Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

19/04/2014

Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur. (en cours)

je disais dans mon angoisse: Tous les hommes sont trompeurs

La détresse et l'angoisse m'atteignent: Tes commandements font mes délices.

 

La révélation buttait aux pôles détonnant et distors du double fond de l'angoisse ou tous les animaux de la foret aime a contempler leur image, se rassurer sur leur être par l'onde qui déconstruit ce qu'elle dévoile, semble leur faire perdre la tête, n'obéir qu'a une logique devenue folle dans la savane qui rend insaisissable le révélé, inaccessible l'etre auquel on s'adresse indirectement en parlant, objet d'une certitude éternel et d'un amour que rien ne dément sans une lâcheté du cœur une embrouille idéale avec la chaire feuilletant ses mangas a la recherche de super héros disparue du fort intérieur; l'indirecte est la chose même sacrée, l'être qu'on a pas crée, pas imaginé, pas anticipé, pas plus qu'on aurait pu prévoir les pélicans et les hippopotames avant de les rencontrer déjà créés; parler a un homme implique le lien religieux de la mort a soi-même qui pose la transparence du lien d'amour sur toute chose, pour peu que l'on aille au bout du désespoir et de l'angoisse; ignorance, transparence, conscience, sont des qualités de l'intégrité de l'acte religieux le plus décisif et le plus simple; c'est la banalité du Bien, son abaissement dans l'acte de langage le plus simple; la position indirecte du sujet, c'est la sacralisation de l'être, la transparente mort a soi est l'amour du prochain qui n'apparait qu'a cette occasion, et c'est la tambouille de l'angoisse, de nous mettre en rapport avec ce qu'on a pas soi-même posé; alors commence le rapport indirect, la vrai communication, l'esprit et la vérité, le religieux l'être l'amour; l'angoisse ne se supprime pourtant pas elle-même complètement? si, chaque fois qu'on se laisse porter par elle jusqu'à l'être dont elle révèle la valeur éternelle indirectement en le reflétant dans le miroir du prochain, être sacré qu'on n'a pas soi-même posé; chaque fois qu'on se laisse porté par ses ailes de cuirs jusqu'au bout de la nuit et que la lumière de la vérité filtre par l'ampoule de chaire désinhibée; chaque fois que son rouleau roule jusqu'au rapport ou l'être est le miracle incompréhensible de l'aimé auquel on s'accorde par la parole qui résonne en nous comme en un instrument inutile; tous les moyens de faire la vérité par soi-même se développent et se brise intérieurement pour établir que le non-rapport est le rapport; de l'angoisse a la paix inconditionnelle, l'inquiétude du salut donne sa grammaire a la pate insignifiante de la chaire ébranlée par l'effondrement du péché qui suit la courbe de manque du désir dans les profondeur éthéré ou le céleste apparait a travers la mort a soi-même; c'est la note fantôme , la retenue in mente qui surgit de sa propre contradiction en nous comme l'ombre chinoise des êtres aimés a travers la peau du tambour de chair tendu entre les pôles de la trajectoire; l'angoisse des lumières froissées se détend jusqu'à la paix, sculpte intérieurement une grandeur qui n'est pas terrestre, qui n'a rien a voir avec le monde, mais qui est comme un poumon céleste ne respirant qu'une fois trouvé l'église invisible de tous les frères qui sont la lumière de la vérité même.

Les commentaires sont fermés.