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27/02/2014

note

L'éther en rhizome siphonne des enfers monadiques de volonté et de souffre astral sous des pluies acide de schiste embrasés de tuiles sensibles qui brûlent mais ne se consument pas, comme les larmes syncopées et spectrales de la pensée des rosses de l'ailleurs, compilant les contes de pâte a modeler dans l'univers marin de la souffrance ou le double sens de la vie sur le corps de l'absolu échoué perce la lymphe lacrymale a travers peau et décors cachés; la souffrance fait le gué, elle reverse tout autour de la plage des jours biseautés, ou temps et espace imposent le secret a la trame inconnue des comètes filant cocon de soi, la dépouille charnellement évidée de l'esprit, et dépèce les augures au ventre creux des douleurs de l'enfantement accomplit;  a nouveau la terre boit le cristal vide des larmes qui ont traversé le corps spirituel de la bête refondue, et forme celui parfait de la réflexion médiumnique de la naissance recueillie de l'astre enterré au-dedans de soi; l'eau remonte alors du puits d'orgasme la dépouille illuminée du soleil englouti.

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