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28/02/2014

note (en cours)

Et quand la mort viendra, quand elle te ravira toutes tes excuses qui défigurent le vrai motif de ton coeur, quand tout ce qui retient la langue d'être réellement sa parole idéale sera détruit avec le mensonge, quand la conviction réellement ressentie devra s'élever jusqu'à la conscience du nom, et qu'elle parlera d'elle-même contre toi, ou pourra se cacher ton âme quand tous les soleils s'éteindront et que dans l'obscurité suressentielle du verbe ton intention confessera devant dieu ce qui a été sa volonté, crois-tu que tu puisses te faufiler par le chas du siphon si tu louches et te dédoubles en ayant servis deux maîtres, si la voie étroite se démultiplie en illusions plus redoutables a mesure qu'elles ont été joyeusement extirper contre la culpabilité, engendré comme l'enfant d'un viol ? Alors qu'au contraire la distance érotique de l'abandon ouvert dans les champs magnétiques de l'avenir rend possible le recueillement compulsif du souvenir contractant l'éternel baume dans la brisure du remord.

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