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27/02/2014

note

Les égouts unis du spectacle assignent au spectateur la place du mort sans lien avec le conducteur du drame qui défile et le traverse sans s'arrêter; pourtant le premier train filmé a aussi crevé l'écran et ouvert la tombe strapontin de l'ouïe qui viole la puissance noir et barbare du sang dans la lumière violette reconstituant le diamant pur de l'oreille; sans que personne ne puisse rien discerner, sans que personne ne puisse y jouer son rôle, le synopsis manque d'acteur anti-fasciste qui provoque le temoin sans jamais chercher a l'éliminer, sautant comme des cabris au-dessus des failles sans fond qui relie les hommes; anti-fasciste permanent libérant le spectacle de l'image a l'oeil éclaté de la notoriété confondue avec le règne de la gloire des humbles comme avec le point rayonnant du mystère, et frelatant de son cinéma de merde les intentions très purs du coeur; un peu de tenue, voyons ses émotions de pacotilles en face malgrés le grossissement d'échelle, quand en s'éteignant enfin, elles laissent luire a l'infini une nuit plus globale que la grasse sueur terrestre.

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