de ceux qui attendent avec angoisse une unique parole qui déciderait de leur prise de conscience ou pas de l'éternité.
L'humour est l'outil de l'infini qui détail le sérieux d'une intention.
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