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16/04/2014

en cours

Très lentement j'ai brisé les liens de votre joue, d'un dépôt de lèvres poreux comme le trou du désir sur la langue adamique au pouvoir de vous, et je vous ai fait marcher la tête levée a travers les pailles mentales et les leurres palpables de l'encre sèche de la nuit qui fument de la blessure; autour du cœur rayonnant, mais affamé et couvert par la bavarde sutture de son extraordinaire étonnement d'être sans mesure, découvrant son visage fasciné et ridé au fond du miroir tendu par la mort, entre les perspectives louches de la folie impuissante retrouvant son foyer qui éprouve la fascination du pouvoir de l'amour et se laisse porter a son abandon, sans strictement rien savoir de la realité des etres éternels qu'il relie, ni rien de ce qu'il decide dans l'absolu du reste de nos gestes rangés aux cercueils, quand débraillés les vêtements de ciel pendent sur nos tetes un point pont d'interrogation descillant le graffite du vrai chas, chasse a cours a nous gardée, a travers les représentations incertaines, qui planent et poncent au dessus des grands lacs, le ciel mental de l'horizon conceptuel d'où tout descend, qu'aucun homme n'a jamais connu, et dont rien ne se reflète dans les cristaux de quark blanc qui en émanent jusqu'aux bouquets de vers sans fleur de la faim terrestre; l'adamique fruit de la lumière porte éternellement la même teinte, ou tout bouge sans rien troubler pas meme une ride de stress quand son propre avenir le double et se concentre et que le frisson d'angoisse provient d'un resumé d'une vision du monde, d'un clin d'œil récapitulant sur la peau l'etendue de la surface physique d'où l'ame ne s'echappe pas, meme dans l'imagination, ou fasciné par son propre pouvoir de creation cette force se blesse mortellement d'etre témoin de sa disparition pour apprendre que la vie est celeste, qu'elle ne peut etre dite en aucune de nos représentations qui toutes peuvent la contenir et l'exprimer concrètement en toute chose et a chaque instant, et ainsi couvrir la totalité d'un etre ce qui la cause comme d'une chose capable d'absorber dieu par la langue, de s'y décomposer tellement dans ce qui l'unie, et la comble parfaitement de vie la recouvre sans la supprimer et sans l'effacer d'elle-même en la plongeant dans la nuit de son approche il la fait resplendir de grace conceptuelle qui est le véritable amour de dieu, mais de ces briques nouvelles nous avons tendance a reformuler du formaté piegé; allégée du poids de la souffrance devenue consciente, plus pesante que jamais, parce qu'elle ne peut être fuit, ni décomposée idéalement qu'en etant vecu comme une intuition parfaite et absolu de ce qui est éternellement vrai d'un être aimant; parole d'autre chose que d'elle-même, et aussi toujours d'elle-même, parlant d'autre chose encore, parce que tout y revient, tout y est lié et cousu de pensée toute partie du corps détenu en elle comme une lueur conceptuelle illuminant la nuit de la chair sans os de l'espace conceptuel de l'innocence, de la conscience renouvellée, qu'on peut visiter aux horaires habituel de liberté qui s'effondre a la vitesse grand v du déplacement des catégories de l'entendement bougeant l'influx entrant des lumières selon leur perspective marchandising, faire du saint le concepteur des poubelles ou le choix du coeur ne peut se poser, en l'occurrence est important, la fascination aveuglée qui s'érige en voir primordial pour percevoir le réel concu autrement; un art de dérégler les sens qui présuppose qu'il y a aussi un mouvement dans l'espace conceptuel ou se meut la réflexion des lumières a rétine retenue de l'intérieure de la crypte; vitreuse concentration, repose en paix, le fondement du temps est bien fermé sur le couvercle de l'éternité, quand la décision éclatante du point final de notre alliage entier fut scellée; j'ai ravaudé la bouche mitée du courage brisé qui s'effondre a perdre haleine, incompris ; j'ai recréé par le pardon, la souche d'intelligente sensation qui constelle le monde du desir envahissant de bonheur et concede autant de place perdue dans l'attention au miraculeux, l'essentiel du roman noir galactique, passe a la trappe, mais ayant valeur de sensation limite, de parabole sexuelle formant l'explosion traumatique de l'angoissant commencement de la psychée, le commencement de la contradiction rattrappe l'esprit  du temps donné sous la forme d'un corps stylet qui une fois tout ramené au poids d'intensité allège son entonnement du soucis de savoir, pour s'envoler;  il a écarté les rideaux du concevable pour nous offrir l'incomparable éternité humaine du coeur parachevé, et trois personnages baroques sont apparue sous les contreforts du châteaux, trois silhouettes noires sur vos langues ont fondues comme une hostie une altération du poids de l'existence dissout dans la parole sainte qui se comprend en secret tout en parlant d'autre chose, sépare les intelligence de l'homme et de dieu, fait remarqué si besoin est a grands renforts de pathos et de démonstration, que cette différence n'a pas lieu d'être et qu'il faut la supprimer en vivant soi-même comme un dieu d'amour réunissant ce que l'intelligence tient séparés; contrée ou le soleil ne se lève pas physiquement devant vous, mais crève en vous d'une légèreté incomparable, un éther qui envahit toute la sensibilité et mêle la plus grande lucidité a la volupté de voir dieu en tout; trois rivière d'ombre limitent les cieux; je connais vos travers, mais vous persistez a bâtir des mondes dénué d'intelligence ou aucun mot prononcé n'est comptable d'une connaissance de soi redoublée; homme et monde sont inséparables, et vous voudriez avancez dans le temps, sans faire avancer le monde en vous même? Vous croyez avancer dans le temps parce que vous hâtez la fin, parce que vous réduisez les durées, donné forme a l'impatience de voir éclore l'absolu, imploser devant vos yeux, la Comment vous y prendrez vous autrement? Comprenez d'abord la nature divine de la distance qui vous sépare et vous rattache a vous-même; la nature du rapport est elle-même un rapport , mais un rapport conceptuel d'intelligence avec dieu qui fonde la recréation du monde par l'origine idéale de l'impulsion qui traverse la sensibilité; la crainte et le tremblement donne l'impulsion, mais ne donnent pas le ton lui-même; encore faut il sculpter cette impulsion jusqu'à lui trouver sa forme d'expression idéale comme on peut le trouver dans les saintes écritures, tout en le cherchant en soi; la blessure n'est que l'autre face de la joie? Non la joie parfaite de l'intelligence de soi avec dieu est une joie sans fin, qui a tout commencement dans le temps demande l'éclosion complète, l'explosion de la transparence de l'arche monde a travers laquelle nous passons a dieu; l'argument de saint anselme par exemple, a lui seul définit un type de sensibilité absolument singulier si il est entièrement développé, déchiré et ouvert a la connaissance de la richesse ignorée des beautés cachées du monde que l'entonnement y découvre; a vous qui êtes tenus séparés! l'effroi n'est-il pas un affres a la hauteur de la félicité? Que vous en semble, dites moi si vous avez de l'intelligence; si vous savez des choses de dieu? N'est elle pas, une onde de choc intérieure suffisamment puissante pour tout bouleverser; un attentat spirituel qui peut causer la mort ou nous sauver; un impact qu'on peut aussi bien décrire comme une dépression soudaine, une mini kenose dans le pare brise, capable de modifier le cours des schemes de l'imagination qui fixent l'image du cycle échoué dans les limbes insondables et angoissés de l'imagination, et se tort de douleur lorsqu'ils se brise, et que toutes son existence tombe en miette, retourne a la poussière rejoindre l'image mentale de soi vide, le garrot du regard serré,  posé sur l'iris bleu des tombes a travers la brume de notre corps dont l'image nous martelle peu a peu.

 

c'est un secret qui nous lie, et qui éclaire nos pas d'écritures nomades a deux chairs; les corps erratiques des comètes millénaires ont sursauté sous les coups du stylet prit de langue et l'intention consciente de la souffrance dedoublée dans l'intention de l'oeuvre comprise fut mise a nue pour fleurir d'une éternelle attention aux frères tous ornés de sa corolle défroissée de l'éternité; je vous ait tendue la vertèbre invisible de l'intention transcendante, la moelle manquante a vos os putréfié, sans laquelle vous chutiez insensiblement entre les degrés de l'échelle; un scorpion avait piqué votre langue, embrumé votre esprit d'une liasse de travaux qui ne sont que peine, et c'est elle maintenant qui se déploie depuis le fond de la sensibilité, comme une aurore de basse tremblante recueille tous les filaments de la l'harmonie chromatique et laisse tonner le diapason de tes yeux autour des branches de tes tempes - exactement comme un arbre, vous etes comme la musique des hommes en concert, librement musiciens, librement ramifiés, chevaliers invisibles de l'église sans papier; écoute! Penche toi au-dessus du gouffre intérieur, tient toi sur le dernier sillon du vertige de ta vie et écoute choir les écrous du scellement dans la diffusion sociale des schemes transcendantaux auxquels se plie l'esprit hagard des peurs sous-jacente a la logique du desir logique du suicide retourné contre son aliénation de chair d'écrivain; la liberté est d'un maillage si fin que le pôle d'angoisse de l'avenir se passe aussi constamment a travers la recherche sans terme de sa forme infinie, mais reste indéterminé tant que la marque du souffle non-inscrit entre les lettres de la main, ne devient pas l'invisible élan du destin qui touche au coeur du guide, et ne decide du rassemblement corporel de l'intelligence atomisée des anorexiques nuits de crampes theologiques aux originesn de l'inconcevable; c'est de la douleur en relief qu'ils surgissent du double fond des ombres par les reverberations de l'eclipse des astres engloutis au confins de la panique; naissance aux pourtours labyrinthiques de l'arche frisée comme les veines d'espoir brisé, fuyante court cricuit de scintillement descillant le reseau de l'étau tremblant de la sensibilité pincé en pleine excroissance plombée et manuscrite avec la légéreté de l'espoir qui gonfle la poitrine des siecles de granit, a main levée de neige eternelle et sans appuie autre que le vide du ciel et du temps, comme si les lignes émaciées de la plume devaient s'inscrire dans la pierre des fleuves qui en charrie le texte pour rendre la traversée tangible, mais souvent ne fait que rendre les hommes libres esclaves de leurs pensées, les ignorants possesseurs du privilège de leur écoeurement; quand les ombres n'ont plus la forces de mordre leur poussière et que le sentiment de vivre les quitte, les frôle de l'intérieure d'une chiquenaude sans énergie pour graver les liens de la formule du cercle qui convertie l'énergie en matière, passe a gué de langue a travers l'informulable

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