Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

07/04/2014

Le souffle de l'homme est une lampe de l'Éternel; Il pénètre jusqu'au fond des entrailles.(en cours)

Je m'endors et me réveil couché parmi les lions, le ciel autour de moi est trop visible pour être vrai, insuffisamment transparent pour être réellement poreux au poids de mon trajet d'épaisseur; c'est le monde foule, qui brille sans relief et sans éclat, luit lissé, sans chaleur comme une continuité du rêve somnolant; sur les gradins, la foule hurle, trépigne et vomit des flammes qui n'ont ni l'ardeur ni le souffle de l'explosion claire du désir immaculé ni sa lumière, mais qui sont des relents de vin dans la lumière artificielle du désespoir maquillé; tous les yeux sont liés au scandale et gravitent comme autour du centre spirituel du règne indécis des hésitants angoissés et fouette transversalmenent comme une bête apeuré, par désir d'être crucifié et celui d'assister sereinement au spectacle effroyable de l'anéantissement des témoins  transformés en instruments inutiles; tout est trivial et glauque parmi les hommes chancelant, leur intelligence n'est pas a la mesure du coeur, leur connaissance s'est déportée sur les terree asphyxiées de la sensualité tenace et fragile comme un manque de cohésion interne; des étoiles ne reste que l'absence du spectre qui enroule ses couleurs  dans sa lueur  de revenant effrayant au fond de leur silence crevé; le ciel passe déglutit comme une main qui caresse  l'ame et tourne les pages excrementielles que digére le temps; du moins c'est ce qui se dit, ce qui se répand dans le laxatif spirituel; et ceux qui sont encore conscient supplient a genoux qu'on les plongent dans le sommeil, que l'évanouissement tombe du mur de la confusion, et qu'il les emporte ravie aux caves obscures du styx et de l'indifférence ou la disparition de soi est transit de froide insignifiance, ou il n'y a plus rien pas même un reste d'intelligence de ce qui est; c'est une prière du vacarme : Notre tombe des cieux, inaccessible paix rend nous l'inexistence première! Accorde nous ton néant! Efface le souvenir de la beauté, nous sommes de la race du néant! Donne nous notre fin quotidiennement ajournée, donne nous la force de détruire  jusqu'a la haine de toute ressurcetion, et délivre nous de la croyance du vrai! Beaucoup tombent évanoui, ce sont les exaucés de l'indifférence décorative; les autres épars sur les degrés de l'amphithéâtre se contorsionnent comme des pistons branlant qui voudraient se briser la tête contre l'onde puissante du vide oscillant entre le mal et le bien; ce sont les réprouvés du monde qui n'ont pas atteins le pur degrés du mensonge, qui n'ont pas encore chassé toute la puissance surnaturelle du coeur pour se multiplier, se vauter dans la fange de l'irresponsabilité et de l'inconséquence, ce sont les traites de l'insignifiance; en eux brûle encore la volonté de croire que leur caractère ne peut se dissoudre dans l'acide vinaigre de la connaissance, mais leur resistance est aveugle car le concept n'est plus; il au centre justement, attaché solidement au poliri, ou je la vois maintenant, le venin rance des janissaires violeurs de lumière ruisselle de ses boucles en cascades, beau, comme la femme qui vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qui pénétra la lumière de la promesse qui vainc le temps d'un coup de lance, du poids erotique de sa rétractation en pièces détachées de la transaction illegitime et sans verbe, du ténébreux soi-même; sa poitrine découverte absorbe l'immense fleuve des jours limpide contaminé de pathétique boue, qui nous recouvre aujourd'hui encore et comme elle, nous perd pour le mystère; l'intelligence de l'amour ne devrait-elle pas luire en nous comme une étoile en plein mystère? L'être en intelligence de soi est une parure de marque, d'élection, de choix et de pris; l'intelligence aussi devrait être en nous semblable a la naissance d'une étoile, a la naissance de la lumière qui nous transporte par l'univers jusqu'au centre de la perspective ou la mort noue tout et tisse la densité de l'apesanteur d'aimer dans la trame du risque trépassé. Prés de l'arbre la femme recracha les pépins de son intelligence qui s'ouvrait en rendant incompréhensible le paradoxe de la passion. Le ciel germa assombrit d'un lourd sous-entendu pesant son poids de monnaie comme un orage de durs présages trop menacants, mais quand elle s'endormit, je me réveillais couché parmi les lions dans mon élément ennemi au milieu de la foule réclamant la disparition de l'insupportable vie.

Les commentaires sont fermés.