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20/02/2014

sans titre

Les camions avalent la route comme des vautours se régalant d'une langue de noire charogne sur laquelle ils roulent comme sur un boulevard, une voie aisée et....facilité par l'absence de retenue. Devant, ton visage a le teint de la pudeur, le chrome revenu de l'argentique douleur du diamant sous la lumière des phares. Ils passent chargés de carcasses et de carnes d'éléphants, de vaches sacrées, de vaux de zèbres et d'or a variée, qu'aucune âme ne pourra jamais avaler; la route se forme a mesurent qu'ils avancent mais ils la croient toute tracée...c'est écrit dans chaque publicité cette fatalité; c'est écrit dans la langue de ceux qui renoncent a leur liberté, dans la langue des salauds, des sans âmes, qui ont déjà de l'existence l'idée d'un drame en trois actes, déjoué par leur sagacité mal tracée, mal écrite, mal entendu quand a la réalité de ce qu'ils auront compris, saisit de la realité de l'Etre qui peut tout et pourtant ne peut rien contre l'existence achevée avant même d'avoir commencer par l'eternité, pourri dans sa saisit des choses.....et pourtant, si l'existence doit s'achever, ne vaut il pas mieux pour la santé de l'esprit, qu'elle s'achève exactement la ou elle a commencé? Par une nuit d'amour qui a rempli tout ce que l'oeil avait deviné sans le voir.

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