note du traducteur

(Rappel pour les lecteurs les plus jeunes) Dans les années quatre vingt en France circulait une publicité pour le canada-dry : ça ressemble a de  l'alcool, ça a le gout de l'alcool ...mais ça n'est pas de l'alcool.

une autre pub d'ailleurs s'affichait partout, a peu prés a la même époque, prévoyant la fin de l'ére pétrolifère : en France on a pas de pétrole mais on a des idées....on en a tellement que quarante ans plus tard on a progresser dans un surcroît formidable de consommation de la seule ressource énergétique dont on a prévu la fin....et il faudrait que le peuple s'inscrive dans cette histoire absurde d'une mort annoncée, sans absolument rien faire...ce n'est pas l'Afrique qui est en dehors de l'histoire c'est l'Everest de la bêtise financiaro-politico-européenne qui s'enfonce dans l'impasse parce que ça fait un demi siècle que les mêmes se goinfrent en vampirisant toutes les instances temporelle qui permettrait au peuple d'advenir a l'être dans l'ordre du désir....c'est a dire de Vivre.

 

Une civilisation vraiment conscequente avec elle-meme créerait des centre fermé de réeducation pour l'élite ou l'usage de drogue douce style herbe et marijuana serait obligatoire comme il l'est pour le peuple dont les conditions de vie sont devenue intellectuellement et spychologiquement insupportable...puis on laisserait tel banquier constipé prendre les pinceaux, ou la lyre et le piano ; ce qu'il veut...et O divine surprise on se rendrait compte que tout ces gens sont inexistant, que le dessins d'un anges blonds de trois ans a plus de consistance que leur absolue total et complet manque d'imagination...c'est en ce sens que la formule tous pourris a pris naissance en france car une ame sans imagination qui joue au pere fouettard est une bouffonnerie digne de la city qui n'a rien a voir ni avec l'antecedance greque ou philosopher signifiait aussi "délirer" ni avec la grotte de chauvet...mais la bétise a un caractere intemporel lié a son manque absolu de logos poetique qui lui donne des airs de Matamort qui rendent le peuple frigide.